Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

michael c. hall

  • Cold in July

    star 03.jpg

    AFF.jpg

    Au beau milieu de la nuit, nos potes Ann & Richard Dane (Vinessa Shaw & Michael C. Hall) sont soudainement réveillés par des bruits suspects ; quelqu’un s’est introduit dans leur maison. C’est avec une grande fébrilité que Richard se saisit d’une arme à feu et va tuer accidentellement l’intrus. Alors qu’il est encore sous le choc de ce qui vient de se passer, il apprend que l’homme qu’il a abattu s’appelait Freddy Russel. Très vite, la nouvelle de ce drame se propage et arrive jusqu’aux oreilles de Ben (Sam Shepard), un père qui promet des représailles. C’est désormais la famille Dane qui court un danger mais les choses vont se révéler plus complexes qu’il n’y parait.

    01.jpg

    Adaptation du roman Juillet de sang de Joe R. Lansdale, Cold in July révèle une histoire pleine de tension et qui ne manque pas de rebondissements. Cela est vrai au départ mais le hic c’est qu’à partir d’un moment, les révélations qui nous sont faites deviennent de moins en moins crédibles ce qui rend le film tout de suite moins captivant. Les fans du petit écran seront ravis de revoir Michael "Dexter" C. Hall même s’il est assez ironique de le voir incarner un homme traumatisé par cet accident mortel. Il est entouré de vétérans avec un Sam Shepard diablement efficace et un Don Johnson qui se fait surtout remarquer par sa dégaine. A découvrir pour cette atmosphère particulière.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas toujours croire la police !

  • Ultimate game

    aff.jpg

    Dans un futur pas si lointain. On n’arrête plus le progrès, les technologies deviennent de plus en plus sophistiquées et la frontière entre fiction et réalité s’amenuise. Ken Castle (Michael C. Hall) a construit son empire à travers 2 créations révolutionnaires : Society & Slayers. Ces programmes permettent aux joueurs du monde entier de contrôler non pas des êtres imaginaires mais de véritables personnes. Les audiences battent tous les records grâce notamment à Slayers où des condamnés à mort se voient offrir une chance de libération. Au bout de 30 victoires, c’est la liberté mais une seule erreur suffit pour mourir et Kable (Gérard Butler) le sait parfaitement !

    01.jpg

    L’histoire n’a vraiment rien d’original, un mix entre Course à la mort et Running Man remis au gout du jour. Au niveau de l’action, Gérard Butler s’éclate et éclate aussi tout ce qui bouge et nous rappelle qu’il est aussi à l’aise en explosant des têtes qu’en faisant la cour à de belles donzelles. Si le film veut rendre hommage à la culture geek, il finit également par tomber dans la caricature la plus simple car non tous les geeks ne sont pas des obèses à poil qui bouffent comme des porcs. Sans relever de l’exceptionnel, Ultimate game est un film qui a su se créer son propre univers et plutôt agréable bref de quoi passer le temps avec un paquet de pop-corn.


    Il faut le voir pour : Jeter votre Playstation 3, elle est dépassée !