Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

samuel labarthe

  • Ma bonne étoile

    star 03.jpg

    aff.jpg

    Beaucoup de choses ont changé lorsque notre pote Louise (Fleur Lise) a perdu sa mère ; l’activité de l’écurie dont s’occupe son père Pierre Barthélémy (Christophe Lambert) va de mal en pis à l’image de cet entraineur de chevaux. Le dernier lien que la jeune femme a encore avec sa mère était Gracieuse, une jument qui allait malheureusement elle aussi s’éteindre après avoir donné naissance à une pouliche baptisée Marquise. Les chances de survie de cette dernière étaient minces mais Louise est restée constamment à ses cotés et lui a ainsi permis de grandir entouré de beaucoup d’amour. Marquise va prendre une place d’autant plus importante qu’elle pourrait bien être la dernière chance pour les écuries de Pierre de régler ses difficultés financières.

    01.jpg

    Soyons franc, ça sentait le film bien mielleux et ça l’est néanmoins, je dois avouer que Ma bonne étoile, sans réussir à nous faire galoper, parvient à nous mener au petit trot. Evidemment, le thème abordé y joue beaucoup ; ce n’est pas tous les jours qu’on nous présente l’univers hippique surtout pour des gens comme moi pour qui cela se résume aux paris du PMU. Même mon pote Christophe Lambert, qui d’ordinaire me fait davantage rire, a réussi à me toucher malgré un scénario bien trop téléphoné. Malgré ses défauts apparents, ça reste une bonne surprise qui devrait pouvoir mettre en selle quelques spectateurs et ravir tous les amoureux des chevaux.

     

    Il faut le voir pour : Faire un tour à l’hippodrome !

  • La conquête

    aff.jpg

    Le 6 Mai 2007, La Vème république française accueille son 6ème président en la personne de Nicolas Sarkozy (Denis Podalydès). Un aboutissement pour un homme qui a dédié l’ensemble de sa carrière politique pour atteindre cet objectif même si cela s’est fait aux dépens de sa vie personnelle. La course à l’Elysée a commencé lors du 2nd mandat de Jacques Chirac (Bernard Le Coq), Sarkozy est nommé Ministre de l’intérieur et va le faire savoir aux français. Il multiplie ses apparitions, n’hésite pas à créer des polémiques bref il fait l’actualité pour mieux préparer les présidentielles. Alors qu’il s’impose progressivement dans le paysage politique et à l’approche des élections, sa relation avec sa femme Cécilia (Florence Pernel) s’en trouve bouleversée car elle a un autre homme dans sa vie.

    01.jpg

    Déjà que je trouve ridicule l’exposition médiatique qui entoure nos politiciens, voilà que Sarkozy envahit également le grand écran. Impossible de ne pas évoquer le casting et l’impressionnant mimétisme entre les comédiens et leurs modèles ; de Sarkozy à Chirac en passant par Villepin, l’illusion est trompeuse ! Le film de Xavier Durringer revient ainsi sur la course aux présidentielles de Sarkozy avec son lot de manipulations médiatiques, règlements de comptes et de désillusions sentimentales hélas l’histoire reste bien plate notamment dans son dénouement interminable. Construit à partir de toutes les rumeurs, les faits et les déclarations tapageuses qui ont nourri l’actualité de la classe politique, La conquête mérite juste le coup d’œil pour son interprétation.

     

    Il faut le voir pour : Vous convaincre d’aller voter en 2012 … c’est pas gagné !

  • Ces amours-là

    aff.jpg

    Il y a eu beaucoup d'hommes dans la vie de notre pote Ilva (Audrey Dana) car comme elle le dit si bien, elle a toujours aimé trop vite. N'écoutant que ce que lui dictait son cœur, elle a été montré du doigt lorsqu'elle est tombée sous le charme de l'officier allemand Horst (Samuel Labarthe) alors que sa patrie vivait sous l'occupation nazie. Lors du débarquement des américains en Normandie, ce sont 2 hommes qui vont marquer sa vie ; 2 soldats et frères d'armes du nom de Bob Kane & Jim Singer (Jean-Jacques Ido & Gilles Lemaire). Choisir entre ces deux hommes est impossible mais un évènement dramatique va changer les choses.

    01.jpg

    Roman de gare avait révélé Audrey Dana auprès du grand public, aujourd'hui elle retrouve Claude Lelouch pour son 43ème film qui sonne comme une déclaration d'amour au cinéma. Les références au 7ème art sont nombreuses et le réalisateur y révèle même une partie de son enfance en dévoilant la façon dont il est tombé amoureux du cinéma. Audrey Dana quant à elle est une délicieuse muse dont on ne se lasse pas au point d'endosser 3 rôles bien qu'à ce niveau là il y ait un vrai déséquilibre entre ces différents personnages. Ces amours-là s'affirme comme un bon Lelouch qui ne devrait pas avoir de mal à trouver son public !

     

    Il faut le voir pour : Entendre une version spéciale de La Marseillaise !