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film - Page 322

  • Mi-temps au mitard

    Paul Crewe (Adam Sandler) était une ancienne gloire des Stealers de Pittsburgh avant qu’il ne soit impliqué dans une sombre affaire de match truqué. Aujourd’hui, il n’est plus que l’ombre de lui-même et la relation qu’il entretient avec Lena (Courteney Cox) n’est là que pour sauver les apparences mais sa situation ne va pas s’arranger. En pleine dépression, il provoque un accident de la route après avoir bu quelques bières et atterit au pénitencier d’Allenville. Le directeur de la prison, Hazen (James Cromwell) est un véritable connaisseur en football et la venue de Paul n’est pas tout à fait un hasard !

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    Voilà un film à réserver à tous ceux qui se lèvent en pleine nuit pour mater le Superbowl, le plus grand évènement pour tout amateur de football américain. Remake du film Plein la gueule, Mi-temps au mitard fera donc d’abord le bonheur des spectateurs sensibles à la culture américaine avec notamment la présence pas très reluisantes de mastodontes comme Kevin Nash ou Bill Goldberg (des stars du catch pour les incultes). C’est un film de divertissement assez efficace et qui se laisse regarder avec grand plaisir si l’on sait fait abstraction d’une histoire terriblement prévisible.

  • Entre les murs

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    C’est la rentrée scolaire pour François Marin (François Bégaudeau), professeur de français et professeur principal d’une classe de 4ème situé à Paris. Il retrouve ainsi certains élèves comme Esmeralda (Esmeralda Ouertani) ou Khoumba (Rachel Régulier) mais c’est une nouvelle aventure qui commence et cette nouvelle année ne sera pas de tout repos. Pas évident de faire cours dans une classe qui n’arrête pas de chahuter ou quand il y a des éléments perturbateurs qui ne font aucun effort. Certaines journées paraissent interminables pour François et il arrive parfois que la tension monte rapidement et que les situations dégénèrent.

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    Attendu depuis son sacre au Festival de Cannes 2008, Entre les murs arrive enfin dans les salles obscures et l’on attendait beaucoup de la part du film de Laurent Cantet. Adapté du roman de François Bégaudeau qui tient par ailleurs le premier rôle, on est vite frappé par l’authenticité qui s’en dégage. On apprécie également la qualité du scénario qui capte bien les maux actuels qui gangrènent l’éducation nationale. La grande force du film est sans conteste ces élèves à qui l’on a offert une totale liberté dans l’improvisation brouillant les frontières entre jeu d’acteur et réalité. Un film juste qui renvoie fidèlement l’image le quotidien d’une classe ordinaire.

     Il faut le voir pour : Tenter de placer de l’imparfait du subjonctif dans vos discussions.

  • Faubourg 36

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    Situé dans le Faubourg, le Chansonia est une salle de spectacles où travaillent Pigoil, Milou & Jacky (Gérard Jugnot, Clovis Cornillac & Kad Merad). Hélas, les temps sont durs pour le propriétaire criblé de dettes qui met fin à ses jours et abandonne le Chansonia au cruel Galapiat (Bernard-Pierre Donnadieu) qui clôture l’établissement. Quelques mois après, on retrouve un Pigoil sombrant dans la dépression mais lorsqu’il perd la garde de son fils Jojo (Maxence Perrin) ; il se retrousse les manches et décident de ressusciter le Chansonia. Avec l’aide de ses potes d’enfance, il va monter un spectacle dans l’espoir de racheter l’établissement à Galapiat.

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    Beaucoup de médiatisation autour de Faubourg 36 qui est le second long métrage de Christophe Barratier après son énorme succès populaire Les choristes. La recette n’a pas vraiment changé avec ce sentiment de nostalgie nous plongeant dans le Paris des années 1930 et avec les présences de Gérard Jugnot & Kad Mérad déjà présents au générique du premier long métrage. La révélation cette fois se nomme Nora Arnezeder jusque-là peu connue du grand public qui va vous envouter avec sa douce voix. On a ce qu’on est venu chercher c’est-à-dire un film grand public et jovial sans réelles prises de risque de la part du réalisateur français.

    Il faut le voir pour : Les imitations de Jacky.

  • Le royaume interdit

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    Le Kung-Fu n’a plus aucun secret pour notre pote Jason Tripitikas (Michael Angarano), du moins en théorie ! Son temps libre, il le passe à regarder des films de Kung-Fu tous plus spectaculaires les uns que les autres et il rêve un jour de pouvoir se battre comme ses héros. Pour l’heure, il se contente de chercher les raretés chez un prêteur sur gages et va faire une drôle de découverte : un bâton ancestral appartenant au légendaire Roi Singe (Jet Li). Il ne tarde pas à être victime des pouvoirs du bâton puisqu’il se retrouve projeter dans un autre monde où règne le tyrannique Seigneur de la guerre (Collin Chou).

