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La colline aux coquelicots

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Chaque matin c’est le même rituel pour notre pote Umi ; elle est la première à se lever, sort pour hisser les pavillons et s’empresse de préparer le petit-déjeuner pour l’ensemble des locataires de la pension. Après ça, elle se rend au lycée où elle va être le témoin privilégié d’un bien curieux spectacle. Afin de manifester leur opposition à la démolition de leur foyer, les garçons ont décidé de marquer les esprits et c’est Shun qui a assuré le show en procédant au saut traditionnel de l’école. Umi n’a pas manqué cet exploit et ce jeune homme ne la laisse pas indifférente, sentiment qui semble réciproque. Alors qu'ils se retroussent les manches pour tenter de sauver le Quartier latin, Shun va découvrir un incroyable secret sur son passé et qui va remettre en cause ses relations avec Umi.

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Les contes de Terremer avaient témoigné de l’envie de Goro Miyazaki de succéder à son père et de faire les beaux jours des studios Ghibli. C’est une nouvelle adaptation d’un manga publié au Japon au début des années 1980 et, sans surprises, on retrouve un film d’animation de qualité avec un scénario qui sent bon la nostalgie. Contrairement aux précédentes productions des studios nippons, La colline aux coquelicots fait apparaître une histoire bien plus terre-à-terre. La seule fantaisie dont il fait preuve c'est cet incroyable foyer d'étudiants où chaque recoin réserve son lot de surprises. Sans atteindre le rang de chef-d'oeuvre, on passe toutefois un agréable moment que l'on soit petit ou grand !


Il faut le voir pour : Ne jamais s'inscrire au club de Philosophie !

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