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film - Page 267

  • Paintball

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    A la recherche de sensations fortes, 8 personnes qui ne se connaissaient pas vont constituer l'équipe verte pour une partie de paintball qui restera gravé dans leurs mémoires. Leur terrain de jeu est tout simplement la plus grande surface de paintball qui existe en Europe, un lieu gardé secret. C'est encagoulé et menotté qu'ils sont conduits dans ce paradis et l'excitation est à son comble quand enfin ils peuvent se lancer dans l'action. Ils essuient vite une première attaque de l'équipe adverse mais lorsque l'un d'eux est abattu par une véritable balle, le jeu auquel ils croyaient participer devient un massacre.

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    Se faire la guerre, tous les garçons ou presque ont joué à ça lorsqu'ils étaient plus petit et le Paintball n'est que l'extension de ce jeu. De ce sport populaire, pourquoi ne pas en tirer un film après tout il suffit juste de remplacer les balles de couleurs par des balles en plomb ! Histoire de ne pas se voir taper sur les doigts par la censure, le film édulcore la violence de certaines scènes en faisant place à une vision thermique. C'est sur que voir du sang blanc gicler c'est tout de même moins choquant pour les âmes sensibles. Loin d'être un film exceptionnel, ça reste un divertissement convenable qui vous permettra de tuer le temps si jamais la pluie vous empêche de vous faire une vraie partie de Paintball.

     

  • Agora

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    IVème après J.C. à Alexandrie, les Chrétiens occupent une place de plus en plus importante dans la société allant jusqu'à menacer l'existence même des Païens. Hypathie (Rachel Weisz), philosophe et astronome, enseigne son savoir mais assiste impuissante à la montée en puissance du Christianisme et ne peut empêcher la révolte des Païens. Celle-ci visait à chasser les Chrétiens mais aura l'effet inverse. Quelques années plus tard, beaucoup se sont convertis au Christianisme or désormais ce sont les Juifs qui deviennent les nouvelles cibles des attaques ; une autre guerre religieuse est sur le point d'être déclarée.

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    Les conflits religieux, on le sait, remontent à des temps ancestraux et ne risquent pas de s'éteindre malgré le poids des siècles. Agora vient donc nous amener un nouvel éclairage en revenant sur l'émergence du Christianisme et sa confrontation avec les autres religions. Une reconstitution historique de toute beauté signée par le cinéaste espagnol Alejandro Amenabar qui, dans son cadrage aérien, résume tous ces conflits religieux à une bataille de fourmis dans l'immensité de l'univers. Moins impressionnant que l'on ne l'aurait cru, ça reste tout de même un film passionnant bien que je trouve le personnage incarné par Max Minghella un peu passif.

     

    Il faut le voir pour : Relire la bible concernant la place de la femme ...

     

  • Just another love story

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    Jonas (Anders W. Berthelsen) et sa famille l'ont échappé belle ; alors que leur voiture était tombé en panne en plein milieu de la route, une autre a surgi soudainement derrière et a provoqué un accident juste devant ses yeux. Au volant de ce véhicule il y avait une femme Julia (Rebecka Hemse) tombée dans le coma et Jonas, se sentant un peu responsable de ce qui lui est arrivé, décide d'aller prendre de ses nouvelles à l'hôpital. Lorsqu'il arrive à son chevet, il est victime d'un malentendu ; toute la famille le confond avec Sebastian (Nikolaj Lie Kaas), le petit ami que Julia a rencontré lors de son voyage en Asie. Devant l'état désespéré de la jeune femme, Jonas décide de jouer le jeu à ses risques et périls.

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    Après 10 premières minutes déstabilisantes où l'on assiste à une succession de scènes sans queue ni tête, l'intrigue de Just another love story lève doucement son voile pour laisser place à un thriller efficace. Le scénario profite de l'amnésie du personnage de Julia pour reconstruire l'histoire maintenant ainsi notre attention intact pendant une bonne partie du film. Une très bonne surprise qui nous vient du Danemarket qui a d'ailleurs tapé dans l'œil des américains qui prépareraient un remake mais n'oubliez pas que l'original est souvent bien meilleur. Vous savez ce qu'il vous reste à faire !



    Il faut le voir pour : Eviter de ramener les sous-vêtements de vos maitresses à la maison, ça risque d'éveiller des soupçons.

  • Bliss

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    Contrairement à sa petite sœur, Bliss (Ellen Page) n'a pas l'intention de se transformer en poupée Barbie pour satisfaire sa mère. Aux défilés de mode, elle préfère s'éclater durant les parties de Roller Derby. C'est simplement en allant faire des courses qu'elle a découvert ce sport et ce fut immédiatement le coup de foudre. Il aura fallu un peu de temps pour qu'elle se remette au patin mais Bliss se révèle être une patineuse très véloce, un atout dont compte bien profiter les Hurl Scouts. L'équipe pratiquait le Roller Derby avant tout pour s'amuser mais avec leur nouvelle recrue, les filles se rendent comptent qu'elles peuvent créer la surprise durant le championnat.

