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richard sammel

  • 3 days to kill

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    Non seulement sa dernière mission en Serbie a été un désastre mais en plus de cela, notre pote Ethan Renner (Kevin Costner) vient d’apprendre qu’un cancer va l’achever d’ici 6 mois. Le temps lui manque et celui qui était jusqu’ici un agent hors-pair de la CIA veut remettre un peu d’ordre dans sa vie. C’est ainsi qu’il fait ses valises pour Paris où vivent sa femme Christine (Connie Nielsen) et sa fille Zooey (Hailee Steinfeld) qu’il a bien trop délaissées ces dernières années. On ne s’improvise pas père du jour au lendemain et il y a aussi des rancœurs difficiles à effacer mais Ethan est prêt à faire des efforts. Cependant, il n’avait pas prévu sa rencontre avec Vivi Delay (Amber Heard) qui a besoin de ses talents et lui propose un traitement expérimental pour se soigner.

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    Le retour de Kevin Costner nous rendait déjà assez pessimiste mais à la réalisation on a McG  et un léger espoir persiste alors. Mais lorsqu’au générique apparait le nom de Luc Besson présent comme producteur mais surtout en tant que co-scénariste, un frisson nous parcourt. On ne va pas se mentir, l’histoire de 3 days to kill est à la fois dépassée et parsemée d’idées préconçues. Qu’il s’agisse des personnages ou des situations, on ne frôle même plus le ridicule on tombe à pied joint dedans. Le must étant tout de même cette belle leçon de vélo au Sacré cœur, il y a de quoi pleurer … de rire. Sinon, il parait aussi qu’il y a de l’action mais on se retrouve tellement désespéré par le reste que cela passe inaperçu. Vous avez 1H56 à tuer ? Allez vous promener !

     

    Il faut le voir pour : Demander à votre père de vous apprendre à faire du vélo !