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epouvante-horreur - Page 6

  • The secret

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    Cold Rock est une ville morte depuis la fermeture de sa mine. Le manque de travail s’accompagne d’un moral au plus bas et comme si cela ne suffisait pas ; des enfants disparaissent régulièrement. On raconte qu’un homme désigné comme le Tall Man vient les kidnapper laissant des familles désemparées. Depuis la mort de son mari, notre pote Julia Denning (Jessica Biel) vit avec son fils David (Jakob Davies) et Christine (Eve Harlow) ; elle est bien loin de se douter que dans quelques heures son enfant sera kidnappé. Réveillée en pleine nuit, elle découvre Christine ligotée mais croise le ravisseur et sans réfléchir se lancer à sa poursuite prête à tout pour récupérer son garçon.

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    Parti s’exiler Outre-Atlantique, le réalisateur français Pascal Laugier offre dans un premier temps un thriller musclé où Jessica Biel prouve que la volonté d’une mère donne parfois des ailes. On nous avait promis une surprise à la Sixième sens et c’est vrai que le scénario a de quoi nous prendre à contrepied mais dans le même temps, une fois la révélation dévoilée l’intérêt s’évapore rapidement. On a comme l’impression d’un coup de frein dans le film ce qui donne ainsi un résultat très mitigé à The secret. Tout réside donc dans la découverte de ce twist qui attisera peut-être votre curiosité en dehors de quoi on l’oubliera vite.

     

    Il faut le voir pour : Vérifier les actes de naissance de vos enfants.

  • L’ile des abeilles tueuses

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    Cela fait 13 ans que notre pote Karla (Janin Reinhardt) n’est pas revenue sur l’ile de Majorque où vit son père Hans (Klaus J. Behrendt) qui a fondé une nouvelle famille. Le retour de cette jeune étudiante en médecine ne s’est pas fait pour le plaisir mais pour régler une affaire de succession cependant, un évènement va perturber son séjour. Hans est pris d’un malaise qui est en fait la conséquence d’une piqure d’abeille mais une espèce d’abeille très particulière. C’est en effet ce que découvre Karla avec l’aide de Benjamin Herzog (Stephan Luca), un chauffeur de taxi qui s’avèrera être entomologue. Ils essaient désormais d’en apprendre davantage sur cette espèce avec l’espoir également de trouver un antidote mais pendant ce temps c’est toute l’ile et ses habitants qui sont menacés.

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    Si l’on en croit les prédictions du génie Einstein, l’abeille est l’avenir de l’homme et c’est par cette célèbre citation que débute L’ile des abeilles tueuses. D’entrée le niveau intellectuel est élevé mais bizarrement la suite de ce film allemand effectue une chute vertigineuse, surprenant non ? A l’instar de L’attaque des guêpes tueuses, ça manque profondément de fun et on n’a fait preuve de peu d’imagination puisque les attaques se résument à un casting qui court dans tous les sens poursuivis par des abeilles numériques. L’intensité dramatique est quant à elle assurée par le sort du père de l’héroïne qui nous maintient autant en haleine que le destin des vers de terre en Amazonie. Encore uns fois, ça tente d’abord d’éviter le ridicule mais ça n’empêche pas pour autant que ce soit nul.

     

    En savoir plus sur L’attaque des guêpes tueuses ?

  • L’attaque des guêpes tueuses

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    Un camion venait tout juste de traverser la frontière entre le Guatemala et le Mexique lorsqu’il a eu un accident sur la route. Lorsque la reporter Sandra Kern (Kaarina Aufranc) et son assistant Charlie (Freddy Soto) en pleine enquête arrivent sur les lieux, ils découvrent également un policier sur place victime de plus d’une cinquantaine de piqures. Si  on ignore encore ce qui a bien pu lui arriver, notre pote Daniel Lang (Shane Brolly), pourchasseur d’insectes (mais lui préfère le terme d’entomologiste)  s’intéresse lui à une caisse qui renferme ce qui apparait comme un nid. Il découvrira par la suite qu’une nouvelle espèce de guêpes prolifère dans la région et qu’ils sont particulièrement agressifs puisqu’on va identifier une nouvelle victime.

