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Gillian Anderson

  • Shadow dancer

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    Londres, 1993. Les services secrets viennent d’appréhender Colette (Andrea Riseborough), membre de l’IRA et qui a tenté de poser une bombe dans le métro. Mac (Clive Owen) se charge de son interrogatoire avec un objectif précis : faire d’elle une taupe qui pourrait leur apporter d’importantes informations sur un certain Gerry (Aidan Gillen). Afin de rallier Colette à eux, il menace de la séparer de son fils et elle n’a donc d’autres choix que d’accepter leur proposition. La voilà obligée de trahir les siens, sa famille mais elle devra rester sur ses gardes car sa rapide libération éveille déjà certains soupçons.

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    Face à face entre Andrea Riseborough & Clive Owen sur fonds d’espionnage du coté de l’IRA dans les années 1990, ce film de James Marsh affiche un certain lien de parenté avec l’excellent La taupe. La comparaison est plutôt flatteuse car Shadow dancer est loin de se hisser à la hauteur de la réalisation de Tomas Alfredson mais on y retrouve une atmosphère identique à savoir assez glacial. Ici l’intrigue se construit de manière beaucoup plus simple, trop même pour réussir à étonner le spectateur malgré son irréprochable duo de comédiens. Les fans d’X-files trouveront un intérêt à y jeter un œil puisque cela vous permettra de revoir la toujours très belle Gillian Anderson.

     

    Il faut le voir pour : Ne faire confiance à personne (Trust no one) !

  • L’enfant d’en haut

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    La montagne ça le gagne ! Notre pote Simon (Kacey Mottet Klein) parcourt les pistes enneigées mais contrairement aux nombreux vacanciers, il n’est pas là pour skier mais pour voler du matériel. Gants, lunettes, skis tout est bon à prendre pour lui à partir du moment que cela lui rapporte assez d’argent et de lui permettre d’acheter de quoi manger pour lui mais également pour sa sœur. Bien qu’elle soit l’ainée Louise (Léa Seydoux) n’est pas aussi active que Simon bien au contraire, elle préfère sortir avec ses copains et dépenser l’argent difficilement acquis. Même si cela est devenu une routine pour ce garçon de 12 ans, il fait parfois preuve d’imprudence et c’est ainsi qu’il va faire la connaissance de Mike (Martin Compston).

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    Ne serait-ce que pour la performance du jeune Kacey Mottet Klein (que l’on a déjà pu apercevoir dans Home ou Gainsbourg, vie héroïque), je ne peux que vous conseiller de découvrir L’enfant d’en haut car ce comédien a sans aucun doute du talent à revendre ! Véritable révélation, il  porte littéralement la réalisation d’Ursula Meier sur ses épaules sans jamais vaciller et le fait en compagnie d’une Léa Seydoux qui s’impose progressivement comme le nouveau visage du cinéma français. Une chronique sociale puissante qui met d’abord l’accent sur les disparités entre riches et pauvres puis prend ensuite une tournure encore plus dramatique avec cette vérité qui nous est assénée. Un film proche d’atteindre les grands sommets.

     

    Il faut le voir pour : Surveiller davantage vos affaire lorsque vous irez au ski !

  • Johnny English, le retour

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    Depuis le désastre de sa mission au Mozambique, l’agent Johnny English (Rowan Atkinson) a été révoqué du MI 7 et s’est exilé au Tibet. Alors que plus personne ne s’attendait à le revoir au service de sa majesté, Pegasus (Gillian Anderson) est forcée de le réactiver pour une mission d’une extrême importance. Un contact localisé à Hong-Kong a en effet demandé à rencontrer English pour lui dévoiler les détails concernant le prochain assassinat du premier ministre chinois. Il y apprend par ailleurs qu’un groupe de tueurs à gages nommé Vortex est chargé d’exécuter ce contrat mais ils devront d’abord réunir une clé divisé en 3 parties.

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    On ne peut pas dire que le personnage de Johnny English ait laissé un souvenir impérissable au cinéma mais on apprécie toujours de revoir notre pote Rowan Atkinson. Une nouvelle mission attend l’agent britannique à qui aucune gaffe n’échappe et même si l’humour est relativement primaire, on se marre toujours de bon cœur. Comment ne pas rire devant cette mamie asiatique capable de transformer son aspirateur en fusil ou en tronçonneuse ? Bien entendu, si vous n’avez jamais supporté l’acteur dans la mythique série Bean, inutile de vous dire que vous n’avez pas du tout votre place devant Johnny English, le retour !

     

    Il faut le voir pour : Muscler votre P… !

  • Le dernier roi d’écosse

     

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    Notre pote Nicholas Garrigan (James McAvoy) avait envie de se rendre utile et dans le même temps de vivre une aventure comme jamais il n’en a vécu, ce qui est sur c’est qu’il n’oubliera jamais son voyage en Ouganda. Engagé en tant que médecin pour venir en aide aux plus démunis, il croise très vite la route d’Idi Amin Dada (Forest Whitaker), fraichement proclamé chef d’Etat. Celui-ci est sous le charme du jeune écossais et décide alors d’en faire son médecin personnel. Nicholas n’en revient toujours pas mais il va vite déchanter car Amin n’est pas l’homme porteur d’espoir qu’il faisait croire.

     

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    Bien avant que Forest Whitaker soit auréolé de l’Oscar du meilleur acteur, j’avais déjà voulu jeter un œil à ce film mais chose rare, en pleine projection tout le cinéma de Bercy avait connu une panne de courant. Quelques semaines après, je suis donc retourné voir Le dernier roi d’écosse et c’est vrai que la performance de Forest Whitaker est somme toute assez impressionnante. Histoire passionnante malgré quelques longueurs, c’est un film essentiel à voir pour constater les horreurs perpétrés par ce dirigeant qui compte à son actif près de 300 000 victimes.

     

    Il faut le voir pour : Prendre une leçon d’histoire.