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    Au départ, il s'agit d'un roman de Shauna Cross qui connait d'autant mieux l'univers du Roller Derby qu'elle le pratique régulièrement. Cette adaptation est signée Drew Barrymore qui s'essaie pour la première fois au métier de réalisatrice et qui s'en sort de façon honorable évitant les faux pas. La présence de d'Ellen Page, la révélation de Juno, est également un atout pour Bliss mais l'attrait principal reste la découverte du Roller Derby, un sport qui pourrait bien devenir à la mode. On aurait apprécié que les matchs soient un peu plus soutenus dynamisant ainsi le film qui finit par devenir une banale comédie sentimentale

     

    Il faut le voir pour : Rechercher dans le grenier si vous avez encore vos patins à roulettes

     

  • Gigantic

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    Tout a débuté lorsqu'il (John Goodman) a voulu s'acheter un matelas et c'est ainsi qu'il a rencontré Brian Weathersby (Paul Dano), le vendeur. L'affaire est vite conclue pour 14 000 dollars, il va pouvoir soulager son dos qui souffre le martyr et c'est sa fille qui viendra effectuer le paiement. Quand Happy (Zooey Deschanel) se présente, elle ne laisse pas Brian complètement indifférent mais ce n'est que plus tard qu'ils passeront à l'action. Un nouveau couple est né pourtant tout oppose ces deux-là ; Brian est un garçon dont le rêve est d'adopter une petite fille chinoise tandis que Happy éprouve de nombreuses difficultés à s'engager aussi bien dans sa vie privée que professionnelle.

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    Alors soit il me manque des neurones (pas de commentaires sur ce sujet s'il vous plait) soit il manque vraiment quelque chose à ce film. Pendant toute la durée du film, on pense avoir à faire à une comédie sentimentale puis un évènement sorti presque de nulle part nous bouscule sans que cela ait vraiment une incidence sur le reste de l'histoire. C'est sur que Gigantic a quelque chose de particulier ne serait-ce d'abord avec son héroïne Zooey Deschanel parfaite dans la peau de cette femme délurée un peu dans l'esprit de (500) jours ensemble. Un film vraiment étrange et qui laisse un vague gout d'inachevé.

     

     

    Il faut le voir pour : Remplacer votre matelas par un modèle suédois.

     

  • Crazy Lee, agent secret coréen

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    Cette mission est de la plus haute importance, il faut retrouver ce bouddha en or où est renfermé une précieuse liste d'espions coréens. Une liste que convoite les Japonais qui occupent actuellement le pays mais ils vont devoir affronter un des meilleurs agents Coréens, l'agent number one Crazy Lee (Lin Won-Hee). Sa réputation est légendaire, croiser son visage vous glacera le sang et c'est donc lui qu'on envoie en Manchourie afin de récupérer le bouddha mais les choses ne se passent pas comme prévu. Lors d'une attaque, il perd accidentellement la mémoire et en sait plus du tout qui il est ; la mission est compromise !

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    Si la France a OSS 117, la Corée a également le sien et il s'appelle Crazy Lee ! Vous l'avez compris c'est donc une comédie teintée d'espionnage qui nous est présenté mais le résultat est loin d'atteindre des sommets. Il y a des passages assez marrants (l'agent Lee en sanglots) avec un humour très absurde un peu comme celui que l'on peut trouver chez les japonais et qui donc risque de ne pas toucher tout le monde. Un film assez fade malgré le bon numéro du personnage principal, on est loin de se marrer de bout en bout ce qui fait de Crazy Lee, agent secret coréen une comédie totalement anodine. Mieux vaut s'abstenir pour l'instant aux films d'action pour apprécier le cinéma sud-coréen.

     

  • Le siffleur

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    Armand Teillard (François Berléand) est un homme qui ne s'énerve jamais. Même lorsqu'on le soupçonne à tort de fraude fiscale, il accepte tout de même de payer une petite compensation ne serait-ce que pour sauver les apparences de l'administration. Mais aujourd'hui, il est vraiment révolté car le restaurant dans lequel il déjeune chaque jour risque de fermer prochainement. Les propriétaires sont victimes de racket et envisagent sérieusement de vendre cette affaire familiale. C'est alors qu'Armand leur propose les services de son frère jumeau appelé Maurice le siffleur, quelqu'un qui sait employer la manière forte quand il le faut !

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    Une énième comédie française pas désagréable à voir et qui, avec un peu plus d'efforts, aurait pu se révéler très sympathique. Les bons cotés résident dans ce personnage de Maurice - Héros issu du roman de Laurent Chalumeau - qui se montre parfois très fragile et dans un scénario qui multiplie les rebondissements. Il est juste dommage que les personnages secondaires soient aussi caricaturaux avec une mention spéciale pour Candice qui fait honneur à la réputation (usurpée ?) des blondes et qui en joue énormément sans oublier Xavier, la brute sans cervelle. Le siffleur est donc agréable à voir mais n'a rien de vraiment transcendant pour s'imposer dans les salles.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de lire des livres, ça vous endort.

