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Cinéma - Page 367

  • The Grudge

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    Karen  & Doug (Sarah Michelle Gellar & Jason Behr), 2 jeunes amoureux se sont installés au pays du soleil levant. Ce changement de vie, ils y ont longuement réfléchi puisqu’ils poursuivent sur place leurs études et Karen fait actuellement du bénévolat au centre de soins de santé. D’ailleurs, on va lui proposer une mission de dernière minute puisque Emma Williams (Grace Zabriskie) n’a pas eu la visite de la fille qui était censé s’occuper d’elle. En pénétrant dans cette maison, notre pote Karen ne sait pas encore que sa vie est menacée car de nombreuses rumeurs circulent sur l’apparition de phénomènes étranges et il se pourrait bien qu’elles soient fondées.

     

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    Après The Ring, voilà la seconde adaptation américaine d’un film d’épouvante sorti il y a quelques temps déjà sur les écrans japonais. La réalisation a été confiée à Takashi Shimizu à qui l’on doit l’œuvre originale mais est toutefois assez édulcorée pour s’adresser à un large public. Mettre des acteurs occidentaux comme Sarah Michelle Gellar semble rassuré les producteurs et la notoriété qu’elle a acquis avec Buff contre les vampires peut servir à rassembler quelques fans hystériques. The Grudge est un film d’épouvante sans grande saveur où les principaux sursauts sont dus à quelques poussées de son bien placées en dehors de ça rien de bien folichon qui donnera quand même une suite fin 2006 avec The Grudge 2.

     

     

  • 7H58, ce samedi-là

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    Il est 7H58 ce samedi-là lorsque le drame se déroule. Une petite boutique de bijouterie commence sa journée et c’est Nanette (Rosemary Harris) qui s’occupe exceptionnellement de l’ouverture mais un homme cagoulé fait son apparition. Le braquage se termine de façon dramatique ; le voleur est abattu tandis que Nanette est gravement touchée. Retour en arrière avec Hank & Andy (Ethan Hawke & Philip Seymour Hoffman), 2 frères qui ont besoin d’argent et qui décident de planifier le vol de la bijouterie. Cependant, un détail dans cette histoire a toute son importance, il s’agit du magasin de leurs propres parents !

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    7H58, ce samedi-là de Sidney Lumet se différencie de par sa construction par phases successives de flashbacks plus ou moins ordonnés. Une réalisation qui dynamise le film mais qui pourrait aussi bien perdre le spectateur complexifiant la structure historique, il faut attendre le dénouement pour comprendre tous les rouages du scénario. Belle interprétation dans l’ensemble en soulignant la présence de Philip Seymour Hoffman, personnage central et  ô combien antipathique mais quelques longueurs et un final sans éclat ternissent le tableau.

     

    Il faut le voir pour : Toujours se méfier de sa famille !

  • Regarde-moi

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    Toute la cité ne parle que de ça, Jo (Terry Nimajimbe) va bientôt rejoindre le fameux club de football d’Arsenal où il côtoiera des grands joueurs comme Thierry Henry. En attendant, voici donc sa dernière journée parmi ses nombreux potes d’enfance mais ce qui compte pour lui avant tout c’est de pouvoir retrouver la belle Julie (Emilie De Preissac). Pour les autres, ce n’est finalement qu’une journée comme les autres à trainer au bas des immeubles, à parler de tout et de rien ou encore à se taper un petit foot. Au milieu de tout ça, des regards s’échangent, les sentiments sont réfrénés mais il faut apprendre à se cacher pour s’aimer et éviter les on-dit.

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    Portrait d’une jeunesse particulière condamnée à évoluer dans cette prison de béton et dont les perspectives d’avenir ne sont qu’un souvent qu’un fantasme. Pourtant, Regarde-moi ne s’attarde pas sur cet aspect des choses puisque la réalisatrice développe le thème de l’amour dans un contexte où il est difficile de faire parler les sentiments. On retiendra une réalisation intéressante avec cette même journée déclinée en points de vue différents mais également avec des évènements laissés en suspens pour plonger le spectateur dans une journée banale dans cette banlieue. Film générationnel qui évite de tomber dans le piège du cliché grâce à une distribution plus qu’authentique mais qui ne plaira pas à tous.

     

    Il faut le voir pour : Préférer avoir un petit frère qu’une petite sœur.

