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FIlm - Page 317

  • The duchess

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    En épousant le Duc de Devonshire (Ralph Fiennes) ; Georgiona (Kieira Knightley) était loin d’imaginer qu’elle commettait là la plus grande erreur de sa vie. Son mari ne lui porte que peu d’amour et d’attention ; désespéré de n’avoir pas encore eu de fils pour assurer son héritage. Père de 3 jeunes filles il se permet même de prendre du bon temps avec d’autres femmes sans que Georgiana n’ait son mot à dire. Alors que son couple se désagrège ; cette dernière découvre le véritable amour auprès de Charles Grey (Dominic Cooper).

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    Parce qu’il y a un lointain lien de parenté et parce qu’il y a quelques similitudes dans le parcours de leur vie, on a vite fait la comparaison entre Georgiana & la Princesse Diana. Adaptation d’un roman d’Amanda Foreman sur une période où la femme n’est encore considérée que pour sa capacité à offrir aux puissants un fils pour assurer l’héritage. Tant qu’on est dans les comparaisons, The duchess n’est pas sans rappeler Deux soeurs pour un roi où là il s’agissait des ancêtres d’Elizabeth, reine d’Angleterre. Pour les amateurs de films d’époque qui seront également réjouis par la resplendissante Kieira Knightley.

     

    Il faut le voir pour : Que les femmes acceptent plus facilement le ménage à trois.

  • Les grandes personnes

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    Chaque anniversaire de sa fille Jeanne (Anaïs Demoustier) est une occasion pour Albert (Jean-Pierre Darroussin) de visiter un pays d’Europe. L’année dernière, ils étaient en Italie et cette fois leur terre d’accueil se nomme la Suède où Albert a loué une maison. Toutefois, il y a eu un malentendu avec la propriétaire Annika (Lia Boysen) qui s’est emmêlé les pinceaux dans les dates et ce qui devait être des vacances entre un père et sa fille se transforme en cohabitation avec deux femmes. Pendant qu’Albert s’évertue à rechercher un trésor caché ; Jeanne elle tombe sous le charme de Johan (Björn Gustafsson), un beau blond.

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    Peu de chance que vous ayez entendu parler de la sortie de ce film ce premier film d’Anne Novion où l’on suit les vacances mouvementées d’un père et de sa fille. Les grandes personnes s’intéresse aussi bien à la découverte amoureuse de Jeanne et de ses premières désillusions qu’aux déceptions vécues par les deux jeunes femmes qui l’entourent. Au milieu de tout ça, on retrouve un Jean-Pierre Darroussin qui nous fait rire quand il joue aux chercheurs d’or armé de son détecteur de métaux. A découvrir surtout pour un Darroussin toujours aussi attachant et pour la fraicheur apportée par la présence de la jeune Anaïs Demoustier que l’on a déjà pu voir dans Hellphone ou Le prix à payer.

     

    Il faut le voir pour : Réviser la date de la chute du mur de Berlin.

     

  • Le nouveau

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    Pas évident de se sentir rejeté par ses camarades de classe et pourtant Dizzy (DJ Qualls) a vécu cette situation depuis qu’il est tout petit. Par chance, il n’était pas le seul dans cette galère et c’est ainsi que Nora, Glen & Kirk (Zooey Deschanel, Parry Shen & Jerod Mixon) sont devenus ses potes d’enfance et depuis ils ne se sont jamais quittés. Aujourd’hui, c’est une étape cruciale de leur vie, ils entrent au lycée et sans surprises ; ils sont toujours considérés comme les clowns de service. Excédé par tout ça et sur les conseils de Luther (Eddie Griffin) dont il fait la connaissance en prison ; il va employer la méthode forte : changer radicalement de style et voilà comment est né Gil Harris.

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    Au rayon des comédies pas très inspirées, voici venir Le nouveau ! Teen-Movie par excellence avec sa panoplie de blagues en dessous de la ceinture, quelques belles nanas pour égayer les yeux des spectateurs masculins et une once de moralité pour en faire une énième comédie américaine. Au niveau du budget on a certainement du faire de sacrées économies du point de vue du scénario puisque celui-ci est aussi prévisible qu’il est navrant. Après avoir sillonnée les routes de Road Trip, DJ Qualls s’offre le premier rôle d’un film qui ne laissera pas de grands souvenirs si ce n’est peut-être pour apprécier les jolies formes d’Eliza Dushku.