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    Ce n’est pas la taille qui compte … je ne sais pas à quoi vous pensez mais je parle ici des petites guêpes qui vont venir provoquer l’affolement au cœur d’un village mexicain. Il faut être lucide, difficile d’être impressionné par cet insecte lorsqu’on a connu des super requins, des crocodiles géants et autres animaux du zoo surnaturel. D’autant plus que les malheureuses victimes qui ont subi L’attaque des guêpes tueuses s’en tirent avec juste quelques boutons, on aurait apprécié quelque chose d’un peu plus violent de la même façon que la scène de la morgue. Ça ne vole pas bien haut ce qui n’est pas une surprise, on s’est contenté d’un film banal où nos "prédateurs" n’apparaissent pas plus d’un quart d’heure et qui ne font finalement pas plus de dégâts qu’un moustique. Pas assez folle la guêpe sur ce coup-là !

  • Killer Shark

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    Dans cette ville située près de Cypress Lake en Louisiane, on adore les alligators et d’ailleurs commence bientôt le 10ème Gator Fest ; un évènement que beaucoup attendent pourtant c’est un autre prédateur qui va avoir droit aux feux des projecteurs. On ignore comment, un requin a atterri dans le marais et provoque un vrai massacre s’attaquant même aux êtres humains. Pour sauver son restaurant familial, notre pote Rachel (Kristy Swanson) et ses compagnons vont tout mettre en œuvre pour neutraliser ce requin qui semble plus résistant que d’ordinaire. Ils vont en effet découvrir que l’animal a développé une carapace naturelle qui le rend insensible aux armes à feu et il sera donc difficile de l’éliminer.

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    Déjà Killer Shark échappe à la catégorie Nanar, ne vous attendez pas à trouver un super requin géant mutant, de super combats avec les alligators ou une histoire rocambolesque. On a devant nous un film qui se prend au sérieux ou du moins il essaie car son scénario est d’une profonde banalité et les personnages sont à peine plus expressifs que des appâts vivants. Entre les jeunes qui se la jouent rebelles ou le shérif ripoux, l’excitation est loin d’être au rendez-vous et il n’y a encore que les apparitions du squale qui maintiennent un semblant d’intérêt. Inutile de vous dire que ça manque carrément de mordant et il est difficile de lui trouver de bons arguments pour vous convaincre de vous jeter à l’eau en même temps c’est normal ; il n’y en n’a pas !

  • Mega Shark Vs Crocosaurus

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    Et si le Megalodon était encore en vie ? C’est la folle théorie de notre pote le Lieutenant Terry McCormick (Jaleel White) car après tout on n’a pas retrouvé sa carcasse. Personne n’y croyait vraiment à bord de l’USS Gibson et pourtant lorsque ce requin géant vient les attaquer, ils vont vite réaliser leur erreur. Alors que le navire de guerre s’enfonce dans les eaux profondes, seul Terry parvient à s’en sortir mais il pleure la disparition de sa fiancée Corrine (Nicola Lambo) qui était à bord. Pendant ce temps au Congo, un monstre sème la terreur ; un crocodile géant a émergé d’une mine de charbon et Nigel Putnam (Gary Stretch) se voit engager pour le chasser. Il parvient à le neutraliser temporairement mais lors d’un voyage en mer, la rencontre avec le requin va tout bouleverser.

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    Vous ne l’aviez pas vu venir ce retour du Mega Shark, en même temps il est fort probable que vous n’ayez pas vu tout court ses premières aventures. Plus de calmar ou de pieuvre géante à lui opposer ici mais un énorme crocodile ! Au départ, ce Mega Shark Vs Crocosaurus s’avère un peu (mais vraiment un tout petit peu) plus fun que son prédécesseur ; les monstres apparaissent rapidement et les scènes d’action sont dignes d’un bon nanar comme en témoigne le combat mené contre cet aileron géant. Par la suite, ça devient bien plus monotone puisqu’on se contente d’une chasse aux œufs menée soit à bord d’un hélico soit à l’intérieur d’un sous-marin. Pour l’anecdote, on retrouve Jaleel White qu’on a connu dans la peau du célèbre Steve Urkel.

     

    En savoir plus sur Mega Shark Vs Giant Octopus ?

