Blue Jasmine
Il n’ya encore pas si longtemps, notre pote Jasmine (Cate Blanchett) menait la belle vie auprès de son mari Hal (Alec Baldwin). Habituée alors au luxe, le choc est rude lorsqu’elle apprend qu’elle a épousé un homme volage doublé d’un escroc. Désormais ruinée et seule, elle traverse une période difficile et espère se remettre à flot auprès de sa sœur Ginger (Sally Hawkins) qui vit à San Francisco. Ces 2 sœurs ont été adoptées et ont connu des trajectoires totalement opposées puisque Ginger n’a pas eu une vie aussi faste. Malgré tout, elle est heureuse de revoir enfin Jasmine qui elle ne pense qu’à descendre les verres de Vodka-Martini pour oublier tous ses soucis.
Retour aux Etats-Unis et c’est cette fois dans les rues de San Francisco que notre pote Woody Allen pose ses caméras pour dresser le portrait de ces 2 sœurs totalement opposées. Une nouvelle fois, il met en scène 2 magnifiques comédiennes d’abord avec une Sally Hawkins pleine de vie mais surtout avec une Cate Blanchett en dépressive éblouissante. Son histoire on la découvre à travers des flashbacks rendant le contraste entre la femme qu’elle était et celle qu’elle est devenue encore plus flagrant. Bien entendu, Blue Jasmine ne dispose pas de la magie et de la poésie d’un Minuit à Paris toujours est-il que le réalisateur new yorkais nous régale une fois de plus, de quoi voir la vie en bleue !
Il faut le voir pour : Planquer vos bouteilles de Vodka !