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Evan Rachel Wood

  • Charlie Countryman

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    C’est une épreuve difficile pour notre pote Charlie Countryman (Shia Labeouf) qui doit maintenant accepter la mort de sa mère Kate (Melissa Leo). Le jeune homme possède toutefois un don incroyable ; celui de communiquer avec les personnes disparues et c’est ainsi que sa mère lui donne l’idée de se rendre à Bucarest. Ce voyage devrait lui permettre de se changer les idées mais cela débute mal puisque son voisin dans l’avion, un certain Victor Ibanescu (Ion Caramitru) meurt dans son sommeil. Avec son don, Charlie se voit alors confier une mission particulière et c’est ainsi qu’il fera la connaissance de la belle Gabi (Evan Rachel Wood), la fille de Victor. Il tombe rapidement sous le charme de celle-ci mais son voyage lui réserve encore bien d’autres surprises !

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    Pour sa première réalisation, Fredrik Bond nous embarque en Roumanie pour un film qui se montre assez surprenant. Il y a d’abord cette faculté incroyable qu’a notre pote Charlie Countryman à communiquer avec les morts façon Sixième sens comme le souligne l’un des personnages. Ça ne s’arrête pas là puisque notre "héros" se retrouve à expérimenter les effets secondaires d’une drogueavant de se retrouver embarqué dans une histoire un peu folle entre une mystérieuse Evan Rachel Wood et un Mads Mikkelsen un brin jaloux. Malgré les bonnes volontés affichées, cette atmosphère particulière devient trop rapidement brouillonne et ne réussit donc pas à nous convaincre.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de confondre Bucarest & Budapest !

  • Charlie Countryman

    Notre pote Shia Labeouf alias Charlie Countryman vit une période difficile et pour oublier tout ça, il décide de se rendre en Roumanie à Bucarest. Manque de chance dans l'avion il se trouve à coté d'un homme qui va mourir à ses cotés, ça sera le début d'un voyage qu'il n'est pas prêt d'oublier en compagnie d'Evan Rachel Wood & de Mads Mikkelsen. Surveillez donc Ciné2909 ce soir, on ne sait jamais !

    Date de sortie : 14 Mai 2014.


  • Les marches du pouvoir

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    L’avenir des Etats-Unis est en marche. Nous sommes en plein cœur de la course à l’investiture démocrate et le débat entre les 2 candidats que sont le Gouverneur Mike Morris (Georges Clooney) & Ted Pullman sera décisif dans la course à la Présidence.  Les résultats dans l’Ohio seront déterminantes et au sein des 2 camps, chacun s’active pour faire pencher la balance du coté de son candidat. Mike peut compter sur le soutien indéfectible de son directeur de campagne Paul (Philip Seymour Hoffman) mais aussi de Stephen (Ryan Gosling) véritable prodige de la communication. Alors que les prochaines heures s’annoncent décisives, Stephen reçoit un appel de Tom Duffy (Paul Giamatti), responsable de la campagne de Pullman et qui va tenter de le convaincre de changer de camp.

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    La sortie de ce film à 1 an des prochaines élections présidentielles aux Etats-Unis est-elle un hasard, on ne peut pas en être si sur surtout quand c’est Georges "What else ?" Clooney himself qui joue les réalisateurs. Les marches du pouvoir décrit les coulisses d’un système d’élection un peu complexe que par chez nous ce qui n’empêche pas un film intense porté par l’autre beau gosse en vogue à savoir Ryan Gosling. Manipulations et mensonges se mêlent à l’honnêteté et les bonnes volontés prônées par nombre de discours politiques, on n’est plus véritablement surpris par ces dérives et cela ne va pas aller en s’améliorant ! Un thriller politique très bien mené et qui nous prépare à une année 2012 qui s’annonce riche dans ce domaine.

     

    Il faut le voir pour : Laisser vos stagiaires tranquille !

