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  • The november man

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    Alors qu’il coulait des jours heureux en Suisse à Lausanne ; notre pote Peter Devereaux (Pierce Brosnan) a reçu la visite d’Hanley (Bill Smitrovich). Ce dernier lui apprend que Natalia Ulanova (Mediha Musliovic), qu’il connait bien, se trouve dans une situation délicate à Moscou. Peter va donc devoir laisser sa fille Lucy (Tara Jevrosimovic) pour reprendre son costume d’agent secret pour aller lui prêter main-forte. Il parvient ainsi à la tirer d’affaire mais va avoir un véritable choc lorsqu’il verra sur son chemin son ancien protégé David Mason (Luke Bracey). Sa mission l’amènera ensuite à assurer la protection d’une certain Alice Fournier (Olga Kurylenko) qui détient des informations capitales.

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    A défaut de pouvoir réendosser les habits de l’espion de Sa majesté, Pierce Brosnan revient tout de même à l’action avec The november man. Même si le film est loin de se montrer flamboyant sur ses phases d’action, ça reste assez efficace pour satisfaire le spectateur. Là où on est bien moins enthousiasmé, c’est concernant un scénario qui aurait grandement gagné à offrir plus de clarté. En fait ça donne l’impression de vouloir nous dévoiler une histoire légèrement alambiquée façon John Le Carré alors que ça ne s’y prête pas réellement. Rien de transcendant donc avec ce film qu’on regardera sans grande passion mais au moins on constate que l’ex-agent 007 porte toujours aussi bien le costume.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de trop bien former vos successeurs, on ne sait jamais !

  • Krunk out

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    A 35 ans, notre pote Walter Krunk (The Big Show) n’a jamais quitté l’orphelinat Saint-Thomas et après un regrettable accident, il pourrait bien être responsable de sa fermeture. Il n’a qu’une semaine pour rassembler la somme de 25 000 dollars afin de financer les travaux et donner ainsi un toit digne de ce nom aux orphelins. La providence le met sur le chemin d’Eddie Sullivan (Mark Feuerstein), un agent en galère et qui voit en Walter un lutteur exceptionnel susceptible de remporter le prochain tournoi de combat organisé à la Nouvelle-Orléans. Seulement, ce grand gaillard de plus de 2 mètres et pesant près de 203 kg n’a rien d’un lutteur et rayonne surtout par sa gentillesse.

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    Après Hulk Hogan en danseuse, The Rock en fée des dents ; la tradition du catcheur ridiculisé se perpétue avec un Big Show combattant en slip. Vous me direz ça ne le change pas tellement des représentations de la WWE qui se trouve bien évidemment derrière ce film familial. C’est un personnage candide qui nous sert de héros et bien sur c’est sa maladresse qui sert de ressort comique sauf que ce ressort se casse très vite. Scénario vide, des combats sans intensité (Vince aurait pu nous prêter quelques "stars" de son roster !) ; Krunk out est profondément débilisant et contrairement à ce que vous pourriez penser c’est loin d’être du sur-mesure pour moi !

  • Phénomènes paranormaux

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    Depuis la mort de son mari, Abigail Tyler (Milla Jovovich) est une femme  perdue mais cette psychologue n'a encore rien vu. Au cours de ses consultations, elle s'est aperçu que plusieurs de ses patients faisaient un rêve identique dans lequel ils étaient hantés par la présence d'un hibou. En voulant faire la lumière sur ce sujet, elle s'essaye à des expériences plus approfondies et les résultats sont aussi inquiétants que spectaculaires. Un de ses patients, après avoir violemment réagi à l'expérimentation, abat toute sa famille avant de se donner la mort. Pour les autres patients, ce drame leur fait craindre le pire tandis que Abigail est de plus en plus persuadée qu'elle a à faire à des cas d'enlèvements par des extraterrestres.

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    Mythe ou réalité, dès les premières secondes Phénomènes paranormaux donne le ton avec une Milla Jovovich qui vient nous assurer de la véracité de l'histoire que nous allons vivre. Le film dit ainsi reprendre de nombreuses images d'archives fournies par la véritable Abigail Tyler au cours de ses études. Films d'archive et reconstitution cinématographique se retrouvent ainsi simultanément à l'écran ce qui n'a comme intérêt que d'ajouter de la confusion dans nos esprits. Au spectateur ensuite de dissocier le vrai du faux, les images d'époque souffrant comme par hasard de parasites lorsque les moments deviennent justement plus intenses afin de leur donner un coté authentique. Après Paranormal activity, on passe donc à une sorte de film d'horreur à la sauce real tv qui a encore bien du mal à faire ses preuves. Loin d'être génial mais ça se laisse voir et ça rappelle le bon vieux temps où X-files cartonnait à la télévision !

     

    Il faut le voir pour : Laisser votre dictaphone allumé pendant votre sommeil, vous pourriez avoir des surprises !