Braquage à l’anglaise

Londres, 1971. Michael X (Peter De Jersey) est dans le collimateur des autorités britanniques et malgré tous les crimes qu’il a pu commettre, il reste intouchable. Il a en sa possession des documents compromettants qui concernent la famille royale ce qui lui garantit une protection hors-norme. Une mission officieuse est alors lancée et c’est ainsi que Terry Leather (Jason Statham) et ses potes d’enfance se retrouvent embarqués dans un braquage dont ils ignorent les réelles motivations. Pour eux, il ne s’agit que d’un gros coup qui va leur permettre d’empocher un joli pactole mais ils mettent les pieds dans un engrenage bien vicieux.

Film de braquage oblige, les comparaisons avec un certainOcean’s Eleven n’ont vraiment pas lieu d’être. D’une part parce qu’il faut bien le dire, le casting de Braquage à l’anglaise est nettement moins glamour que la méga-production hollywoodienne mais surtout parce que l’intérêt du film réside ailleurs. Ce n’est pas tant le larcin et son accomplissement qui retient notre attention mais plutôt ses répercussions et tout le contexte politique de l’époque. Une histoire qui prend une dimension d’autant plus importante quand on sait qu’elle s’inspire de faits réels, un bon thriller mené par l’action hero Jason Statham.
Il faut le voir pour : Ne plus placer vos économies dans des banques !













Je viens de me recueillir sur la tombe de ma maman et de mon papa ; je suis très triste qu’ils ne soient plus là pour veiller sur moi mais je suis sure que de là-haut ils vont me protéger. Maintenant, il ne me reste plus que mademoiselle Pinpanela pour me tenir compagnie.
Ensuite, je leur ai fait croire que mon père était un maharadja de l’Inde et que si ils me gardaient, ils pourraient m’échanger contre plein d’or ! Je m’amuse bien ici et j’espère qu’ils vont me garder pour toujours !!


