Fleur (Isabelle Pirès) cherchait un endroit calme et c’est comme ça qu’elle a pris la direction du Sud de la France. Son oncle lui avait laissé les clés de la maison et elle pouvait ainsi profiter du cadre idyllique qui s’offrait à elle. Peu de temps après son arrivée, elle rencontre Vénus (Veroushka Knoque), originaire de Saint-Pétersbourg et venue en France pour un garçon. Malheureusement, l’histoire s’est mal terminée et la voilà de nouveau célibataire et sans toit. Fleur alors à sa nouvelle pote d’enfance de l’héberger et c’est plein d’entrain que celle-ci accepte. Une fois ces formalités réglées, les 2 jeunes femmes peuvent partir à la chasse aux garçons !

Avant Changement d’adresse et plus récemment Un baiser, s’il vous plait ! Emmanuel Mouret nous proposait Vénus et Fleur ; un film sans grandes prétentions et qui fleure bon les vacances. Le réalisateur construit son histoire à travers un triangle amoureux et joue sur la dualité caractérielle des personnages de Vénus & Fleur. Il se dégage une certaine fraicheur de par son cadre mais aussi par ses interprètes repérées par un simple casting. Une mise en scène assez théâtrale avec peu de décors, beaucoup de dialogues et finalement un film léger qui se laisse regarder mais qu’on oublie assez vite.

C’est un grand jour pour la famille Stifler car Erik (John White) entre enfin à la fac ! A lui les cours en amphi, les soirées à bucher à la bibliothèque … mais bien sur que non, tout ce qui compte ce sont les beuveries offertes par les confréries d’étudiants. Quand on est un Stifler, on a une réputation à défendre et son cousin Dwight (Steve Talley) est là pour le conduire sur le bon chemin. La première étape sera de faire ses preuves pour mériter sa nomination en tant que membre des Beta mais attention les épreuves ne sont pas faciles ! Et puis i faut aussi se méfier des membres des Geek, spécialistes des entourloupes et toujours prêts à en découdre.

Ce qui est bien avec les américains c’est qu’ils n’ont jamais peur du ridicule du moment que ça leur permet de se remplir les  poches. On est bien loin du  1^er épisode et de son humour bon enfant. American Pie Campus en folie se revendique comme l’épisode le plus chaud de la saga mais l’on devrait plutôt dire qu’il s’agit du plus vulgaire. Pour résumer c’est assez simple, il suffit d’imaginer des jeunes, du sexe, de l’alcool et un humour aussi développé que la discrétion de Nicolas Sarkozy. Plus on avance, plus on s’enfonce dans la comédie grasse et pataud, ça ne m’étonnerait pas de voir débarquer un septième épisode.

Ellie & Jimmy Hudson (Christina Ricci & Jesse Eisenberg) sont orphelins et depuis la mort de leurs parents c’est la jeune femme qui prend soin de son petit frère. Celui-ci vit une période peu évidente puisqu’au lycée, il est transparent aux yeux de ses camarades de classe et notamment de la belle Brooke (Kristina Anapau). Un soir, Ellie & Jimmy sont victimes d’un accident de voiture impliquant un autre véhicule mais le plus étrange reste à venir puisque la femme qu’ils ont percuté est attrapée par une mystérieuse créature. Lorsqu’on la retrouve, elle a le corps déchiqueté et semble avoir été la proie d’un loup-garou !

Cursed avait le potentiel pour s’imposer comme un bon film avec d’abord à la réalisation un tandem qui a déjà fait ses preuves : Wes Craven/Kevin Wiliamson à qui on doit entre autres la saga Scream. Et puis au niveau du casting il y avait de quoi faire avec Christina Ricci et d’autres (pseudo) stars du petit écran comme Joshua Jackson, Milo Ventimiglia, Portia de Rossi ou Michael Rosenbaum. Bref, sur le papier ça promet mais à l’écran c’est du n’importe quoi ; tout sent le réchauffé et ce n’est pas l’intrigue qui va rehausser l’intérêt de ce film insipide. A éviter si possible.

Découvre le film Dans la peau du héros !

C’est par un soir pluvieux qu’il a été trouvé abandonné au beau milieu de la rue. Un cirque ambulant était passé par là et l’avait oublié sur la route, c’est ainsi que le zèbre Zig-Zag s’est retrouvé dans la ferme des Walsh pour le plus grand bonheur de la jeune Cindy (Hayden Panettiere). Dès son arrivée, Zig-Zag est adopté par tous les animaux que ce soit Rocky le coq, Prof le cheval nain ou encore Franny la biquette. A la ferme, lorsqu’il découvre les chevaux de course il se découvre une passion ; lui aussi veut courir dans l’immense hippodrome et devenir le nouveau champion. D’ailleurs il est persuadé être un cheval mais son apparence ne passe pas inaperçu et il est souvent victime de railleries.

