L’immeuble ne paie pas de mine et pourtant c’est là que notre pote Ching Lee (Miriam Yeung) va trouver son bonheur. C’est là qu’elle va faire la connaissance de Tante Mei (Bai Ling) qui possède la recette qui lui permettra de retrouver sa jeunesse éternelle ; elle qui veut reconquérir son mari. Il faut dire aussi que les raviolis préparés par Mei possède un ingrédient unique qui garantit leur efficacité mais peut-être vaut-il mieux pour vous ne pas le savoir car il s’agit de fœtus humains !

Moi qui adore les raviolis à la vapeur, je ne pouvais pas manquer ce film et si vous croyez que cela m’a dégoûté de ce met, vous avez tort !  S’attachant au thème de la jeunesse éternelle tout en développant d’autres questions sociétales, Nouvelle cuisine ne réussit toutefois pas retenir l’attention outre mesure. Le film reste de bonne facture mais j’estime qu’il aurait pu aller plus loin avec un sujet aussi intéressant mais certains d’entre vous auront du mal à retourner au restaurant chinois !

La vie est belle pour notre pote Roddy. Ce rat apprivoisé profite de l’absence de ses maitres pour faire tout ce qui lui passe par la tête ; du golf au volley-ball, les activités ne manquent pas bien qu’il se sente un peu seul. Pas pour longtemps puisqu’il va recevoir la visite inopinée d’un rat d’égout Syd qui l’envoie promener dans les toilettes et c’est ainsi qu’il atterrit à Souris City. Bien décidé à retrouver sa vie d’antan, il doit absolument retourner dans le quartier de Kensington et c’est à cette occasion qu’il va faire la connaissance de Rita. Ses aventures ne font que commencer !!

Les premières images m’avaient laissé de glace mais Souris City est le fruit de grands studios d’animation responsables entre autre de Shrek & Wallace et Gromit. Un gage de qualité donc ne serait-ce qu’au niveau technique avec des images de synthèse de toute beauté et un effet pate à modeler qui le distingue des autres films d’animation. Bien entendu, cela reste réservé aux plus jeunes d’entre nous avec une histoire basique mais les plus grands et de surcroit amateurs de comics s’amuseront à rencontrer de nombreuses références à leurs héros !

Bonsoir Messieurs dames !

Bienvenue au Cabaret Paradis ! Je m’appelle Shirley (Corinne Benizio) et je suis heureuse de vous accueillir ce soir pour un formidable spectacle que vous n’êtes pas prêts d’oublier.

Nous allons vous proposer plein de numéros avec des danseuses, des chanteurs enfin un chanteur mais bien celui-là ! N’hésitez pas non plus à aller acheter vos saucisses frites qui vous seront servi au bar.

Bon…et bien nous allons commencer, quoi Dino (Gilles Benizio) ? Oh mais arrêtes !! Non je vais pas commencer à leur chanter L’infirmière mais peut-être plus tard, allez place au spectacle !

En Résumé : Si vous êtes fans du duo de comiques, une chose est certaine vous ne serez pas dépaysés par ce film qui restitue parfaitement l’esprit insufflé par Shirley & Dino. Maintenant, d’un point de vue cinématographique, ce n’est pas à proprement parler un film dans le sens où l’histoire est quasi inexistante et seul compte la performance de nos héros. Si vous adorez leurs passages chez Patrick Sébastien, vous serez comblés avec ce Cabaret Paradis.

La guerre des gangs ne compte plus ses victimes à Boston, une ville contrôlée par Franck Costello (Jack Nicholson) mais ses affaires dérangent. Du coté des autorités, on a bien l’intention de mettre fin à tout ça et c’est pour cela que l’on confie une mission d’infiltration à Billy Costigan (Leonardo DiCaprio). De son coté, Costello a également une taupe au sein de l’Unité Spéciale avec Colin Sullivan (Matt Damon) qu’il a connu depuis son enfance. Ces 2 infiltrés jouent un jeu dangereux et mettent leur vie en danger chaque jour, qui sera découvert ?

Un film de Martin Scorcese avec Leonardo DiCaprio, Matt Damon, Jack Nicholson, Mark Whalberg, Martin Sheen ou encore Alec Baldwin. Une distribution impressionnante qui vous donne une idée de la qualité des Infiltrés et franchement vous ne vous ennuierez pas ! Haletant du début jusqu’à la fin avec des comédiens au top (mention spéciale pour Nicholson & Whalberg) et un soupçon d'ambiance irlandaise, c’est indéniablement une réussite. En tout cas, ça donne envie de découvrir Infernal Affairs, film hongkongais dont c’est l’adaptation.

La terre, dans une autre réalité. On a découvert l’existence de la Rivière de la vie que l’on peut considérer comme le sang de notre planète mais également comme une source d’énergie prodigieuse. Très vite, l’organisation de la Shinra s’empare de la rivière pour l’exploiter mais s’expose dans le même temps aux vives réactions de ses opposants. Pour se protéger, elle crée alors le SOLDAT, un groupe de forces spéciales dotés notamment du gêne de Jenova qui s’est écrasée sur Terre. Du temps a passée et nous retrouvons notre pote Cloud qui va recevoir des nouvelles de la Shinra concernant le mystérieux groupe de Kadaj.

A réserver avant tout aux amateurs du jeu vidéo (Final fantasy VII), ce film bénéficie d’une beauté à vous couper le souffle. Le scénario, quant à lui, pourrait en déconcerter plus d’un puisque vous pourriez bien être perdu si vous n’avez jamais joué au jeu sachant que Advent Children est dans la continuité. Impressionnant à de nombreux égards, il est juste dommage que l’on n’ait pas eu droit à une sortie cinéma certainement parce que les producteurs étaient échaudés par l’échec du film Final Fantasy.