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    Alléché par la perspective de découvrir le duo Jackie Chan/Jet Li, Le royaume interdit avait les atouts nécessaires pour attirer les fans de Kung-Fu en salles. C’est sans compter sur les aberrations des studios américains qui ont transformé ce rêve en un pur produit commercial sans âme. Seul véritable intérêt à cette mascarade, un petit combat entre les 2 plus grandes stars asiatiques et quelques scènes merveilleusement orchestrées par le toujours très efficace Yuen Woo-Ping. En dehors de ça, le tout sonne creux ; le scénario consternant de niaiserie ne rend en aucun cas justice aux prestigieux comédiens dont il disposait.

     

    Il faut le voir pour : Jackie Chan vs Jet li !!

  • Les rois du patin

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    Son chemin était tout tracé lorsqu’il fut adopté par le milliardaire Darren McElroy (Darren Fichtner), Jimmy (Jon Heder) savait que son destin était de devenir le plus grand champion de patinage artistique. Hélas, son plus grand rival se nomme Chazz Michael Michaels (Will Ferrell) et les 2 hommes ne pouvant se supporter en viennent aux poings devant les yeux éberlués des spectateurs. Ce comportement inacceptable va leur couter cher puisque non seulement on leur ôte leur médaille d’or mais ils sont en plus bannis à vie de la fédération. 3 ans plus tard, ils veulent prouver qu’ils ont encore de la ressource en participant dans la catégorie réservée … aux couples !

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    Comédie américaine menée tambour battant par un Will Ferrell habitué au genre et un Jon Heder que l’on découvre après sa participation au peu glorieux L’école des dragueurs. Une fois n’est pas coutume, c’est l’absurde qui prime dans le scénario accumulant des scènes toutes plus insensées les unes que les autres. Les amateurs de patinage ne doivent pas s’attendre à voir de belles chorégraphies si ce n’est quelques mouvements qui tendent plus vers le surréalisme qu’autre chose. Les rois du patin est une comédie sans grandes idées mais qui plaira aux spectateurs déjà habitués à l’humour particulier de Ferrell.

  • La vie devant ses yeux

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    Il y a 15 ans au lycée d’Hillview ; un drame a marqué les esprits de la communauté de Briar Hill. Michael (John Margaro); un adolescent à priori sans histoires est venu semer la terreur à l’école, armé il a tué tous ceux qui se trouvaient sur son chemin. Diana McFee (Evan Rachel Wood / Uma Thurman) a été le témoin de cette tragédie et a pu voir la folie dans les yeux de ce meurtrier. Elle s’en souvient comme si c’était hier, au moment des coups de feu ; elle se trouvait aux toilettes avec sa pote d’enfance Maureen (Eva Amurri) quand elles se sont retrouvées face à l’assassin. Jamais elle ne pourra oublier ce traumatisme qui a bouleversé sa vie.

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    Adapté d’un roman de Laura Kasischke ; La vie devant ses yeux est un thriller fantastique tournant autour d’un drame qui réveille les douloureux souvenirs de Columbine. Ce drame est introduit dans les 10eres  minutes et par la suite le réalisateur Vadim Perelman dissémine les détails non pas sur les motivations du meurtrier mais sur la vie de Diana et de sa copine. Le final ne sera une révélation que pour ceux qui se sont endormis entre 2 scènes car il ne se passe pas grand-chose durant 1h30. Ce n’est franchement pas un film indispensable à voir au cinéma actuellement.

     

    Il faut le voir pour : Tester la glace au yaourt.


  • Parlez-moi de la pluie

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    Karim (Jamel Debbouze) travaille comme réceptionniste dans un petit hôtel de campagne mais il aspire à d’autres choses. Avec son pote d’enfance Michel (Jean-Pierre Bacri), il va se lancer dans un projet ambitieux ; réaliser un documentaire ayant pour thème les femmes qui ont réussi. Coup de chance, Karim connait personnellement Agathe Villanova (Agnès Jaoui), femme politique en pleine ascension. Avec son accord, ils vont donc suivre la jeune femme dans son quotidien aussi bien dans la sphère politique que privée.

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    Partenaires dans la vie comme devant les caméras, Agnès Jaoui & Jean-Pierre Bacri ne se quittent plus et invitent cette fois Jamel Debbouze dans leur nouveau film. Comme dans leurs précédents longs-métrages, l’accent est mis sur la personnalité des protagonistes. Jamel Debbouze que l’on connaissait moins sage laisse la place de comique à Bacri formidable dans son rôle. Si Parlez-moi de la pluie se revendique être une comédie hormis quelques dialogues qui font mouche, le reste nous laisse franchement sur notre faim voire même nous fait bailler d’ennui.

