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  • Le Samouraï du crépuscule

    Dans des temps reculés du Japon, nous retrouvons Seibei Iguchi (Hiroyuki Sanada), un samouraï qui vient de perdre sa femme emportée par une tuberculose. Désormais, il doit veiller sur ses 2 filles Kayano & Ito (Miki Ito & Erina Hashiguchi) mais tout le monde ne voit pas d’un bon œil son nouveau mode de vie. Ainsi, son oncle tente par tous les moyens de le remarier afin de redorer le blason de la famille mais rien n’y fait jusqu’au jour où il retrouve une pote d’enfance Tomoe Linuma (Rie Miyazawa).
    Chouette un film de samouraïs ! On se dit qu’on va avoir droit à une succession de combats au sabre et tous ces petits trucs qui coupent, des giclées de sang mais point du tout ! Pour les amateurs d’action, sachez que les scènes de combat se comptent sur les doigts d’une main. Le film se centre davantage sur la vie familiale de ce samouraï pas comme les autres, une particularité intéressante malgré tout on s’ennuie devant ce manque de rythme.

  • Comme t'y es belle !

    Impossible de séparer nos 4 potes Isa, Alice, Léa & Nina (Michèle Laroque, Valérie Benguigui, Aure Atika & Géraldine Nakache) liées par une amitié indéfectible. D’autant plus qu’elles ont grandi dans une culture juive renforçant, s’il le fallait encore, leurs relations. Ainsi, quand l’une a des problèmes de fiscalité, que l’autre se rend compte qu’elle est peut-être passée à coté du bonheur ou encore que les autres n'arrivent pas à établir de relations sérieuses; elles se retrouvent pour se réconforter mutuellement.

    Présentée comme une sorte de La vérité si je mens ! version féminine, cela avait de quoi me donner envie de jeter un œil. J’avais un peu peur qu’il y ait un peu trop de surenchère de la part des comédiennes mais au final, j’ai passé un moment très agréable. On rit de bon cœur devant les aventures ordinaires de ces 4 héroïnes extraordinaires. Et puis quel plaisir de retrouver une Marthe Villalonga aussi en forme !

  • Uno

     

     

    La vie de notre pote David (Aksel Hennie) n’est pas des plus faciles avec un père alité et victime d’un cancer et son frère Kjetil (Espen Juul Kristiansen) qu’il faut constamment surveiller. Pour aider sa famille, il travaille dans le gymnase de Larjil (Bjorn Floberg) avec son pote d’enfance Morten (Nicolai Cleve Broch) mais il s’y passe parfois des choses pas très légales. Un jour, il se retrouve incarcéré en prison où il va devoir prendre une décision lourde de conséquence pour lui et son entourage.

     

     

    Heureusement, que j’ai pu apercevoir quelques bribes d’images à la télévision accompagné de cette phrase : « La vie, c’est comme un jeu de cartes. Au départ, on ne choisit pas son jeu mais on choisit quand et comment abattre ses cartes. ». Il n’en fallait pas plus pour éveiller ma curiosité et ce n’est pas tous les jours qu’on a la chance de regarder un film norvégien ! Uno est une bien belle surprise que nous offert par le réalisateur Aksel Hennie qui est également l’interprète principal, à découvrir !

  • Transamerica

     

    Bree (Felicity Huffman) aurait pu être une femme comme les autres mais c’est sous un sexe différent et avec le nom de Stanley qu’elle a vu le jour. Cela fait maintenant 3 ans qu’elle suit un traitement mais le plus important reste à faire, une dernière opération qui fera de Bree une femme à part entière. Hélas, quand elle reçoit un coup de fil d’un certain Toby (Kevin Zegers) qui se prétend être son fils cela remet tout en cause.

     

    Nominée pour l’Oscar de la meilleure actrice, je ne pouvais pas passer à coté de la prestation de la Desperate Housewife Felicity Huffman. Il est vrai que l’actrice est tout simplement fabuleuse dans ce road movie mais il ne faut pas oublier non plus Kevin Zegers tout aussi génial. Une histoire qui sort des sentiers battus que l’on suit avec grand plaisir, bref un bon film à découvrir.

  • Quatre étoiles

     

     

    Franssou (Isabelle Carré) vient d’apprendre qu’elle a hérité d’une coquette somme de 50 000 euros d’une vieille tante qu’elle connaissait à peine. Une nouvelle qui la réjouit mais que va-t-elle bien pouvoir faire avec tout cet argent ? Plutôt que de s’acheter un nouveau matelas, elle part sur un coup de tête à Cannes et s’installe dans une des chambres du luxueux Carlton. La belle vie s’offre à elle mais sa rencontre avec un escroc du nom de Stéphane (José Garcia) va égayer son séjour sur la cote.

     

     

    Un film où la comédienne Isabelle Carré resplendit à chacune de ses apparitions et où le dynamisme de José Garcia reste toujours aussi efficace. On sourit face aux extravagances de Franssou mais on ressort un peu déçu par le film car on s’attendait peut-être à plus de ce beau duo. Une bonne comédie sans grandes prétentions hormis celle de nous divertir, un objectif que Quatre étoiles remplit aisément !

  • Ralph

    Salut !!