Un divertissement familial que les enfants vont apprécier avec des animaux parlants rassemblant chevaux, poules et coqs des mouches et même un goéland plumeur à gages. C’est d’ailleurs eux qui insufflent une certaine dynamique à ce film même s’il ne faut pas oublier notre pote le zèbre qui est un héros plus qu’atypique ! Encore peu connue, on retrouve la jeune Hayden Panettiere avant qu’elle ne rencontre le succès qu’on lui connait aujourd’hui avec la série télévisée Heroes. Plein de bons sentiments, Zig-Zag reprend une recette qui a déjà fait ses preuves et une fois de plus ça marche alors faites plaisir aux enfants !

Gotham City dort désormais sur ses deux oreilles ; les criminels tremblent à l’idée d’avoir un jour en face d’eux le célèbre duo de justiciers Batman & Robin (Georges Clooney & Chris O’Donnell). Pourtant ce n’est pas ce qui va arrêter notre pote le Docteur Victor Fries (Arnold Schwarzenegger) qui a l’intention de transformer la ville en véritable village du pole nord. Pendant ce temps, dans la foret amazonienne le Docteur Pamela Isley (Uma Thruman) va devenir la victime d’un savant fou en pleine expérimentation. Elle va fusionner avec ses plantes pour devenir Poison Ivy et ne tardera pas à envenimer Gotham City.

Joel Schumacher a mis les bouchées doubles pour écœurer les fans. Gotham est transformé en boite disco, Alicia Silverstone étouffe dans son costume de Batgirl et c’est sans compter sur la très mauvaise inspiration deGeorges Clooney. Lui qui surfait alors sur la vague de succès de la série Urgences, a succombé à la facilité et aux sirènes d’Hollywood pour un rôle qui aurait pu lui être fatal. Les présences d’Arnold Schwarzenegger en plein déclin et d’une Uma Thurman pourtant envoutante n’y changeront rien ; Batman & Robin est un véritable bide et le héros est enterré jusqu’au nouveau millénaire et l’arrivée de Batman Begins.

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C’est une nouvelle attaque orchestrée par Double-face (Tommy Lee Jones) mettant en déroute la police de Gotham City. Heureusement il est arrivé ; Batman (Val Kilmer) prend le relais et manque de peu de mettre sous les verrous celui qui fut Harvey Dent, grand avocat et pote d’enfance de Bruce Wayne. L’homme d’affaires a d’ailleurs quelques soucis avec un de ses employés Edward Nygma (Jim Carrey) qui a mis au point un système qui permet de lire les pensés d’autrui. Un projet qui pourrait s’avérer dangereux s’il venait à tomber entre de mauvaises mains.

Ce nouveau volet de l’homme chauve-souris marque une nouvelle ère prise en main par Joel Schumacher qui va, sans le savoir, conduire au déclin de la saga. A nouvelle étape, nouveaux visages avec pour commencer Val Kilmer qui prend le masque de Batman et qui se voit de plus attribuer un partenaire puisque Robin interprété par Chris O’Donnell vient lui prêter main forte. Loin de l’univers gothique instauré par Tim Burton, Schumacher pare Gotham de couleurs fluo criardes malgré tout Batman Forever reste encore un film correct pour peu qu’on lui pardonne un scénario dénué de véritable suspense.

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Parce qu’il a commis une énorme erreur, le journaliste Tim Manfrey (Dominic Purcell) se retrouve envoyé au Burundi sur les traces d’un crocodile mangeur d’hommes. Tout a commencé lorsqu’il a réalisé un reportage pour la chaine NNC et révélé des faits qui n’étaient que pure spéculation mettant en cause un sénateur. Pour lui remettre les idées en place, on l’a donc envoyé pour accompagner une journaliste Aviva Masters (Brooke Langton) à la recherche d’un crocodile qui a fait d’innombrables victimes. Dans la région on l’a même surnommé Gustave et peu de personnes qui l’on aperçu ont eu la chance d’en réchapper

Le genre de films dont on connait d’avance l’intérêt plus que limité et qu’on prend pourtant plaisir à découvrir histoire de s’évader un peu du quotidien. Fans de séries télévisées, vous reconnaitrez aisément la belle Brooke Langton (Melrose Place) & le mâle Dominic Purcell (John Doe, Prison Break) qui a toujours un problème pour boutonner ses chemises jusqu’au cou. Pas de grosses surprises donc avec Primeval qui essaie toutefois de lancer une bouteille d’eau à la mer en soulignant brièvement l’indifférence du sort des africains aux yeux du monde entier. Dommage que le crocodile soit aussi discret car c’est encore par ses rares apparitions que le film devient un tant soit peu intéressant, le reste n’étant que du classique.