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geraldine james

  • Diana

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    1995. Diana Spencer (Naomi Watts) vit désormais séparé du Prince Charles et les tabloïds ne manquent pas une occasion d’évoquer un divorce qui ferait mauvais effet à la cour d’Angleterre. En se rendant à l’hôpital elle rencontre Hasnat Khan (Naveen Andrews), un brillant chirurgien dont elle va tomber amoureuse mais leur relation est-elle seulement possible ? Pourchassée continuellement par les paparazzis, tout ce qui concerne la vie privée de Diana est immédiatement déballé au grand public et Hasnat ne peut concevoir une vie aussi médiatisée. La Princesse de Galles rêve d’une autre vie à l’étranger et fera son possible pour le réaliser mais le 31 Aout 1997, le monde pleurera sa disparition tragique.

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    Jouissant d’une incroyable popularité, il était inévitable de voir un jour la vie de la Princesse Diana déballée sur le grand écran. Le film d’Oliver Hirschbiegel n’est pas ce qu’on pourrait considérer comme un véritable biopic puisqu’il s’intéresse essentiellement à la vie amoureuse de la femme et plus particulièrement à sa rencontre avec Hasnat Khan. Un aspect de la vie de Diana qu’on ne cherchait pas forcément à découvrir là où on attendait plutôt l’incroyable destin qui l’a conduit à devenir la reine des cœurs des anglais. On a donc rien de plus qu’une vulgaire tragédie romantique qui se repose sur l’aura de la Princesse de Galles.

     

    Il faut le voir pour : Surveiller les rues, il y a peut-être des princesses cachées sous une perruque !

  • We want sex equality

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    En 1968, dans l’usine du constructeur automobile Ford basé à Dagenham en Angleterre on pouvait compter plus de 50 000 employés et parmi cet effectif on ne dénombrait que 187 femmes. Non seulement elles doivent travailler dans des conditions déplorables mais elles ont également subi une déqualification de leur statut. Afin que leurs revendications soient entendues, Rita (Sally Hawkins) et ses collègues décident de se mettre en grève ; une première chez ces ouvrières. Cependant, Rita comprend vite que leur combat dépasse le cadre du site de Dagenham ; elle va devoir s’engager et demander une chose inimaginable : l’égalité des salaires.

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    Il n’y a encore pas si longtemps le statut de la femme dans le monde du travail souffrait d’une terrible discrimination heureusement on a depuis assisté à quelques évolutions. C’est pourquoi découvrir le destin de ces employées de Ford est vraiment important à l’heure où l’égalité des sexes dans le milieu professionnel est encore loin d’être probant. Instructif et véritablement divertissant, We want sex equality ne prend cependant pas beaucoup de risques se contentant de distiller son histoire à travers un schéma que l’on connait que trop bien. C’est également un plaisir de revoir Sally Hawkins dans un rôle moins déluré que dans Be happy mais campant un personnage plus proche des spectatrices.

     

    Il faut le voir pour : Toujours vérifier que vous avez bien déroulé votre banderole avant de l’exposer !