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whatever works

  • Whatever Works

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    Il n’y vraiment que dans la solitude que notre pote Boris Yelnikoff (Larry David) ne trouve réellement son bonheur. En d’autres circonstances, il est d’humeur exécrable trouvant toujours quelque chose à redire et médisant l’humanité toute entière. Alors qu’il rentrait chez lui un soir, il tombe sur Melody (Rachel Evan Hood) qui vient d’arriver à New York pour commencer une nouvelle vie. Après quelques jérémiades, Boris finit par accepter de l’héberger quelques jours le temps qu’elle puisse se trouver un logement. Finalement, ce que l’on pensait inimaginable se produit ; la jeune femme est séduite par ce vieux grincheux !

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    Après sa petite virée du coté de Barcelone, Woody Allen revient sur ses terres d’origines à New York et c’est plutôt une bonne nouvelle ! Loin d’avoir le charme de Javier Bardem, notre nouveau héros compense ses carences physiques par un délicieux cynisme où nous spectateurs prenons un malin plaisir à rire. Et puis comment passer sous silence la délicieuse ingénue qu’est Evan Rachel Wood tout simplement irrésistible formant avec Larry David un couple bien atypique. Un très bon cru donc même si sur la fin le gout s’atténue un peu mais Whatever Works mérite bien qu’on aille y jeter un œil !

     

    Il faut le voir pour : Eviter de vous jeter de la fenêtre pour vous suicider, ça ne marche pas à tous les coups !