     

    Je m’appelle Ralph (Adam Butcher), j’ai 14 ans et je suis élève au collège de Saint Magnus en Angleterre. On ne peut pas dire que les études me passionnent vraiment et puis je me sens pas tellement à ma place ici.

     

    Dès que je le peux, je n’hésite pas à faire la première bêtise qui me passe par la tête ce qui a énervé au plus haut point le Père Fitzpatrick (Gordon Pinsent). D’ailleurs, il est tellement énervé maintenant qu’il a décidé de me punir en m’obligeant à rejoindre le club de l’équipe de course.

     

    Au début, ça ne me plaisait pas beaucoup car j’aime pas vraiment courir. Mais comme maman est malade, je fois accomplir un miracle pour la sauver et croyez-moi, je vais remporter le marathon de Boston !

     

    En résumé : Certains trouveront que ce film déborde de mièvrerie et c’est bien le cas mais le petit Ralph est tellement attendrissant que vous pourriez bien vous laisser tenter par ce petit film. D’ailleurs, ce n’est pas un hasard si le film fut récompensé en recevant le prix du public au London Canadian Film Festival 2005, le Grand prix du Festival du film de Paris & le Canadian Screenwriting Award !

  • Lili et le baobab

     

    Notre pote Julie (Romane Bohringer) a trouvé un travail plutôt intéressant en tant que photographe municipale. La mairie vient d’ailleurs de lui commander quelques clichés dans un village africain et la voilà sur les routes ensablées de ce continent qu’elle découvre avec bonheur. En vivant au quotidien dans un village, elle va apprendre une nouvelle culture, une autre façon de vivre et se lier également d’amitié avec Aminata (Aminata Zaaria).

     

    Un long métrage plutôt léger qui propose toutefois une belle histoire d’amitié entre 2 femmes issues de culture totalement différente. Lili et le baobab est portée à bout de bras par une très émouvante Romane Bohringer mais qui n’empêche pas le spectateur de s’enliser dans un certain ennui. Une réalisation peu dynamique qui nous permet à peine de découvrir cette culture africaine et c’est bien dommage.

  • M : i : III

    Ethan Hunt (Tom Cruise) est en train de vivre l’un des jours les plus heureux de son existence, il s’est enfin fiancé ! L’heureuse élue se nomme Julia (Michelle Monaghan) et a réussi à mettre le grappin sur ce jeune célibataire qui dit travailler dans les transports. Dans la réalité, il est l’agent secret le plus performant qu’ait connu la Force Mission Impossible, une structure gouvernementale top secrète. Quand il apprend qu’un des agents qu’il a formé a disparu, il décide de reprendre du service !

    La grosse machine hollywoodienne marche toujours aussi bien et vous pouvez être sur que M : i : III vous offrira votre dose d’action et d’explosions en tous genres. Aux commandes, on retrouve cette fois, J.J. Abrams ; producteur-réalisateur télévisé en vogue (on lui doit les populaires Lost & Alias) qui s’amuse comme un petit fou ! on regrettera que le film soit aussi peu surprenant mais cela reste un bon divertissement à voir en dévorant son pop-corn.

  • Tobe Hooper's Mortuary


    La famille Doyle vient d’arriver dans un petit bled paumé situé en Californie. Un nouveau départ pour Leslie (Denise Crosby) et ses 2 enfants que sont Jonathan & Jamie (Dan Byrd & Stephanie Patton) mais qui ne semble pas faire le bonheur de tout le monde. Jonathan a en effet bien du mal à se faire à cette maison qui tombe en décrépitude, à ce jardin inondé par la fosse sceptique sans oublier le cimetière situé juste à coté. Il ferait bien de s’y habituer car tout ne fait que commencer !

     

    Ceux pour qui le nom de Tobe Hooper est totalement inconnu, précisons qu’il est le réalisateur d’un certain Massacre à la tronçonneuse, œuvre qui a marqué toute une génération de spectateurs. On s’attendait à un bon film d’horreur et ce n’est pas tout à fait le cas car beaucoup trop classique. A cela, s’ajoute un zest de fantastique et un arrière-goût de teen-movie qui fait de Mortuary un film assez banal au final (oh, la belle rime !)

  • Un ami parfait

     

    Julien Rossi (Antoine de Caunes) vient juste de se réveiller après un bref coma. Lui que l’on avait retrouvé en sang, errant dans les rues au lendemain du nouvel an s’en tire plutôt bien mais il a totalement oublié ce qui s’est passé. Une amnésie partielle qui le surprend puisqu’il semble être devenu quelqu’un d’autre et que bien des choses ont changé dans sa vie. Avec l’aide de tout son entourage, il veut faire la lumière sur ce qu’il s’est réellement passé mais il vaut peut-être mieux ne pas se souvenir de certaines choses !

     

    Une promotion assez discrète mais je tenais à découvrir ce film ne serait-ce que pour la performance d’Antoine de Caunes et je n’ai pas été déçu. Il interprète de manière magistral ce personnage amnésique et prouve tout son talent de comédien dommage que le film souffre d’une réalisation trop classique. Un scénario intéressant avec ce puzzle à reconstituer mais quelques éléments viennent nuancer le film comme par exemple dénouement téléphoné au possible.