     

  • Coco Chanel & Igor Stravinsky

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    1920. Coco Chanel (Anna Mouglalis) est une créatrice reconnue, un succès qui s'est concrétisé avec l'ouverture de sa boutique à Paris. Au cours d'une soirée, elle rencontre Igor Stravinsky (Madds Mikkelsen) qu'elle avait déjà eu l'occasion de voir quelques années auparavant lors d'une représentation qu'il avait donné et qui s'est avéré être un véritable fiasco. Admiratrice de son travail, Coco lui propose de s'installer dans sa maison de campagne où il pourra composer en toute quiétude. C'est donc avec femme et enfants qu'il vient rejoindre la célèbre couturière mais très vite entre les deux une relation nait.

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    8 mois après le Coco avant Chanel, voilà que Jan Kounen s'attaque lui aussi au mythe de la célèbre couturière. Adapté du roman de Chris Greenhalgh, c'est une Coco Chanel incarnée cette fois par l'ex-égérie de la marque Chanel Anna Mouglalis et qui a déjà pris ses marques dans le milieu de la mode dont on découvre la liaison entretenue avec le compositeur Igor Stravinsky. Kounen offre un film correct et plutôt sage alors qu'on était en droit de s'attendre à quelque chose de plus sulfureux. Ceux qui avaient été séduits par la première adaptation cinématographique devraient également trouver leur compte avec Coco Chanel & Igor Stravinsky puisque les 2 films se complètent presque parfaitement, le hasard fait parfois bien les choses.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir les origines du nom d'un parfum mythique !

     

    Ensa voir plus sur Coco avant Chanel ?

  • Flashpoint

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    Notre pote Ma Jun (Donnie Yen) est un flic, son job est de mettre sous les verrous tous les truands qu'il croise. Certes, ses méthodes sont un peu violentes mais les résultats sont là ce qui n'est pas vraiment de l'avis de ses supérieurs qui souhaiteraient qu'il calme ses ardeurs. Pendant ce temps, un autre flic Wilson (Louis Koo) joue les taupes et a infiltré la bande de 3 frères vietnamiens qui font la loi à Hong Kong. Difficile de les prendre la main dans le sac, il faut donc faire preuve de prudence mais wilson se fait bientôt démasquer. Non seulement il est en grand danger mais son entourage devient également une cible privilégiée.

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    Rien de tel qu'un bon petit policier hong-kongais pour se détendre et avoir sa dose d'action et de gunfights pour bien commencer la journée. Devant la caméra, on retrouve Donnie Yen plus habitué aux seconds rôles et chorégraphe confirmé qui prouve qu'il n'a rien à envier à des mecs comme Jackie Chan ou Jet Li. Bon, c'est vrai que ce n'est pas un chef d'œuvre avec son scénario plutôt limité mais Flashpoint a le mérite de se rattraper par ses scènes d'action dynamiques. On retiendra notamment un combat final bluffant où les dialoguistes n'ont pas du avoir beaucoup de travail. Un bon film légèrement bourrin mais qui fait du bien là où il passe !

     

  • La merditude des choses

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    Grandir à Trouduc-les-oyes n'est pas vraiment l'environnement idéal pour un enfant mais notre pote Gunther (Kennteh Vanbaeden / Valentijn Dhaenens) n'as pas eu le choix. Elevé par son père Marcel (Koen De Graeve) et entouré de ses 3 oncles Baraqué, Petrol & Koen (Joan Heldenbergh, Wouter Hendrickx & Bert Haelvoet) et de sa Grand-mère (Gilda De Bal), son éducation s'est faite à coups de sorties au bar et de concours de cyclistes nudistes. Sa mère elle était partie refaire sa vie sans se soucier de ce qu'il deviendrait, Marcel a bien tenté de la faire revenir mais en vain. Famille atypique, les Strobber sont néanmoins solidaires les uns envers les autres ce qui leur permettra de traverser pas mal d'épreuves.

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    Voilà une curiosité venue de nos voisins les belges que vous n'oublierez pas de sitôt ! Impossible de réellement vous décrire ce film belge qui nous présente une famille complètement allumée et biberonnée à la bière. Ainsi ceux qui se marrent devant le journal du Groland ne seront franchement pas dépaysés par ce film qui vous réserve des scènes parfois hallucinantes. Si vous ne l'avez pas encore compris, La merditude des choses est un rendez-vous incontournable pour les amateurs d'humour gras. Une petite perle du cinéma belge qu'il faut absolument découvrir et c'est pourquoi c'est un Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Vous préparer pour le Tour de France version alcoolisée !