  • Abraham Lincoln : Chasseur de vampires

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    En 1818, notre pote Abraham Lincoln (Lux Harney-Jardine/Benjamin Walker) n’est encore qu’un enfant lorsqu’il perd sa mère dans d’étranges circonstances. Témoin direct de cette nuit d’horreur, il sait que le responsable de sa mort n’est autre que Jack Barts (Marton Csokas) mais à ce moment là il ignorait encore qu’il s’agissait d’un vampire ! Ce n’est que 9 ans plus tard qu’il découvrira la vérité révélée par Henry Sturgess (Dominic Cooper) qui a dédié sa vie à exterminer ces créatures. Abraham veut lui aussi participer à leur destruction e si pour cela il doit oublier toute notion de vengeance, il sait qu’un jour ou l’autre il aura la peau de Barts. L’homme s’illustre aussi à travers un autre combat ; celui contre l’esclavagisme et qui va le conduire à devenir le 16ème président des Etats-Unis !

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    Voilà comment rendre l’histoire intéressante ; il suffit d’y parsemer des vampires et c’est tout de suite plus captivant n’est ce pas ? Bien entendu, on repassera pour découvrir un biopic sur Lincoln et on appréciera à sa juste valeur ce divertissement qui n’est là que pour vous vider l’esprit. Adaptation d’un roman de Seth Grahame-Smith, on délaissera tout ce qui est autour des scènes d’action pour se contenter d’un spectacle constitué de décapitations et de bastons en slow-motion agréable mais peu impressionnant sans compter que le héros Benjamin Walker manque cruellement de charisme. J’aurais bien aimé que Timur Bekmambetov assume ce Abraham Lincoln : Chasseur de vampires jusqu’au bout et nous propose un film d’action un peu plus excitant ; on se contentera d’une légère récréation.

     

    Il faut le voir pour : Toujours avoir un plan de secours !

  • My soul to take

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    Il y a 16 ans, la peur s’était installée dans la ville de Riverton où un serial-killer a marqué les esprits. Aujourd’hui, le souvenir de ce meurtrier est perpétué à travers un curieux rituel car sa mort correspond également à la naissance de 7 enfants. Ils s’appellent Penelope, Brittany, Jay, Brandon, Jerome, Alex & Adam (Zena Grey, Paulina Olszynski, Jeremy Chu, Nick Lashaway, Denzel Whitaker, John Magaro & Max Thieriot) et fêtent ainsi leur 16 ans et ils vont voir ressurgir ce tueur. Cela commence d’abord par la mort de Jay dont on retrouve le corps dans la rivière et il n’est que le premier de la liste ! Très vite une question se posera : s’agit-il du même tueur ou peut-être son âme s’est-il réincarné chez l’un des sept adolescents.

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    Il ne faut pas se le cacher, si My soul to take n’est pas sorti directement en vidéo ce n’est que parce que son réalisateur s’appelle Wes Craven. Difficile de deviner que le papa de Freddy et de Scream se cache derrière ce film d’épouvante qui ne réussira à nous effrayer que par sa terrible médiocrité. Le fameux serial-killer censé nous terroriser vous fera autant sursauter qu’un bon épisode de Scooby-doo tandis que ses victimes auraient bien mérité de passer à trépas bien plus tôt ! Quant au personnage de Bug, il est celui qui aurait du apporter un peu d’âme à ce film mais il est à mettre dans le même panier que les autres. Non, mais sans déconner Wes tu nous as refourgué un des films de ta jeunesse ?

     

    Il faut le voir pour : Eviter d’attaquer le condor de Californie !

  • Dinocroc

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    Les laboratoires Gereco travaillent actuellement sur une technologie révolutionnaire qui serait capable de régénérer des organes malades. Pour effectuer les tests, ils se sont servis de 2 crocodiles comme cobayes et un drame est survenu lorsqu’une jeune femme a été dévorée mais ce qui les inquiète le plus c’est qu’un crocodile s’est échappé. Pas question d’en parler au Shérif Harper (Charles Napier), cette affaire doit rester la plus discrète possible mais il sera difficile d’ignorer les exactions d’une créature qui ne cesse de se d’évoluer. Au même moment, le jeune Michael (Jake Thomas) s’active pour retrouver son chien Lucky qui a disparu. Il entend dire que celui-ci aurait été aperçu aux abords des laboratoires Gereco et le garçon décide de s’y rendre seul sans avoir conscience du danger qu’il court.

