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Steve Carrell

  • The dinner

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    Coincé au 6ème étage, notre pote Tim Wagner (Paul Rudd) a l’opportunité de décrocher la promotion qu’il espérait tant. Ce courtier a tenté un pari risqué en prenant contact avec le millionnaire Müeller (David Walliams) et si celui-ci venait à confier son portefeuille d’action à la société, ce serait le jackpot pour Tim. Toutefois, il lui reste une étape importante à franchir ; un diner ce samedi en compagnie de M. Fender (Bruce Greenwood). Un repas particulier puisqu’il faudra venir accompagné d’un invité un peu spécial. Est-ce le destin qui a ainsi placé Barry (Steve Carrell), un mec dont le hobby est d’empailler des petites souris, sur le chemin de Tim.

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    Qui ne connait pas Le diner de cons que ce soit au théâtre ou bien au cinéma avec le film de Francis Weber ? Une fois encore les américains ont eu la mauvaise idée d’acheter les droits pour mettre en production ce remake fadasse. Si Steve Carrell avait effectivement les épaules pour reprendre le rôle de notre regretté Jacques Villeret, son personnage est traité comme un débile profond. L’humour est devient donc rapidement très lourd et on se dit que ceux qui sont pris pour des cons ce sont ceux qui regardent le film en question. Seul intérêt de The dinner, une introduction séduisante après cela, vous pouvez passer à autre chose.

  • 40 ans, toujours puceau

    Andy Stitzer (Steve Carell) a 40 ans et est toujours puceau ! Il faut dire qu’il n’a pas une vie très palpitante passant ses week-ends à lire des comics ou à s’éclater devant les jeux vidéos. La roue va tourner puisqu’il est invité par ses collègues de travail David, Jay & Cal (Paul Rudd, Romany Malco & Seth Rogen) à une partie de poker. Au fil des discussions, ses nouveaux potes d’enfance apprennent qu’il est toujours puceau et se voient alors investis d’une mission d’une importance capitale : lui faire abandonner sa vie de puceau !

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    Pour ceux qui ne l’auraient pas deviné, le thème du film est évidemment le sexe ! Compilation de vannes douteuses, de grossièretés (tout ceci étant à prendre au moins au second degré) ; 40 ans, toujours puceau finit par être assez lassant sur la longueur. Pourtant, le portrait d’Andy est criant d’authenticité car il faut dire que le réalisateur Judd Apatow est lui aussi un sacré geek. Une scène toutefois à découvrir d’urgence, la véritable épilation du torse de Steve Carrell, un moment d’anthologie du cinéma !

  • Coup de foudre à Rhode Island

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    C’est une grande réunion de famille qui s’annonce pour Dan Burns (Steve Carrell). Ce père de famille a perdu sa femme et il en a fallu du temps pour qu’il puisse surmonter cette terrible épreuve. Aujourd’hui, il consacre toute sa vie à ses 3 filles et ce n’est pas toujours une sinécure ! Arrivé à Rhode Island, il va croiser Marie (Juliette Binoche) sur qui il craque littéralement mais il déchante vite quand il apprend qu’il s’agit ni plus ni moins de la petite-amie de son frère Mitch (Dane Cook). Entre Dan et Marie, commence alors un long jeu de séduction mais leur histoire est déjà promise à de nombreuses complications.

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    A priori, on se dit qu’il s’agit d’une énième comédie romantique qui, à l’image de son titre, ne joue pas la carte de l’originalité. Pourtant Coup de foudre à Rhode Island mérite qu’on jette un œil notamment pour la présence de Steve Carrell qu’on n’imaginait pas aussi à l’aise dans le rôle du prince charmant de service. Plus habitué à le voir incarner des personnages burlesques, il dévoile ici une autre facette pour le moins attendrissante. Sans oublier Juliette Binoche craquante à souhait, voilà une comédie sentimentale qui pourrait bien séduire aussi bien le public féminin que masculin.

     

    Il faut le voir pour : Revoir vos potes d’enfance, on sait jamais il y aura peut-être de belles surprises !