  • Dumb & Dumber

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    Lloyd Christmas & Harry Dunne (Jim Carrey & Jeff Daniels) sont les meilleurs potes d’enfance du monde et c’est pourquoi ils habitent ensemble et vivent paisiblement avec leur élevage de vers de terre. Les choses se précipitent lorsque Lloyd prend dans son taxi la sublime Mary Swanson (Lauren Holly) dont il tombe éperdument amoureux. En plein milieu de l’aéroport, elle oublie une valise et notre héros se précipite pour la récupérer avec une mission en tête : la lui remettre en mains propres. Harry finit par se laisser convaincre et nos 2 énergumènes partent en vadrouille à Aspen !

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    Si on devait désigner le film le plus idiot, Dumb & Dumber gagnerait haut la main ! Propulsé dans des situations plus abracadabrantesques les unes que les autres, on est souvent plié de rire devant certaines scènes et, ne le cachons pas, la stupidité de nos 2 héros. Au niveau de la réalisation, on retrouve un duo aujourd’hui célèbre avec Bobby & Peter Farrelly qui ont depuis offert d’autres belles perles de comédies. Voilà le film qui confirmera tout le potentiel comique de Jim Carrey et qui engendrera un 2nd épisode sous forme de préquel qui ternira la saga plus qu’autre chose

     

    La scène à ne pas louper : Le concours du mangeur de piments.

     

    En savoir plus sur Dumb & Dumber De ?

  • A vif

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    Tout allait dans le meilleur des mondes pour notre pote Erica Baine (Jodie Foster) jusqu’à cette soirée cauchemardesque. Alors qu’elle sortait promener son chien en compagnie de son fiancé David Kirmani (Naveen Andrews), le couple est victime d’une violente agression durant laquelle le jeune homme perd la vie. Après 3 semaines de coma, Erica se réveille mais cet évènement va radicalement changer son existence. Devant la passivité des forces de l’ordre, elle décide de se procurer une arme à feu d’abord pour se rassurer et se défendre mais très vite un sentiment de vengeance la submerge et elle sème les cadavres.

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    Une histoire de vengeance personnelle, ça n’a rien de vraiment transcendant mais il suffit de propulser Jodie Foster en justicière pour en faire un film d’une autre envergure. Mettre en lumière un personnage féminin permet d’apporter une autre sensibilité face à la violence urbaine ; là où un mec aurait provoqué un véritable carnage, le réalisateur Neil Jordan tente une réflexion sur le sens de la justice dans notre  société actuelle. Malgré tout, A vif a bien du mal à déchainer les passions avec une Jodie Foster presque crédible mais surtout à cause d’un déroulement de l’histoire sans reliefs.

     

    Il faut le voir pour : Savoir reconnaitre l’I-Pod d’un délinquant.

  • 99 F

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    Octave (Jean Dujardin) a le boulot de rêve ; il travaille dans le monde merveilleux de la publicité au sein de la fameuse Ross & Wichcraft. C’est grâce à lui que la société de consommation bat son plein, que la ménagère de moins de 50 ans se précipite en magasin pour acheter la dernière nouveauté des yaourts capable de la rendre plus belle. De l’argent, des filles, de la drogue ; il s’éclate complètement et prend un plaisir fou à vous prendre pour des vaches à lait mais cette belle vie n’est-elle pas qu’un artifice ? Lorsqu’il rencontre Sophie (Vahina Giocante), son destin bascule et leur séparation est le point de départ d’une descente aux enfers.

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    Attendu au tournant par les critiques ; 99 F est fidèle à l’esprit du réalisateur Jan Kounen c'est-à-dire  assez psychédélique. Quant à savoir si l’adaptation du roman de Frédéric Beigbeider est réussie ou non, je ne saurais vous répondre puisque je n’ai jamais eu l’occasion de le lire. Le film reste une curiosité dans le paysage du cinéma français et va forcément diviser le public ne serait ce que par la caricature du publicitaire qui y est poussée à l’extrême. C’est un bon passe-temps avec un Jean Dujardin plus que convaincant dans la peau de ce personnage aussi cynique qu’attachant.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de croire aux messages publicitaires

  • The city of violence

     