  • Mensonges d’état

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    Roger Ferris (Leonardo Di Caprio) est un agent de la CIA travaillant sur le terrain et il est actuellement au Moyen-Orient. Il est à la recherche d’informations de la plus haute importance qui lui permettrait de remonter jusqu’à Al-Saleem (Alon Aboutboul); un dangereux terroriste à l’origine de récents attentats à travers l’Europe. Sa dernière mission le conduit en Jordanie où il doit prendre contact avec le chef des renseignements Hani Salaam (Mark Strong). Pour espérer infiltrer une taupe dans l’équipe des terroristes, il faudra beaucoup de patience mais le temps manque pour les supérieurs de Ferris et cela risque de tout faire foirer.

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    Les missions d’infiltration ne s’arrêtent plus pour le playboy d’Hollywood puisqu’après Les infiltrés de Martin Scorcese, c’est désormais Ridley Scott qui le parachute en agent de la CIA, chasseur de méchants terroristes. Manipulé par un Russel Crowe à qui l’on a greffé une oreillette, Léo nous fait visiter tout le Moyen-Orient dans un déluge d’action et une réalisation maitrisée de A à Z. Il n’en faut pas beaucoup plus pour faire de Mensonges d’état un nouveau classique du cinéma américain et c’est évidemment une des valeurs sures du moment !

     

    Il faut le voir pour : Jeter un œil en l’air, on vous observe !

  • Johnny Mad Dog

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    Quelque part en Afrique. Arme à la main, Johnny Mad Dog (Christopher Minie) n’est plus un adolescent, c’est un soldat qui exécute les ordres du Général Never Die (Jospeh Duo). Accompagné de ses compagnons répondant tous à des noms de code et affublés de façon étrange, ce groupe sème la terreur laissant derrière eux morts et femmes violées. Pendant ce temps Laokolé (Daisy Victoria Vandy) elle, cherche simplement à survivre à rester auprès de son père qui a perdu ses jambes et de son petit frère.

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    Son producteur Mathieu Kassovitz l’avait un peu prédit lors de la Rencontre Exclusive de Johnny Mad Dog, la sortie au cinéma souffre d’une véritable médiatisation. Sujet pour le moins sensible mais auquel le réalisateur Jean-Stéphane Sauvaire est particulièrement attaché ; voilà un film qui réveille les consciences. Souffrant d’une histoire un peu trop fouillis et par un manque de rythme à certains passages, il faut toutefois reconnaitre que Johnny Mad Dog apporte un nouveau souffle sur le cinéma français encore bien frileux sur de tels sujets.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus vous moquer des films de Chuck Norris.

  • Rencontre exclusive Johnny Mad Dog

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    Vendredi 17 Octobre, j’ai eu l’occasion de me rendre à une rencontre organisée par la FNAC Saint-Lazare consacrée au film Johnny Mad Dog (Sortie en salles le 26 Novembre dernier). Etaient ainsi invités le réalisateur Jean-Stéphane Sauvaire et le producteur un certain Mathieu Kassovitz (à qui l’on doit le méga-culte La Haine).

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  • Mon espion préféré

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    C’est à contrecœur que notre pote Henry (Colin Hanks) a quitté sa mère mais il n’avait pas le choix car ce jeune agent du FBI partait pour une opération de la plus haute importance. 3 ans après, il revient enfin voir sa mère totalement métamorphosée. Marty (Meg Ryan) s’est rendu compte que sa vie devait changer lorsque son fils l’a quitté et aujourd’hui c’est une superbe femme épanouie qui veut profiter de chaque minute. Un changement radical qu’Henry a du mal à accepter surtout quand il voit tous les prétendants qui lui tournent autour. D’ailleurs, le dernier en date est un certain Tommy (Antonio Banderas) qui se révèle être en réalité un voleur d’art !

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    Après Max la menace, voici un nouveau film qui tente la combinaison peu évidente entre l’humour et l’espionnage. Contrairement à l’œuvre de Steve Carrell, Mon espion préféré fait primer la comédie car si vous cherchez de l’action, vous vous êtes trompé de salle. Antonio Banderas, le voleur de service ne fait que manipuler son avion télécommandé ce qui est la scène, et de loin, la plus spectaculaire du film. Vous l’aurez compris, on est ici pour se marrer devant l’inconfort d’un fils qui découvre la nouvelle vie tumultueuse d’une mère. C’est drôle au départ mais à la longue ça manque d’idées.