     

     Il faut le voir pour : Eviter de trop parler après avoir fumé un pétard.

  • Obscénité et vertu

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    Juliette, Holly & A.K. (Vicky McClure, Holly Weston & Eugene Hütz) partagent le même appartement à Londres. Pour chacun d’entre eux la vie n’est pas facile, Juliette travaille dans une pharmacie de quartier mais rêve de se consacrer à l’humanitaire. Holly est danseuse classique et galère pour se trouver un job qui pourrait remplir son compte en banque ; elle se décide alors de se lancer dans le strip-tease et c’est loin d’être gagné ! A.K. quant à lui aimerait devenir une star de la chanson mais pour le moment, il s’adonne à des activités peu communes en réalisant les fantasmes des hommes.

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    Si à la réalisation il n’y avait pas une certaine Madonna star de la pop qui signe là son premier film ; il est fort à parier qu’Obscénité et vertu serait sorti dans une grande indifférence. On suit donc le quotidien de 3 personnages au cœur de Londres ; un trio dont on retiendra surtout la présence d’Eugene Hütz avec son look si particulier. Le reste n’est qu’anecdote entre la jeune pharmacienne qui veut combattre la misère en Afrique et la danseuse classique obligé de s’adonner au strip-tease pour gagner sa vie. Ce n’est donc pas un grand film tout juste à réserver aux fans de Madonna qui seront curieux de voir ce que leur idole a pondu.

     

    Il faut le voir pour : Rechercher vos tenues d’écolier.

  • Love Gourou

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    L’équipe de Hockey sur glace des Toronto Maple Leafs est en passe d’atteindre son rêve ; décrocher la prestigieuse Stanley Cup. Pour les mener à la victoire, ils pouvaient jusqu’à présent compter sur les époustouflantes performances de Darren Roanoke (Romany Malco). Les choses se compliquent quand celui-ci se sépare de sa femme qui atterrit alors dans les bras de Jacques Grande (Justin Timberlake), le rival de Darren dont le talent s’est évanoui comme neige au soleil. La seule solution est donc d’engager quelqu’un pour réunir ce couple et pour ça seul le Love gourou Pitka (Mike Myers) est capable d’un tel exploit.

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    Personnage pour le moins atypique, le Love Gourou permet à Mike Myers de reprendre du service pour de nouvelles excentricités. Le hic c’est que cette comédie est peu réussie avec son humour au ras des pâquerettes et qui sent parfois le réchauffé (pas de mini-moi ici mais un mini-coach). Partant d’une idée plutôt intéressante, ça ne passe pas du tout devant l’écran à cause de cet humour trop poussif qui finit par nous lasser des péripéties du gourou. Seule consolation à se mettre sous la dent, quelques reprises hilarantes du gourou et une Jessica Alba envoutante en danseuse hindoue ; c’est bien maigre !

     

    Il faut le voir pour : Eviter de sortir avec un fan de Céline Dion.


    Découvrir le film Dans la peau du héros !

  • Coup de foudre à Rhode Island

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    C’est une grande réunion de famille qui s’annonce pour Dan Burns (Steve Carrell). Ce père de famille a perdu sa femme et il en a fallu du temps pour qu’il puisse surmonter cette terrible épreuve. Aujourd’hui, il consacre toute sa vie à ses 3 filles et ce n’est pas toujours une sinécure ! Arrivé à Rhode Island, il va croiser Marie (Juliette Binoche) sur qui il craque littéralement mais il déchante vite quand il apprend qu’il s’agit ni plus ni moins de la petite-amie de son frère Mitch (Dane Cook). Entre Dan et Marie, commence alors un long jeu de séduction mais leur histoire est déjà promise à de nombreuses complications.

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    A priori, on se dit qu’il s’agit d’une énième comédie romantique qui, à l’image de son titre, ne joue pas la carte de l’originalité. Pourtant Coup de foudre à Rhode Island mérite qu’on jette un œil notamment pour la présence de Steve Carrell qu’on n’imaginait pas aussi à l’aise dans le rôle du prince charmant de service. Plus habitué à le voir incarner des personnages burlesques, il dévoile ici une autre facette pour le moins attendrissante. Sans oublier Juliette Binoche craquante à souhait, voilà une comédie sentimentale qui pourrait bien séduire aussi bien le public féminin que masculin.

     

    Il faut le voir pour : Revoir vos potes d’enfance, on sait jamais il y aura peut-être de belles surprises !