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dvd - Page 40

  • Inside Man

    Bonjour,

     

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    medium_01.313.jpgJe m’appelle Dalton Russel (Clive Owen). Ecoutez moi attentivement car je pèse chacun de mes mots et je ne les répéterais pas.

     

    Aujourd’hui, je vais exécuter le braquage parfait à la Trust Manhattan. Voilà qui répondrait à la question du Où. Le Pourquoi c’est assez évident à deviner puisque c’est pour des medium_02.82.jpgraisons financières.

     

    Il nous reste la question du Comment et pour cela je vous invite à découvrir la perfection de mon plan !

     

    En Résumé : Un casting assez prestigieux aussi bien derrière que devant la caméra pour un résultat assez intéressant. Spike Lee nous offre un film qui sait se démarquer des autres productions hollywoodiennes en insérant quelques thèmes de prédilection notamment la réaction des américains après la catastrophe du 11 Septembre. Inside Man vous tiendra en haleine pendant près de 2 heures mais ce n’est pas non plus un film culte.

  • Toi et moi

     

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    Si jamais vous rencontrez par hasard notre pote Ariane (Julie Depardieu), mieux vaut ne pas lui demander des nouvelles de son couple ! Depuis 2 ans, elle n’a eu l’occasion de voir Farid (Tomer Sisley) qu’entre 2 rendez-vous d’affaire et on est bien loin des histoires à l’eau de rose que l’on lit dans les magazines. D’ailleurs, pour les lecteurs de Toi & moi, sachez que c’est notre héroïne qui est l’auteur de toutes ces histoires ; elle qui s’inspire des mésaventures de sa sœur Lena (Marion Cotillard). Mais les histoires d’amour sont toujours compliquées et ce n’est pas vous qui me contredirez !

     

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    J’avais manqué de peu d’aller le voir au cinéma car il n’était pas resté longtemps à l’affiche, maintenant je sais pourquoi ! Des comédies sentimentales, on peut en voir à la pelle mais ce film a voulu se distinguer en empruntant quelques éléments aux romans-photos. Un effet qui se limite à l’apparition d’images fixes volontairement grossières mais qui n’apportent rien à l’histoire. A cela, s’ajoute 2 personnages féminins d’une naïveté navrante qui fait de Toi & moi un film somnolent.

  • Enfermés dehors

    Allo Central !

     

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    medium_01.312.jpgCentral c’est moi, répondez ! Ici l’agent officier Roland (Albert Dupontel) euh… je vous appelle pour vous signaler un outrage à l’uniforme.

     

    Ah, y’a quelqu’un ? Ecoutez, en fait j’ai trouvé cette uniforme de policier dans la rue parce que y’avait un collègue à vous qui était pas bien alors moi je l’ai pris. J’avais ramené l’uniforme au commissariat mais on m’a chassé à coups de désodorisant.

     

    medium_02.81.jpgAlors pour le moment je vais le garder comme ça je vais pouvoir aider Marie (Claude Perron) à retrouver sa petite fille. Ce salop de Duval-Riché (Nicolas Marie), il va le payer cher !

     

    En Résumé : Comme toutes les réalisations d’Albert Dupontel, on est plongé dans un univers totalement décalé et c’est bien ça qui fait tout son talent. Avec une histoire qu’on peut considérer comme minimaliste, Enfermés dehors permet au spectateur d’analyser les travers de notre société et notamment la question de l’exclusion. Drôle et porté par un Albert Dupontel en verve, Enfermés dehors est une valeur sure du cinéma français !

  • La peur au ventre

     

     

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    Le job de notre pote Joey Gazelle (Paul Walker) est plutôt simple, il doit faire le ménage et notamment faire disparaître des flingues qui ont servi à régler quelques comptes. Oui mais quand le petit voisin Oleg Yugorsky (Cameron Bright) repère sa cachette et vole une arme pour tirer sur son beau-père, ça crée tout un tas de problèmes. S’il veut sauver sa peau, Joey va devoir remettre la main sur cette arme ce qui ne sera pas une mince à faire puisque le jeune garçon a disparu !

