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  • Les grands frères

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    Fraichement largué par sa copine Beth (Elizabeth Banks) alors qu’il l’avait demandé en mariage, Danny (Paul Rudd) a pété un plomb. Représentant pour la boisson énergétique Minotaur, il a semé une sacrée pagaille dans la dernière école visitée le condamnant lui et son pote d’enfance Wheeler (Seann William Scott) à un mois de prison. Beth, leur avocate parvient toutefois à alléger leur peine en substituant leur emprisonnement avec 150 heures de travail d’intérêt général. Résultat des courses, ils travaillent désormais chez Sturdy Wings où ils deviennent des grands frères veillant sur des enfants disons hors-normes.

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    Voilà une bonne surprise que cette comédie rafraîchissante alors qu’à la vue de la bande-annonce on s’attendait plutôt à un film pataud. Pourtant, je me suis bien marré devant Les grands frères grâce notamment aux 2 gosses collés aux basques de nos héros. Le film aurait tout de même pu se dispenser de ses quelques scènes sexy qui n’apportent vraiment rien si ce n’est à renforcer ce coté lubrique à Seann William Scott (l’éternel Stifler d’American pie). La crise de rire n’est pas garantit mais en tout cas on passe un bon moment !

     

    Il faut le voir pour : Regarder les femmes …. dans les yeux !

  • 40 ans, toujours puceau

    Andy Stitzer (Steve Carell) a 40 ans et est toujours puceau ! Il faut dire qu’il n’a pas une vie très palpitante passant ses week-ends à lire des comics ou à s’éclater devant les jeux vidéos. La roue va tourner puisqu’il est invité par ses collègues de travail David, Jay & Cal (Paul Rudd, Romany Malco & Seth Rogen) à une partie de poker. Au fil des discussions, ses nouveaux potes d’enfance apprennent qu’il est toujours puceau et se voient alors investis d’une mission d’une importance capitale : lui faire abandonner sa vie de puceau !

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    Pour ceux qui ne l’auraient pas deviné, le thème du film est évidemment le sexe ! Compilation de vannes douteuses, de grossièretés (tout ceci étant à prendre au moins au second degré) ; 40 ans, toujours puceau finit par être assez lassant sur la longueur. Pourtant, le portrait d’Andy est criant d’authenticité car il faut dire que le réalisateur Judd Apatow est lui aussi un sacré geek. Une scène toutefois à découvrir d’urgence, la véritable épilation du torse de Steve Carrell, un moment d’anthologie du cinéma !

  • Volt, star malgré lui

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    Il s’appelle Volt et il n’est pas un chien comme les autres. Génétiquement modifié ; il est rapide comme l’éclair, puissant comme Hercule et rien ne résiste à ses yeux laser. Ses pouvoirs, il s’en sert pour protéger sa maitresse Penny dont le père scientifique a été enlevé par le démoniaque homme à l’œil vert. Quelle aventure ! Oui mais tout ceci est en fait fictif puisqu’il s’agit d’une série sauf que notre chien Volt est lui persuadé d’être exceptionnel. Il va devoir se rendre à l’évidence lorsqu’il va se retrouver perdu en plein milieu de New York.

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    Pas de doute possible, Volt, star malgré lui va rapidement conquérir nos chers bambins et même les plus grands ne pourront résister à cet adorable chien. Après un premier quart d’heure tonitruant repoussant toujours un peu plus les prouesses techniques, place à l’aventure. Volt se fait plein d’amis parmi lesquels des pigeons drôlement allumés, un chat aigri et un hamster qui a un peu perdu la boule. C’est mignon tout plein et toujours un ravissement pour les yeux et ce sera certainement le film plébiscité par les enfants pour les vacances !

     

    Il faut le voir pour : Virer le polystyrène de chez vous, ça inhibe les pouvoirs de votre chien !

  • Espion(s)

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    Il n’y a encore pas si longtemps Vincent (Guillaume Canet) bossait à l’aéroport de Roissy avec son pote d’enfance Gérard (Bruno Blairet). De temps à autre, ils se permettaient d’ouvrir des bagages pour récupérer 2-3 bricoles qui leur plaisaient jusqu’au jour où ils tombent sur une valise diplomatique. Gérard sort un flacon de parfum qui s’avère en fait être un dangereux explosif et il meurt quelques instants plus tard à l’hôpital. Vincent lui se retrouve impliqué dans une affaire dont il n’avait pas idée et est recruté par la DST pour récolter plus d’informations sur le propriétaire de la valise. Il débarque ainsi à Londres où il se fait passer pour le membre d’une ONG.