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    Il y a du crocodile mutant au menu aujourd’hui et contrairement à ce que vous pourriez penser, ce n’est pas accompagné de navets ! Non, ce Dinocroc ne vous donnera pas vraiment l’occasion de se moquer. Les apparitions du monstre sont limitées et puis surtout on a déjà vu bien pire en termes d’effets spéciaux ce qui fait que le ridicule échappe au rendez-vous. Il y a même une scène assez étonnante où notre pote Michael perd la tête, pas commun de voir un gamin se faire bouffer de la sorte ! Ce n’est pas pour autant qu’on se jettera dans la gueule du crocodile, le scénario suit un déroulement on ne peut plus basique et les personnages sont inintéressants comme ce chasseur plus stéréotypé que jamais.

     

    En savoir plus sur Dinocroc Vs Supergator ?

  • Mega Python Vs Gatoroid

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    En tant que défenseur des animaux, notre pote Nikki Riley (Deborah Gibson) ne supporte pas de voir les serpents enfermés pour des expérimentations ; elle n’a donc aucun scrupule à leur rendre leur liberté. Le problème c’est que désormais les pythons prolifèrent dans le Bayou et que les alligators ne sont pas assez nombreux pour rétablir l’équilibre naturel. Terry O’hara (Tiffany) n’a pas l’intention de rester les bras croisés d’autant plus qu’elle a déjà perdu son fiancé Justin (Carey Van Dyke), elle va donc rendre les alligators plus puissants en leur donnant des stéroïdes. Se faisant, elle va totalement perturber l’écosystème et créer de véritables monstres qui vont faire d’innombrables victimes.

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    Ce qu’on retiendra de ce film c’est … ba rien du tout en fait puisque Mega Python Vs Gatoroid est un bon condensé ce qui peut se faire de plus mauvais dans le genre. Un scénario bien moisi, des effets spéciaux aussi sophistiqués que ma vieille Super Nintendo et puis évidemment des acteurs en carton-pâte. Il n’y a qu’à ce niveau qu’on ouvrira un peu plus l’œil puisque si on compte la présence de la regrettée Kathryn Joosten, c’est aussi l’occasion de revoir un certain A. Martinez. Oui les fans de la série Santa Barbara auront reconnu l’interprète de Cruz qui vient enrichir sa filmographie d’un navet bien consistant. Ba ouais, on se console comme on peut !!

  • Chroniques de Tchernobyl

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    Natalie (Olivia Dudley), son petit-ami Chris & Amanda (Jesse McCartney & Devin Kelley) ont décidé de se faire plaisir en s’offrant ce tour d’Europe. Ils sont passés par Londres, Paris ou encore Francfort et c’est actuellement en Russie, dans la ville de Kiev qu’on les retrouve. L’occasion pour Chris de rendre visite à son frère Paul (Jonathan Sadowski) qui va se faire un plaisir de leur servir de guide pour leur prochaine destination : Moscou. Avant de se rendre dans la capitale russe, ils vont toutefois participer à une visite très particulière ; celle de la ville de Prypiat qui fut évacuée en 1986 lors du désastre de Tchernobyl. Il n’y a plus âme qui vive sur les lieux du moins c’est ce qu’ils pensaient …

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    Fort du succès de sa franchise Paranormal activity, Oren Peli s’est construit rapidement une certaine légitimité dans le genre épouvante-horreur, légitimité qu’il entend perpétuer. Si la réalisation a été confiée à l’inconnu Bradley Parker, c’est à la production et surtout au scénario qu’il chapeaute ce projet. A l’instar de certains classiques du genre, Chroniques de Tchernobyl sacrifie son groupe de jeunes victimes à des freaks made in Russia. Que dire de plus si ce n’est que ce film ne risque en aucun cas de nous irradier avec son manque d’originalité, on sera davantage contaminé par sa médiocrité. Scénario plat, des interprètes transparents ; Tchernobyl avait déjà connu une grande catastrophe, en voilà une autre !

     

    Il faut le voir pour : Vous méfier des ours lorsque vous faites du tourisme !