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jan hammenecker

  • Tango libre

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    Depuis qu’il a rencontré cette femme à son cours de Tango, notre pote JC (François Damiens) ne cesse de penser à elle. Quelle surprise lorsqu’il l’aperçoit à la prison où il travaille comme gardien, Alice (Anne Paulicevich) se présente au parloir pour voir son mari … mais aussi son amant ! Fernand & Dominic (Sergi López & Jan Hammenecker) se sont retrouvés derrière les barreaux après un braquage qui a mal tourné et ils se rendent vite compte qu’Alice ne laisse pas insensible leur maton. Apprenant cela, Fernand se met en tête de prendre lui aussi des cours de malgré le fait qu’il soit enfermé dans une prison ; il part à la recherche d’un argentin.

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    On en a eu des films sur la prison mais c’est bien la première fois qu’on y intègre de la danse et en l’occurrence du Tango ! Pas sur qu’il s’agisse là d’une bonne inspiration car le film de Frédéric Fonteyne risque de vous donner rapidement envie de quitter la piste voire même de ne pas y entrer. Sur un scénario écrit par la comédienne et compagne du réalisateur Anne Paulicevich, on entre dans une drôle de danse dans un ménage pour le moins hors-normes. On n’est pas plus séduit par des personnages sans profondeur que par le triste spectacle offert par ce Tango libre qui pour le coup risque d’atterrir droit au trou.

     

    Il faut le voir pour : Noter qu’on peut prendre des cours de danse même en prison !

  • Où va la nuit

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    Cela fait 32 ans que Rose (Yolande Moreau) est mariée et leur couple a connu bien des drames. Récemment, son mari (Loïc Pichon) a renversé une jeune fille et a écopé pour cela d’une peine de 6 mois de prison mais à sa sortie, les mauvaises habitudes reprennent. Sans aucune raison, Rose est battue par son mari, une situation qu’elle n’arrive plus à supporter ce qui l’amène à commettre l’irréparable. Un soir, elle renverse son mari à l’endroit même où celui-ci avait tué la jeune fille. Après l’enterrement, elle part vivre quelques jours chez son fils Thomas (Pierre Moure) à Bruxelles afin d’éviter les suspicions qui pourraient naitre à son égard.

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    Pour adapter le roman Mauvaise pente de Keith Ridgway, le réalisateur Martin Provost retrouve pour l’occasion Yolande Moreau, la comédienne qu’il avait déjà dirigée dans Séraphine (César du meilleur film en 2009). Où va la nuit nous met face au destin tragique d’une femme longtemps emprisonnée dans un carcan familial et qui redécouvre un certain gout à la vie auprès de son fils. On ne peut que saluer la belle prestation de la comédienne ainsi que la justesse des seconds rôles cependant il est tout de même difficile de ne pas trouver le temps parfois long notamment dans la dernière partie.


    Il faut le voir pour : Offrir une robe de chambre à votre maman !