C’était une jeune femme comme les autres, rien ne pouvait laisser deviner que Jeanne (Emilie Dequenne) deviendrait l’affabulatrice que l’on désigne comme la fille du RER. Selon ses dires, elle aurait été victime d’une agression à caractère antisémite lors d’un trajet sur la ligne D. le plus incroyable c’est que personne ne serait intervenu ; une histoire qui fait les choux gras de la presse au point que cela en devient une affaire d’état. Comment Jeanne qui avait une vie tout ce qu’il y a de plus banal en est venu à déclencher une telle tornade médiatique.

Inspiré d’un fait divers qui s’est déroulé en 2004 et qui à l’époque avait fait grand bruit ; La fille du RER se concentre essentiellement sur les circonstances qui ont conduit à ladite affaire. Laissez donc le charme d’Emilie Dequenne agir d’autant plus qu’elle est formidablement bien entourée avec rien moins que Catherine Deneuve, Michel Blanc et Nicolas Duvauchelle. André Téchiné dresse le portrait d’une fille comme les autres dont la vie finit par basculer en raison d’une série d’évènements, posant également la question sur la responsabilité des médias dans cette affaire.

Il faut le voir pour : Apprendre à négocier les prix !

 
Jean-Claude : Quand te reverrais-je ? Pays merveilleux où ceux qui s'aiment vivent à deux !
Quand te reverrais-je ? Pays merveilleux…

Et comme c'est la période de Noël, voici en cadeau l'extrait audio ! 

Les années 1960 à Paris, Gustave Minda (Daniel Autueil) a réussi à s’évader de la prison centrale et sa cavale va vite le ramener auprès de celle qu’il aime Manouche (Monica Bellucci). Il doit quitter la France mais pour le moment, il va devoir se faire discret ce qui l’amène à se rendre dans la région de Marseille en attendant de partir vers l’Italie. Sur place, il se voit proposer un job intéressant : participer à un casse qui devrait lui rapporter une belle somme ; une énorme opportunité pour lui. La cible est une cargaison d’or dont a eu vent Venture Ricci (Daniel Duval) qui a constitué une belle équipe mais attention au commissaire Blot (Michel Blanc) qui n’est pas né de la dernière pluie.

La bande-annonce était assez alléchante et puis surtout c’est la belle distribution qui avait attiré mon attention mais ce fut une belle déception. Premièrement, Daniel Auteuil manque cruellement de charisme pour incarner Gu, un gangster dont la réputation le précède et ça plombe déjà pas mal le film. A cela s’ajoute la présence de personnages pas vraiment indispensables comme Manouche & Alban interprétés respectivement par Monica Bellucci & Eric Cantona. Le deuxième souffle aurait gagné à être un peu plus rythmé en raccourcissant certaines scènes mais ça reste un film différent de ce que l’on a l’habitude de voir avec le cinéma français.

Il faut le voir pour : L'impressionnant casting.

 
Jean-Claude : Je sais pas ce qui me retient de te casser la gueule tiens !
Popeye : La trouille, nan ?
Jean-Claude : Ouais, ça doit être ça. Allez on rentre !

Denis : J'peux pas manger, j'ai les dents qui poussent 

Bonjour,

Moi suis Elena (Medea Marinescu), je suis frère de la tante du glaïeul de … euh enfin, de la famille à Aymé Pigrenet (Michel Blanc). J’ai arrivé en France pour l’aider dans travail à lui à la ferme.

Aymé a perdre sa femme il n’y a pas longtemps et lui être venu jusqu’en Roumanie pour me choisir. J’ai beaucoup chance qu’il choisit moi comme ça je peux aider ma famille en leur envoyant de l’argent.

Contente de connaître la France mais je connais pas beaucoup votre langue et la vie à la ferme. Heureusement, Aymé est gentil et puis je le trouve très … beau ? Non, pas du tout !

En Résumé : Première réalisation d’Isabelle Mergault, ce film a fait un petit carton en salles et il le méritait bien. Je vous trouve très beau nous livre une histoire émouvante quoi que sans surprises au niveau réalisation mais servi par 2 comédiens de talent. Michel Blanc est au top de sa forme et campe à merveille ce paysan un peu rugueux au cœur d’or. Medea Marinescu quant à elle vous envoûtera avec son charmant accent !

Quand une bande de copains qui se sont connus il y a plus de 30 ans décident de passer les vacances ensemble, cela ne peut-être synonyme que de bonne humeur ! Enfin, ce n’est pas si sur ! Pourtant, au Prunus Resort tout est réuni pour accueillir Jérôme, Nathalie, Bernard, Gigi & Jean Claude (Christian Clavier, Josiane Balasko, Gérard Jugnot, Marie-Anne Chazel & Michel Blanc) pour de nouvelles aventures mais Robert (Thierry Lhermitte) va vite comprendre qu’il n’est pas au bout de ses peines.

27 ans après leurs aventures au ski, les Bronzés nous reviennent mais est-ce bien pour notre plus grand bonheur ? A chaud, cette séquelle est plus que décevante car on ne retrouve pas l’esprit qui avait su nous séduire à l’époque. Des choix scénaristiques étranges, des personnages parfois dénaturés ; autant de choses qui font des Bronzés 3 une belle désillusion !

Bien, voilà le grande première pour cette nouvelle rubrique Premières Impressions que je lance sans grandes préparations donc ne vous étonnez pas si elle est amenée à évoluer au cours des prochains mois ! Je commence avec un film français dont on parle énormément ces derniers temps : Je vous trouve très beau.

Avec la mort de sa femme, notre pote Aymé Pigrenet (Michel Blanc) est totalement désemparé. Bon, il y a la tristesse de l’avoir perdu c’est sur mais surtout comment va-t-il pouvoir s’en sortir tout seul avec sa ferme ? Le travail ne manque pas et il n’a guère le temps de sortir aussi décide t-il de faire appel à une agence matrimoniale. La solution à ses problèmes se trouve en Roumanie où Aymé va faire la connaissance d’Elena (Medeea Marinescu), une belle jeune femme qui semble motivée par cette opportunité car elle a besoin d’argent. C’est ainsi qu’elle rejoint Aymé en France mais dans le même temps, elle doit se résoudre à laisser à contrecœur sa fille derrière elle.

Un film évènement dans la carrière de l’actrice Isabelle Mergault qui signe en effet sa toute première réalisation avec une comédie plutôt réussie. Avant que M6 ne nous apprenne que L’amour est dans le pré, Je vous trouve très beau abordait déjà ce sujet original qu’est la vie maritale en milieu rural. Si dans la peau du fermier on a l’expérimenté et attachant Michel Blanc, face à lui on découvre la charmante Medeea Marinescu dont la fraicheur effacerait presque un jeu loin d’être juste. On ne va pas cacher qu’il y a pas mal de défauts et le coup de foudre n’est pas assuré mais pour un premier film c’est assez plaisant.

Pierre Mortez : Je n'aime pas dire du mal des gens, mais elle est gentille.