  • Max la menace

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    C’est le jour J pour notre pote Maxwell Smart (Steve Carrell), sémillant analyste d’une organisation secrète appelée CONTROL. Il attend les résultats des tests qui lui permettront de devenir un agent de terrain mais une fois de plus c’est la déception ; son travail au bureau est tellement important qu’il en est devenu indispensable. Contre toute attente, le bâtiment du CONTROL est victime d’une attaque et l’identité des agents de terrain a été compromise partout dans le monde. Pour déjouer les plans du KAOS ; il faut faire appel à un nouvel agent, l’Agent 86 entre en scène et ce n’est autre que notre pote Maxwell !

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    Série de la fin des années 1960, Max la menace revient au cinéma après 2 premières adaptations et cette fois c’est Steve Carrell qui endosse le costume d’un agent secret vraiment spécial. Du point de vue du film d’action, ça tient plutôt bien la route mais on ne peut pas en dire autant du coté de l’humour assez sommaire se résumant aux gaffes de l’agent 86. Carrell fait tout ce qu’il peut mais il faut avouer qu’on est bien loin de la crise de rire et puis quel dommage que Dwayne Johnson n’ait qu’un si petit rôle. Divertissant mais dénué d’originalité, ça permettra de vous faire patienter en attendant le retour tant attendu de l’agent secret 007.

     

    Il faut le voir pour : Jeter votre vieux couteau suisse.

  • Evan tout-puissant

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    C’est sa dernière apparition en tant que journaliste télévisé pour notre pote Evan Baxter (Steve Carrell) car une nouvelle aventure l’attend. Il a en effet été élu comme représentant de Buffalo pour siéger auprès du congrès américain et c’est donc une nouvelle vie qui commence pour lui et sa famille. Au bureau, tout se passe à merveille ; il a un superbe bureau grâce au député Long (John Goodman) qui a l’intention de le mettre dans sa poche. Pendant ce temps à la maison, Evan déçoit une fois de plus ses enfants et sa femme Joan (Lauren Graham) en privilégiant le travail à sa vie de famille. Les choses vont devoir changer et un petit coup de pouce de Dieu (Morgan Freeman) ne sera pas inutile !

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    Personnage secondaire de Bruce tout puissant, la popularité grandissante de Steve Carrell a fini de convaincre les producteurs de le laisser conduire cette séquelle. Là où le premier épisode donnait tous les pouvoirs à Jim Carrey ; dans Evan tout puissant le personnage subit surtout la volonté de Dieu qui l’aider à retrouver l’amour de sa famille. En dehors de ce dénouement prévisible et vomissant de moralité, le film est une bonne petite comédie bien qu’on ne se soit pas trop creusé les méninges au niveau des blagues parsemées au compte-goutte. Voilà comment Hollywood parvient à créer un film avec seulement 2 idées et un acteur en pleine ascension, pas besoin de Dieu pour ça !

     

     

    Il faut le voir pour : La danse !!

     

  • Little Miss Sunshine


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    Notre pote Sheryl (Toni Colette) est soulagée, son frère Franck (Steve Carrell) vient de tenter de mettre fin à ses jours mais on a pu le sauver à temps. Pour le surveiller, il est donc venu vivre dans la famille de sa sœur ; les Hoover où le quotidien est loin d’être triste. Entre Richard (Greg Kinnear) qui prône à qui veut l’entendre sa vision de la réussite, le fils Dwayne (Paul Dano) qui garde le silence depuis 9 mois et un grand-père qui n’a pas la langue dans sa bouche ; la maison ne sombre jamais dans l’ennui. Tout ce beau monde va accompagner la petite Olive (Abigail Breslin) à Redondo Beach pour le concours de Little Miss Sunshine.

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    Je ne me souviens pas avoir vu d’images de ce film mais seulement avoir lu de très bonnes choses dans la presse ce qui a fini de me convaincre de me rendre dans les salles. Ce n’était pas du temps perdu car Little Miss Sunshine porte bien son titre et illuminera sans aucun doute votre journée. Portrait d’une famille américaine pas comme les autres, on est tout de suite séduit par tous ses membres avec lesquels on rit sans retenue. Le sourire éclairera votre visage pendant tout le film et même en sortant, à voir !