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aneurin barnard

  • Le sang des templiers

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    1215. L’Angleterre est sous le joug du roi Jean (Paul Giamatti) mais son règne fut contesté par le peuple et il fut contraint de signer une charte pour leur rendre leurs libertés. Cependant, le souverain n’entend pas laisser le pouvoir lui échapper aussi facilement et avec l’aide de mercenaires danois il entreprend de reconquérir son royaume. Durant sa quête, il va croiser le chemin de Frère Thomas (James Purefoy), chevalier de l’ordre des templiers qui va s’associer avec le Baron d’Albany (Brian Cox). Afin de stopper l’avancée des troupes du roi, ils vont s’emparer du château de Rochester, lieu stratégique mais ils ne sont qu’une vingtaine d’hommes pour vaincre des milliers d’ennemis !

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    Sur le papier, ça a tout de l’énième film d’action épique et d’ailleurs en dehors de Paul Giamatti, le reste du casting devrait vous laisser plutôt indifférent. Et puis très vite, ce qui nous frappe en plein visage dans Le sang des templiers ce sont les scènes de combat, violentes et impitoyables, c’est particulièrement sanglant et l’interdiction aux moins de 16 ans se justifie amplement. Outre les corps déchiquetés, les hectolitres d’hémoglobine versée et des mains tranchées ; il faut bien un peu de douceur dans ce monde de brutes et on c’est à ce titre qu’on nous sort l’habituelle romance entre le héros et la jeune princesse. Bourrin à souhait, c’est un film à réserver aux vrais mecs qui ont envie de se changer les idées agréablement.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas oublier de passer chez le boucher pour le diner !