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    Ça part sur les chapeaux de roue et on trépigne d’en savoir plus mais très vite, tout retombe à plat ! Espion(s) préfère s’attarder sur les rapports entre Guillaume Canet et la belle Géraldine Pailhas plutôt que de développer un peu plus le coté espionnage du film et c’est carrément frustrant. Avare en action, on a rapidement fait le tour du film et ce n’est pas les états d’âme du personnage de Vincent qui vont y changer grand-chose. Même la fin est assez grotesque et c’est donc beaucoup de bruit pour pas grand-chose que cette première réalisation Nicolas Saada.

     

    Il faut le voir pour : Faire attention quand vous versez le lait pour votre thé.

  • Starship Troopers 2 : Héros de la fédération

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    La guerre contre les arachnides fait rage ! Le Général Jack Shepherd (Ed Lauter) et ses soldats sont actuellement en train de défendre chèrement leur peau face à des milliers d’insectes. Attaqués de toute part, une première unité parvient à atteindre une base laissée à l’abandon où il tombe nez à nez sur un prisonnier ; Dax (Richard Burgi) ancien soldat. Ils sont rejoints par le Général quelques instants plus tard qui est accompagné du Caporal Joe Griff (Ed Quinn) & le Sergent ingénieur Ary Peck (J.P. Manoux). Alors qu’ils attendent un rapatriement, tout le monde ignore que l’ennemi est en fait au sein même du camp.

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    Pas étonnant après le succès du film de Paul Verhoeven de voir débarquer une suite. Pas étonnant non plus qu’on ait eu droit à un épisode aussi peu inspiré où le seul intérêt reste encore de voir des arachnides se faire dégommer. Histoire de faire évoluer un peu la saga, les bestioles ont muté de sorte à pouvoir désormais s’infiltrer dans l’organisme des humains ce qui nous réserve des rebondissements loin d’être surprenants. Starship Troopers 2 : Héros de la fédération a tout de la suite purement commercial d’où cette exploitation direct en DVD ce qui vous donne une idée de sa valeur.

     

    En savoir plus sur Starship Troopers ?

    En savoir plus sur Starship Troopers 3 : Marauder ?

  • Les seigneurs de la guerre

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    La mort lui faisait face mais le Général Pang Qinqyiun (Jet Li) l’a trompé d’une manière peu honorable. Il s’est réfugié sous les cadavres de ses hommes attendant que l’ennemi se retire avant de constater la mort de ses 1 600 soldats. On le retrouve quelques temps après au sein d’une armée où ses talents le font vite remarquer auprès de Zhao Er-Hu & Jiang Wu-Yang (Andy lau & Takeshi Kaneshiro). En tant que brigands, ces hommes ne devaient leur survie que grâce aux pillages qu’ils commettaient mais les temps changent. Sous l’influence de Pang ; ils vont s’engager dans l’armée impériale tandis que Pang, Er-Hu & Wu-Yang vont se faire une promesse devenant désormais des potes d’enfance enfin des frères de sang.

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    Voilà une énorme production made in China et à la vue de certaines scènes, on sent qu’on n’a pas jeté l’argent par les fenêtres. Seulement voilà, la première grande scène de bataille est une merveille pour le spectateur mais c’est l’unique occasion de s’en prendre plein les yeux (vous avez donc intérêt à bien en profiter !). Le reste du film est plus anecdotique et notamment  les 45 dernières minutes  qui sont relativement ennuyeuses. Les seigneurs de la guerre aurait donc gagné à mieux répartir ses scènes d’action sur la durée ce qui aurait évité cette grosse baisse de régime.

     

    Il faut le voir pour : Laisser une place à table aux morts.

     

  • Le bal des actrices

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    La jeune réalisatrice Maïwenn tourne actuellement son nouveau film ; un documentaire qui s’intéresse à la vie mouvementée de différentes actrices. Le bal des actrices, tel sera le titre de ce documentaire qui aura la particularité d’offrir également des scènes musicales ce qui n’emballe pas vraiment son producteur. Qu’importe, pour l’heure elle prépare sa caméra pour suivre entres autres Karin Viard qui rêve d’Hollywood, Mélanie Doutey essorée par le monde du cinéma, Romane Bohringer qui ne décroche plus un seul casting ou Estelle Lefebure qu’on connait davantage comme mannequin que comme actrice.