     

    Il faut le voir pour : Etre heureux de ne pas avoir une mère sexy !

  • Collision

    Rick Cabot (Brendan Fraser) est le procureur général de Los Angeles. Il a une vie plutôt aisée qu’il partage avec sa femme Jean (Sandra Bullock) mais tout bascule lorsque ce couple se fait agresser en pleine rue. La jeune femme reste très choquée par cet évènement et malgré une maison hautement sécurisée, elle est prise d’une terrible angoisse paranoïaque difficile à apaiser. Autre lieu, autre couple ; Cameron & Christine Thayer (Terrence Howard & Thandie Newton) rentrent d’une soirée mais se font arrêter par une patrouille de police. Le sergent Jack Ryan (Matt Dillon) qui procède à leur contrôle n’est pas prêt de se faire oublier !

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    Récompensé de l’Oscar du meilleur film en 2006, Collision a en effet pas mal d’atouts pour séduire les spectateurs. Film choral rassemblant un parterre de stars parmi lesquelles on citera Don Cheadle, Sandra Bullock ou Matt Dillon ; le plus intéressant restant l’histoire commune des personnages. Paul Haggis met en premier plan les préjugés qui peuvent surgir après un fait marquant et ce qu’on apprécie tout particulièrement c’est que cela n’épargne personne. Un thème fort, une belle distribution ; il n’en fallait pas plus pour faire de ce film un des grands succès du cinéma américain.

  • La très très grande entreprise

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    Le verdict est tombé dans l’affaire qui oppose Nateris, une grande société d’agrochimie, aux différents plaignants. Le dédommagement s’élève à 12 000 € pour chacun dont l’activité professionnelle a été réduite à néant par l’installation de cette entreprise. Cette somme dérisoire est une insulte pour Mélanie, Zak & Denis (Marie Gillain, Roschdy Zem & Jean-Paul Rouve) qui ont perdu beaucoup. Ils ont bien l’intention de faire appel mais pour que cela porte réellement ses fruits, il va falloir apporter à la barre un fait nouveau susceptible de condamner Nateris. Direction le siège à Paris pour tenter de trouver ces documents compromettants.

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    Sous couvert d’une comédie, le réalisateur Pierre Jolivet entend dénoncer les pratiques contestables de certaines grandes multinationales avec La très très grande entreprise. C’est un combat livré par un groupe de particuliers qui doit faire face au gigantisme d’une société prête à tous les subterfuges pour sauver les apparences. Il ne s’agit évidemment pas de retrouver un grand film d’espionnage à l’américaine avec son déluge de technologie mais une fine équipe qui va  se débrouiller avec les moyens du bord. Comédie tout ce qu’il y a de plus respectable avec de bonnes idées comme la présentation des "victimes" et qui vous fera passer un bon moment de cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir que les avocats indiens pourraient être des grands joueurs de foot.

  • Saw V

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    Rares sont les survivants des jeux de Jigsaw (Tobin Bell) et l’Inspecteur Strahm (Scott Patterson) peut s’estimer heureux. Le tueur au puzzle mort, il pourrait reprendre une existence normale mais quelque chose le tracasse et cela concerne notamment Hoffman (Costa Mandylor) qui a reçu les honneurs après avoir sauvé une petite fille d’un bain de sang. Bien que retiré de l’affaire, Strahm décide de mener sa propre enquête et les preuves s’accumulant, il découvre que Hoffman est en fait très proche de Jigsaw. Pendant ce temps, 5 nouvelles victimes vont devoir affronter les pires horreurs dans le simple espoir de ressortir vivants !

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    Autant Saw IV se laissait bien regarder autant Saw V est un des plus gros foutages de gueule de l’histoire du cinéma. Avec une trame historique inexistante, ils ont quand même réussi à nous boucler un film entier en entrecoupant les phases d’enquêtes de massacres aussi anecdotiques que  sanglants. Evidemment, les nouvelles victimes font de la figuration se prenant dans des pièges plus tordus les uns que les autres ; la saga continue de brasser les dollars et l’on redoute le pire avec Saw VI qui part néanmoins avec un superbe jeu de mots ! Il est grand temps de boucler une saga en cruelle manque d’inspiration.


    Il faut le voir pour : Découvrir les nouveaux pièges tordus.


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