     

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    Encore un film que j’aurais bien aimé découvrir au cinéma car j’avais entendu dire que l’ambiance était particulièrement sombre et sanglante. Les premières minutes donnent raison à cela même si par la suite la violence s’amenuise en même temps que l’intérêt du film. A noter tout de même une réalisation dynamique grâce à l’utilisation de la Steadicam et un Paul Walker plus à l’aise que jamais dans les films d’action. Le scénario basique nuit énormément ce qui fait qu’on est loin d’avoir La peur au ventre !

     

  • Camping

    Allo ? Oui, c’est Patrick (Franck Dubosc).

     

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    medium_01.311.jpgOui Patrick des Flots Bleus. Dis moi je t’appelle pour te demander un petit service. Voilà, j’ai avec moi des amis qui sont tombés en panne et qui doivent passer la nuit dans la région.

     

    J’ai besoin d’une chambre double avec petit déj’ inclus évidemment ! Au fait ne t’inquiètes pas pour la note, mon ami Michel (Gérard Lanvin) est chirurgien esthétique alors t’imagines, en plus il a la caisse à James Bond !

     

    medium_02.80.jpgMerci beaucoup ! Ah c’est complet, c’est pas grave ils dormiront avec moi sous la tente en plus il me reste plein de Benco. Allez je te laisse je vais me préparer pour sortir au Shogun !

     

    En Résumé : Un film qui s’inspire librement du sketch de l’humoriste Franck Dubosc (36 ans de camping, véridique !) et qui dépeint à merveille l’univers chaleureux du camping. Sans trop tomber dans les travers de la parodie, Camping est une très bonne comédie avec des répliques hilarantes servies par de nombreux comédiens de talents. A voir si vous avez besoin de prendre des vacances !

  • Nouvelle cuisine

    Ah bonjour Madame Lee (Miriam Yeung), je vous attendais.

     

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    medium_01.323.jpgEntrez donc, je viens de mettre l’eau à bouillir et mes raviolis seront bientôt prêts. Je vous ai tout de suite reconnu car quand je suis arrivé à Hong Kong, on ne voyait que vous à la télévision.

     

    Je suis ravie de voir que la réputation de mes raviolis soit parvenue jusqu’à vos oreilles, quel age me donnez-vous ? Une trentaine d’année ? Oh non je suis bien plus vieille et on m’appelle Tante May (Bai Ling) aujourd’hui.

     

    medium_02.95.jpgSans vouloir me vanter, vous avez devant vous la meilleure publicité de mes raviolis ? Je vous le garantis, vous aurez vous aussi la jeunesse éternelle grâce à eux et à cet ingrédient miracle !

     

    En Résumé : L’histoire était plutôt intéressante d’autant que je raffole des raviolis à la vapeur ! A voir l’héroïne déguster ce met délicieux, ça vous donne l’eau à la bouche ce qui est fortement contradictoire avec le sentiment de dégoût que peut inspirer certaines scènes. Pour ne pas vous gâcher le plaisir de voir Nouvelle cuisine, je ne vous dévoilerais pas cet ingrédient mystère. En parallèle de l’histoire, des thèmes comme les quotas de naissance ou la recherche perpétuelle de la jeunesse sont développés mais le film est assez ennuyant dans l’ensemble.

  • Le dahlia noir

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    Dans la ville de Los Angeles des années 1940, nos potes Bucky Bleichert (Josh Hartnett) & Lee Blanchard (Aaron Eckhart) ont bien du boulot ! Tous deux sont inspecteurs de police et traquent les criminels mais une sombre affaire va venir bouleverser leur existence : celle du dahlia noir. On retrouve en effet une jeune actrice Elizabeth Short (Mia Kirshner) morte dans d’affreuses circonstances et c’est là que débute une longue et difficile enquête.