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    En passant devant l’affiche, on a forcément du mal à décrocher son regard (enfin si vous n’êtes pas accompagné de votre petite-amie). Pardonnez-moi avait déjà marqué les esprits et avec Le bal des actrices, Maïwenn vient enfoncer le clou. Il est agréable d’avoir une jeune réalisatrice aussi douée et si éloignée du formatage souvent imposé par le cinéma. Ce vrai-faux documentaire est parfois inégal mais certaines scènes sont extremement fortes comme cette confrontation entre Muriel Robin & Jacques Weber. Le Coup de cœur Ciné2909 est mérité et je vous invite vraiment à découvrir ce film en vous rendant dans les salles pour encourager un cinéma inventif.

     

    Il faut le voir pour : Aimer les actrices et plus généralment les femmes !

  • Pathfinder

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    Il n’était encore qu’un enfant lorsqu’on l’a retrouvé tremblant de peur par le massacre dont il venait d’être témoin. Parce qu’il a refusé de donner le coup de grâce à une des victimes, Ghost (Karl Urban) fut rejeté par les siens et a ainsi été adopté par la tribu des Wampanoag. Des années plus tard, alors que son village vivait en pleine prospérité, des barbares viennent répandre la terreur en tuant tous ceux qui ont le malheur de croiser leur regard. Notre pote Ghost échappe in extremis à la mort mais dans sa fuite, il va conduire ses ennemis auprès du village voisin. Pour éviter un nouveau massacre, il va tenter de stopper leur avancée mais a-t-il réellement une chance seul contre toute une armée ?

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    Dans la nuée des films d’aventures et d’action qui sortent chaque année, il est difficile de se faire une place surtout avec le peu d’arguments proposés par Pathfinder. Si l’ambiance sombre et violent et les quelques gerbes de sang nous projettent dans la brutalité de leur environnement, on regrette vite le manque d’initiatives du réalisateur. Une chose d’autant plus regrettable quand on sait qu’il s’agit d’un remake du film norvégien de la fin des années 1980, Le passeur. Il manque également un comédien de plus grande envergure pour interpréter le héros et espérer nous intéresser un tant soit peu. Le film est malheureusement trop linéaire, manquant de panache et sans éclats pour briller à nos yeux !

  • Los bastardos

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    Jesús & Fausto (Jesús Moisés Rodriguez & Rubén Sosa) ont réussi à franchir la frontière mexicaine pour atterrir à Los Angeles où ils comptent se faire de l’argent. D’ordinaire, ils attendent que le travail se présente à eux, souvent pour de la construction dont la rémunération n’est pas très motivante. Cette fois, ils sont sur un gros coup qui va leur rapporter un gros paquet ; armés d’un Canon scié ils vont se rendre chez Karen (Nina Zavarin) dont le fils vient juste de partir trainer avec ses potes d’enfance. Venus pour l’exécuter, ils prennent néanmoins le temps de diner et de faire un plongeon dans la piscine tandis que pour la pauvre jeune femme le supplice semble interminable.

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    Attention, voilà un film qui va en choquer plus d’un ! De longs plans-séquences, des dialogues minimalistes au possible et une scène qui vous fera forcément bondir de votre siège ; Los bastardos marquera à coup sur les esprits. C’est d’ailleurs le contraste entre la mise en scène et le surgissement de cette violence la plus barbare qui rend le film aussi marquant. Il est vrai que si l’on se fie à sa première heure, on peut trouver le temps long mais dès l’apparition de cette scène clé, on est pris d’un sentiment d’effroi. Ames sensibles s’abstenir !

     

    Il faut le voir pour : Trouver un moyen efficace mais criminel de repeindre vos murs !

  • Cliente

    Bonjour, je suis Judith (Nathalie Baye).

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    01.jpgÇa a commencé quelques temps après mon divorce, 4ans exactement. Une séparation que j’ai eu beaucoup de mal à accepter. Je surfais sur le net et je suis tombé sur un site d’escort, c’est facile ; vous avez une photo, leurs activités et leurs loisirs il suffit juste de faire son choix.

     

    Mon premier s’appelait Lucas, le même prénom que mon ex-mari depuis une à deux fois par mois je vois quelqu’un pour mon simple plaisir. Le prince charmant ? Ma sœur Irène (Josiane Balasko) n’arrête pas de m’en parler mais je me suis fait une raison. Il doit exister au même titre que les hommes verts de Mars.

     

    02.jpgActuellement je fréquente Patrick (Eric Caravaca), très bel homme mais c’est bien la première fois que j’en revois un de manière si régulière.

     

     

     

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