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    Lorsqu’ils étaient plus jeunes, dès que la moindre occasion qui se présentait nos potes d’enfance Wang-jae, Dong-hwan, Tae-Su, Pil-ho & Seok hwan (Ahn Kil-Kang, Jeong Seok-Yong, JungDoo-Hung , Lee Beom-Su & Seung-wan Ryoo) n’hésitaient pas à en venir aux mains. Il est bien loin ce temps fait d’insouciance et d’espérance ; aujourd’hui ils sont réunis pour rendre hommage à Wang-Jae que l’on a retrouvé mort dans la rue. C’est à la suite d’une altercation avec des jeunes voyous que ce drame est arrivé mais pour Tae-Su désormais flic, il y a quelque chose qui ne tourne pas rond. Que s’est-il réellement passé ?

     

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    Les films coréens continuent à déferler en France et même s’ils sont de qualité inégale, il y a toujours 2-3 éléments intéressants. Au vu du scénario de The City of violence, on se dit qu’on va avoir droit à un petit policier tout ce qu’il y a de plus classique et effectivement, au niveau de l’intrigue c’est assez linéaire et sans surprises. Niveau action, une scène à retenir ; celle où Tae-Su & Dong-Hwan combattent des centaines d’individus réunis dans différentes bandes. En dehors de ça seules quelques curiosités dans la réalisation viennent surprendre le spectateur mais dans l’ensemble, c’est un film qui se laisse voir mais que l’on ne reverra certainement pas.

  • Hannibal lecter - Le silence des agneaux

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     Hannibal Lecter : J'ai été interrogé par un employé du recensement. J'ai dégusté son foie avec des fèves au beurre, et un excellent chianti.

  • Joyeuses funérailles

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    Notre pote Daniel (Matthew MacFadyen) doit faire face à un douloureux évènement, aujourd’hui il enterre son père. Toute la famille et les proches se sont réunis à cette occasion à commencer par Robert (Rupert Graves), célèbre écrivain qui a quitté la famille et qui vit actuellement aux États-Unis. Alors que tout a été fait pour lui rendre un vibrant hommage, voilà que la cérémonie se mue en un véritable fiasco. Pour commencer, un invité sous l’effet d’une drogue renverse accidentellement le cercueil puis tout va de mal en pis. Daniel est d’ailleurs intrigué par un mystérieux invité : Peter (Peter Dinklage) qui va lui apprendre une nouvelle à réveiller les morts !

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    L’oxymoron qui sert de titre à ce film en dit long sur le contenu de cette comédie. Bien qu’estampillé humour british, on est assez déçu par le manque de culot qui caractérise le film et on aurait apprécié que Franck Oz, le réalisateur ait osé plus de choses. Trop ancré à Hollywood, il semble qu’il ait quelque peu oublié la verve humoristique de son pays pour nous offrir un condensé d’humour gentillet. Il n’empêche que Joyeuses funérailles est une comédie divertissante sans pour autant crier au génie, ça tue le temps dirons-nous.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus prendre de Valium.

  • L'antidote

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    Jacques Alain Marty (Christian Clavier) est le Président de Vladis Entreprise, un grand groupe français aux activités diversifiées et qui s’apprête à faire une entrée fracassante sur le marché mondial. Pour se faire, le groupe a annoncé le rachat prochain de Skynorth, un pion essentiel dans leur stratégie mais Jacques Alain n’est pas au top de sa forme, il soufre de crises d’angoisse. Après avoir consulté un spécialiste, il apprend que ces crises trouvent leur origine dans son enfance et il est difficile de soigner ce mal inconnu jusqu’à sa rencontre avec André Morin (Jacques Villeret).

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    Féru de comédies françaises, je ne pouvais passer à coté de ce film d’autant plus qu’il nous permet de revoir ce génie que fut Jacques Villeret ! Comme d’habitude, le comédien offre toute sa générosité et son talent avec le personnage d’André Morin attachant au possible. A ses cotés, on retrouve un Christian Clavier en grande forme qui a minimisé son accent hérité de Jacquouille la fripouille (du film Les Visiteurs pour les incultes) pour nous servir un nouveau gimmick assez drôle. Profitez des dernières images de la carrière de Jacques Villeret car sa présence a toujours su illuminer nos écrans et une fois de plus il nous fait rire de bonheur et c’est bien tout ce que l’on demande.

     

    Découvre le film Dans la peau du héros !