  • Whatever Works

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    Il n’y vraiment que dans la solitude que notre pote Boris Yelnikoff (Larry David) ne trouve réellement son bonheur. En d’autres circonstances, il est d’humeur exécrable trouvant toujours quelque chose à redire et médisant l’humanité toute entière. Alors qu’il rentrait chez lui un soir, il tombe sur Melody (Rachel Evan Hood) qui vient d’arriver à New York pour commencer une nouvelle vie. Après quelques jérémiades, Boris finit par accepter de l’héberger quelques jours le temps qu’elle puisse se trouver un logement. Finalement, ce que l’on pensait inimaginable se produit ; la jeune femme est séduite par ce vieux grincheux !

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    Après sa petite virée du coté de Barcelone, Woody Allen revient sur ses terres d’origines à New York et c’est plutôt une bonne nouvelle ! Loin d’avoir le charme de Javier Bardem, notre nouveau héros compense ses carences physiques par un délicieux cynisme où nous spectateurs prenons un malin plaisir à rire. Et puis comment passer sous silence la délicieuse ingénue qu’est Evan Rachel Wood tout simplement irrésistible formant avec Larry David un couple bien atypique. Un très bon cru donc même si sur la fin le gout s’atténue un peu mais Whatever Works mérite bien qu’on aille y jeter un œil !

     

    Il faut le voir pour : Eviter de vous jeter de la fenêtre pour vous suicider, ça ne marche pas à tous les coups !

  • La vie devant ses yeux

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    Il y a 15 ans au lycée d’Hillview ; un drame a marqué les esprits de la communauté de Briar Hill. Michael (John Margaro); un adolescent à priori sans histoires est venu semer la terreur à l’école, armé il a tué tous ceux qui se trouvaient sur son chemin. Diana McFee (Evan Rachel Wood / Uma Thurman) a été le témoin de cette tragédie et a pu voir la folie dans les yeux de ce meurtrier. Elle s’en souvient comme si c’était hier, au moment des coups de feu ; elle se trouvait aux toilettes avec sa pote d’enfance Maureen (Eva Amurri) quand elles se sont retrouvées face à l’assassin. Jamais elle ne pourra oublier ce traumatisme qui a bouleversé sa vie.

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    Adapté d’un roman de Laura Kasischke ; La vie devant ses yeux est un thriller fantastique tournant autour d’un drame qui réveille les douloureux souvenirs de Columbine. Ce drame est introduit dans les 10eres  minutes et par la suite le réalisateur Vadim Perelman dissémine les détails non pas sur les motivations du meurtrier mais sur la vie de Diana et de sa copine. Le final ne sera une révélation que pour ceux qui se sont endormis entre 2 scènes car il ne se passe pas grand-chose durant 1h30. Ce n’est franchement pas un film indispensable à voir au cinéma actuellement.

     

    Il faut le voir pour : Tester la glace au yaourt.


  • King of California

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    Alors qu’elle n’a même pas 17 ans, notre pote Miranda (Evan Rachel Wood) a du apprendre à se débrouiller toute seule. Charlie (Michael Douglas), son père a du en effet quitter la maison familiale pour intégrer le Centre de Traitements des Troubles Comportementaux. Résultat des courses, elle a du se trouver un boulot au Mcdo, se payer une bagnole sur e-bay mais voilà que Charlie fait son retour. On ne peut pas dire que son séjour ait vraiment été bénéfique car le voilà persuadé capable de mettre la main sur un vieux trésor qui se trouverait en plein cœur du magasin Costco !

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    Voilà une œuvre aussi étrange que le look qu’arbore Michael Douglas. King of california n’est finalement que la déclaration d’amour entre un père et sa fille mais le film manque de rythme et surtout le duo entre Douglas et la jeune Evan Rachel Wood ne transparait pas à l’écran ce qui en ôte tout l’intérêt. Première réalisation pour Mike Cahill, cela manque de magie pour réellement nous transporter dans l’univers fantasmagorique du personnage de Charlie et résultat des courses, le spectateur se retrouve finalement un peu sur le banc de touche.

     

    Il faut le voir pour : Se méfier de ceux qui vous invitent aux barbecues.