C’est désormais officiel, l’agent secret britannique James Bond (Daniel Craig) a obtenu le statut 00. De nouvelles missions s’ouvrent à lui et le MI6 va d’ailleurs l’utiliser dans la lutte contre le terrorisme impliquant notamment Le Chiffre (Mads Mikkelsen), banquier privé qui jongle avec les millions. C’est dans une partie de Poker que nos 2 potes vont s’affronter et Bond a bien l’intention de mettre fin à ses agissements avec l’aide de la charmante Vesper Lynd (Eva Green).

L’agent 007 est de retour !! On nous avait promis du changement et des aventures plus explosives et vous en aurez pour votre argent avec 1 James Bond plus en forme que jamais. Si l’on retrouve bien certains éléments propres à l’espion, les grands fans regretteront certainement l’absence de gadgets qui faisaient sa réputation. Casino Royale c’est avant tout un bon film d’action avec un héros encore fragile et se laissant parfois emporter par contre pourquoi Caterina Murino est-elle si peu exploitée ? Un personnage aussi belle qu’anecdotique !

Allo Min-Gi (Jin ku)

C’est Sun Woo (Byung-hun Lee). Désolé de te déranger à l’hôtel mais je n’ai pas vraiment le choix alors sois le plus discret possible !

Tu sais sans doute que Kang (Kim Young-Cheol) a voulu se débarrasser de moi. Il m’avait confié une mission et je l’ai trahi en laissant la vie sauve à sa maitresse. Maintenant, après 7 ans durant lesquels je l’ai servi comme un chien il veut me tuer.

Je ne sais pas encore ce que je vais faire mais ce qui est sur c’est que j’irais jusqu’au bout !

En résumé : Dans les années 1990, les spectateurs étaient galvanisés par la vague des films en provenance d’Hong Kong, période faste avec des réalisateurs emblématiques comme John Woo, Tsui Hark ou Ringo Lam. Désormais, il faudra faire place aux coréens car s’ils continuent à nous proposer des films comme A bittersweet life, ils vont vite devenir les nouvelles coqueluches asiatiques. Beau, passionnant, émouvant ; on pourrait continuer indéfiniment mais je ne dirais qu’une chose : découvrez le cinéma coréen et savourez ce film !

Park Kang-du (Song Kang-Ho) n’a rien du héros, bien au contraire quand on le voit affalé sur le comptoir du snack de son père aux bords de la rivière Han on se dit qu’on a rien à lui envier. Pourtant, c’est un papa fantastique prêt à se sacrifier pour offrir le meilleur à sa fille Hyun-Seo (Ah-sung Ko) notamment pour lui offrir un portable digne de ce nom. Toutefois, leur vie va être bouleversé par l’apparition d’un monstre, fruit d’une mutation due à un déversement de formol il y a quelques années.

Je vous l’avais déjà dit, le cinéma coréen est en plein boom et l’on est en train de découvrir quelques œuvres très intéressantes ! The Host fait parti de ceux-là car il ressemble à un film d’épouvante mais ne respecte aucun code pré-établi et ça fait du bien de découvrir un cinéaste qui ne se contente pas de faire un copier/coller. Le coté épouvante n’est qu’une part minime, l’intérêt principal réside dans les messages que délivre ce film : hégémonie américaine, problèmes sociaux en Corée…

Notre pote l’inspecteur Eric Mathews (Donnie Wahlberg) est loin d’être un flic exemplaire ; bien au contraire, pour lui tous les moyens sont bons pour mettre sous les verrous la racaille. C’est comme ça qu’il a réussi à mettre sous les verrous bon nombre de délinquants mais son attitude immorale se retourne contre lui aujourd’hui puisqu’il est la cible du terrible Jigsaw (Tobin Bell). Le jeu ne fait que commencer car le tueur en série a enlevé le fils de l’inspecteur et l’a enfermé dans une maison piégée en compagnie de 7 autres personnes, ça va saigner !

Plus de victimes, plus de sang, plus de scènes gores et toujours moins d’originalité ! Saw effectue donc son grand retour après le succès surprise du premier épisode car l’argent facile est toujours bon à prendre. Avec un scénario aussi élaboré qu’un bon épisode de Sous le soleil, cette séquelle n’arrive pas à nous surprendre et le dénouement est plus que prévisible (une fois encore j’avais deviné la fin !). Saw II donnera l’occasion pour les fans de la série 7 à la maison de voir Beverley Mitchell ou encore de revoir Dina Meyer (annoncée dans Saw III) en dehors de ça c’est bien terne !

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Game over pour l’inspecteur Eric Mathews (Donnie Wahlberg) ! Voilà où nous en étions restés la dernière fois que l’on a croisé la route du machiavélique Jingsaw (Tobin Bell) mais sa folie n’est pas encore terminée. Ses nouvelles victimes se nomment Lynn & Jeff (Bahar Soomekh & Angus MacFayden) ; tous deux vont devoir surmonter de nombreuses épreuves durant lesquelles le sang ne manquera pas de couler à flot. Un nouveau jeu peut commencer !!

Formidable !! Je dois féliciter les producteurs pour avoir su transformer un nanar de série B en une saga culte pour de nombreux spectateurs. Après un second volet peu inspiré, Saw III n’améliore pas vraiment les choses mais a su faire parler de lui par une violence inouïe et n’apportant rien à l’intrigue. Les 20^ères vous plongeront dans un effroi total (ne déjeunez pas avant le film !) avant de broder un semblant d’histoire qui met un terme à cette trilogie. Je ne serais toutefois pas surpris de voir de nouveaux épisodes arriver car je pense qu’il y a encore de l’argent à se faire !

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