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    Bon, on va jouer franc jeu ; je me suis assoupi (dû essentiellement à la fatigue) pendant je ne sais combien de temps si bien que je suis passé totalement à coté de l’intrigue. Je me suis tout de même réveillé pour le reste du film et je dois dire qu’il n’y avait là rien de bien excitant dans cette réalisation de Brian de Palma. Le dahlia noir vous propose un thriller soigné mais tellement ennuyant que finalement je me demande si je n’aurais pas mieux fait de continuer mon petit somme !

  • Aeon Flux

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    Le monde tel que l’on a connu a bien changé, nous sommes dans un lointain futur au XXVème siècle. Un virus s’est propagé à une vitesse phénoménale et a dévasté la vie sur Terre à tel point que seule la ville de Bregna compte encore des habitants sous la coupole de scientifiques et notamment de Trevor Goodchild (Marton Csokas). Très rapidement, un groupe de rebelle s’est formé ; les Monican avec un de leurs meilleurs éléments Aeon Flux (Charlize Theron) et ils sont bien décidés à arrêter l’hégémonie de Goodchild.

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    Adaptation d’un dessin animé américain qui fit autrefois les belles heures de la chaîne musicale MTV, Aeon Flux est un film sans identité qui tombera vite dans l’oubli. Loin d’être original, il n’est d’ailleurs pas sans rappeler un autre film sorti il y a quelques mois au cinéma : Ultraviolet. Une belle héroïne, des effets visuels qui se veulent esthétiques et une action qui tente de compenser le vide scénaristique, à vous de voir si vous avez 1h30 à perdre.

  • Super Nacho

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    Déjà tout petit, il ne rêvait qu’à ça : devenir un grand et célèbre luchador ! Oui Nacho (Jack Black) veut montrer à tout le monde qu’il est capable de se défendre sur un ring et on est bien loin de son travail de cuisinier au monastère. Pour l’aider, il va faire appel à Esqueleto (Hector Jimenez) pour former une équipe et tenter de se faire un nom dans l’univers de la lutte. A eux la gloire et la reconnaissance… enfin quand ils arriveront à gagner un match !

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    Aussi invraisemblable que cela puisse vous paraître, le scénario de ce film se base sur une histoire vraie mais on ne peut pas dire que Super Nacho nous laissera un souvenir impérissable. Moi qui apprécie pourtant toutes les subtilités du catch, je n’ai guère retrouver le fun que j’ai l’habitude de voir avec ce film tout juste regardable. Quel dommage, il y avait là un bon potentiel comique avec cette histoire mais la réalisation traîne et l’humour a manqué son rendez-vous.

  • Pompoko

     

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    Aux abords de la ville japonaise de Tama, on s’apprête à vivre une petite révolution puisqu’un grand chantier est sur le point d’être construit. Les forets sont dévastés pour le plus grand dam des Tanukis, des animaux légendaires et qui ont une grande particularité : celle de se transformer en ce qu’ils souhaitent. Pour contrecarrer les projets des humains, ils doivent donc faire preuve de malice mais la guerre ne fait que commencer et il sera bien difficile pour eux de mettre fin à cette urbanisation.

     

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    Quand on regarde ce dessin animé japonais on a déjà bien du mal à croire qu’il est âgé de près de 12 ans tellement les graphismes et l’animation sont restés de grande qualité. A cela s’ajoute un scénario basé à la fois sur des légendes et qui vient s’intéresser au thème de l’urbanisation et ses répercussions sur la nature. A partir de là, Pompoko trouvera certainement un plus grand public parmi les jeunes adultes qu’avec les enfants car le film est assez long. Un film de qualité pour les férus d’animation japonaise et plus précisément tout ce qui sort des studios Ghibli.

     

    Vivez le film Dans la peau du personnage !!