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Jacques Villeret

  • Le dîner de cons

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    La date fatidique du dîner approche et Pierre Brochand (Thierry Lhermitte) n’a toujours pas trouvé son invité. Ce dîner est en fait un rituel qu’il a mis en place avec certains de ses potes d’enfance ; le but est de ramener l’invité le plus con possible et de le laisser parler. Heureusement pour Pierre, les amis sont là et on lui a repéré quelqu’un qui fera sensation, il s’appelle François Pignon (Jacques VIlleret) et a pour passion les constructions en allumettes. C’est exactement la personne qu’il recherchait  mais Pierre pourrait bien être contraint d’annuler le dîner après le tour de rein qu’il s’est fait au golf. Il est encore loin d’imaginer la soirée mouvementée qu’il va vivre !

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    Qui ne connait pas Le dîner de cons ? Que ce soit sur les planches du théâtre ou bien à travers cette adaptation signée Francis Veber, cette comédie est devenue un classique pour beaucoup. C’est sur que ce n’est pas au niveau de la réalisation sobre pour ne pas dire sommaire que le spectateur sera emballé mais l’essentiel réside dans les personnages et des dialogues devenus cultes. Comment résister à l’hilarant Jacques Villeret à coup sur la plus belle incarnation de François Pignon et aux malheurs de ce pauvre Thierry Lhermitte. C’est con et c’est bon, à voir et à revoir sans aucune modération !

     

    La scène culte à ne pas louper : L’appel de François à Juste Leblanc.

  • La soupe aux choux

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    C’est non loin du village, au Hameau des Gourdiflots que vivent les 2 potes d’enfance que sont Claude Ratinier & Francis Chérasse (Louis de Funès & Jean Carmet). Un soir après avoir descendu quelques litres de vin, ils sont surpris par les nombreux coups de foudre qui éclairent le ciel répondant comme un écho à leurs … pets ! Un phénomène étrange qui annonce en fait un évènement incroyable puisque Claude va recevoir la visite d’un extraterrestre qu’il surnommera la Denrée (Jacques Villeret). Ce dernier est invité à déguster une succulente soupe aux choux et qui va forger l’amitié naissante avec ce ch’ti paysan.

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    Une fois n’est pas coutume, c’est un classique du cinéma français que je découvre sur le tard. Débarrassé donc de ce sentiment de nostalgie, c’est l’occasion de considérer La soupe aux choux avec un maximum d’objectivité. Evidemment, les personnages sont vraiment attachants avec le duo De Funès / Carmet et parfaitement complété par l’hilarant Jacques Villeret. Il y a même une certaine émotion qui se dégage lors des adieux entre Francine & Claude. Il faut toutefois évoquer un humour assez primaire et surtout un thème musical certes entrainant mais dilué sur 1H30 qui finit par taper sur les nerfs.

  • The dinner

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    Coincé au 6ème étage, notre pote Tim Wagner (Paul Rudd) a l’opportunité de décrocher la promotion qu’il espérait tant. Ce courtier a tenté un pari risqué en prenant contact avec le millionnaire Müeller (David Walliams) et si celui-ci venait à confier son portefeuille d’action à la société, ce serait le jackpot pour Tim. Toutefois, il lui reste une étape importante à franchir ; un diner ce samedi en compagnie de M. Fender (Bruce Greenwood). Un repas particulier puisqu’il faudra venir accompagné d’un invité un peu spécial. Est-ce le destin qui a ainsi placé Barry (Steve Carrell), un mec dont le hobby est d’empailler des petites souris, sur le chemin de Tim.

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    Qui ne connait pas Le diner de cons que ce soit au théâtre ou bien au cinéma avec le film de Francis Weber ? Une fois encore les américains ont eu la mauvaise idée d’acheter les droits pour mettre en production ce remake fadasse. Si Steve Carrell avait effectivement les épaules pour reprendre le rôle de notre regretté Jacques Villeret, son personnage est traité comme un débile profond. L’humour est devient donc rapidement très lourd et on se dit que ceux qui sont pris pour des cons ce sont ceux qui regardent le film en question. Seul intérêt de The dinner, une introduction séduisante après cela, vous pouvez passer à autre chose.

  • L'antidote

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    Jacques Alain Marty (Christian Clavier) est le Président de Vladis Entreprise, un grand groupe français aux activités diversifiées et qui s’apprête à faire une entrée fracassante sur le marché mondial. Pour se faire, le groupe a annoncé le rachat prochain de Skynorth, un pion essentiel dans leur stratégie mais Jacques Alain n’est pas au top de sa forme, il soufre de crises d’angoisse. Après avoir consulté un spécialiste, il apprend que ces crises trouvent leur origine dans son enfance et il est difficile de soigner ce mal inconnu jusqu’à sa rencontre avec André Morin (Jacques Villeret).

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    Féru de comédies françaises, je ne pouvais passer à coté de ce film d’autant plus qu’il nous permet de revoir ce génie que fut Jacques Villeret ! Comme d’habitude, le comédien offre toute sa générosité et son talent avec le personnage d’André Morin attachant au possible. A ses cotés, on retrouve un Christian Clavier en grande forme qui a minimisé son accent hérité de Jacquouille la fripouille (du film Les Visiteurs pour les incultes) pour nous servir un nouveau gimmick assez drôle. Profitez des dernières images de la carrière de Jacques Villeret car sa présence a toujours su illuminer nos écrans et une fois de plus il nous fait rire de bonheur et c’est bien tout ce que l’on demande.

     

    Découvre le film Dans la peau du héros ! 

     

  • L'antidote

    Bonjour,

     

     

     

     

    Jacques Alain Marty (Christian Clavier), président de Vladis Entreprises enchanté de faire votre connaissance. Notre grand groupe est en plein essor et nous comptons bien perpétuer ce succès en rachetant le géant mondial Stardust même si notre plus fervent concurrent, Brickman incorporated est sur les rangs !

     

    Bref, si jamais je parviens à conclure cette affaire j’aurais mené l’entreprise au sommet malheureusement tout n’est pas si rose. En effet, depuis quelques temps je suis pris par des crises d’angoisse qui sont particulièrement incommodantes puisque cela me fait bafouiller et je ne peux plus m’exprimer convenablement. Inutile de vous dire qu’en plein conseil d’adfou…nimo…vido…arasson… d’administration,c’est un handicap bien gênant.

     

    Il semblerait que je souffre d’un mal assez atypique et que pour soigner tout cela je dois trouver mon objet contra phobique c'est-à-dire celui qui me permettrait d’oublier ces crises d’angoisse. Le seul souci c’est que cette objet se révèle être une personne : un certain André Morin (Jacques Villeret), je ne devrais plus le quitter d’une semelle !

     

    En résumé : Un film divertissant mettant en scène un duo plus que sympathique. Clavier parvient enfin à nous faire oublier son accent hérité de Jacquouille à travers un nouveau gimmick et c'est toujours un plaisir de retrouver le regretté Jacques Villeret qui déborde de générosité et de tendresse. A noter également un casting riche en guest stars