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  • Demolition man

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    1996. Simon Phoenix (Wesley Snipes) est un dangereux criminel que rien n’arrête. Il laisse derrière lui nombre de victimes et l’agent John Spartan (Sylvester Stallone) va tout faire pour mettre fin à sa folie meurtrière. Une prise d’otages se termine de façon désastreuse, une explosion fait plusieurs morts ; Phoenix prétend que Spartan les a laissé mourir pour qu’il puisse le mettre sous les verrous. Le jugement est sans appel, les deux individus sont condamnés à la cryogénisation. 36 années plus tard, les progrès permettent de les ramener à la vie dans un monde qui a bien changé. Malgré le traitement qu’il a subi, Phoenix reste toujours aussi imprévisible et pour le stopper il faut ressusciter notre pote John Spartan !

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    Un des derniers grands films d’action musclée pour Sylvester Stallone qui pour l’occasion joue au gendarme et au voleur avec son pote Wesley Snipes. Bourrin par excellence, Demolition man est assez amusant de par le fait que l’action se situe dans un monde futuriste donnant lieu à quelques situations incongrues (Schwarzie en homme politique, ça faisait rire à l’époque mais plus aujourd’hui !). Cela reste avant tout un film pour les mecs que l’on revoit toujours avec plaisir d’autant plus que c’est l’occasion de voir une très belle scène d’amour entre Sly & Sandra Bullock dans un de ses premiers grands rôles.

  • Jeux de gang

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    On dit que l’argent ne fait pas le bonheur et c’est ce que pourrait confirmer Allison (Anne Hathaway) qui habite à Los Angeles dans le quartier huppé de Pacific Palisades. Délaissée par ses parents avec qui elle ne communique plus que par des petits mots accrochés sur le réfrigérateur, elle trouve refuge au sein d’un gang et surtout dans les bras  de sa pote d’enfance Emily (Bijou Phillips). Evidemment, au sein de leur quartier ils finissent par s’ennuyer et décident alors de pimenter un peu plus leurs soirées en allant faire un tour dans le ghetto. Une sortie qui aurait pu mal se terminer et pourtant Allison & Emily trouvent là une nouvelle source d’excitation.

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    Jeux de gang ou ça aurait également pu s’appeler la Gang Academy. Comment des jeunes filles issues de familles aisées décident de se la jouer rebelle et vont jusqu’à côtoyer de vrais gangsters pour passer leur temps parce qu’elles en ont assez de sniffer de la drogue. Avec un scénario aussi élaboré qu’un épisode des Bisounours (désolé de la comparaison pour les fans des oursons), il est difficile de faire ressortir des qualités qui n’existent d’ailleurs probablement pas. Ca se veut dramatique, ça frise plutôt le ridicule seule chose à retenir la participation d’Anne Hathaway que l’on a pu voir dans Le diable s’habille en Prada.

  • Amityville

    Cela fait maintenant un peu plus de 30 ans que s’est joué un véritable drame aux Etats-Unis, dans le comté de Suffolk, fief d’Amityville. La date fatidique du 13 Novembre 1974 restera à jamais gravé dans la mémoire de tous les habitants puisque s’est déroulé le massacre de la famille Defeo. Les parents et leurs 5 enfants vivaient tous dans cette belle et immense maison située au 112, Ocean Avenue. Un soir, Ronald Defeo Junior (Brendan Dawson), le fils aîné de la famille s’empare d’une carabine et visite chacune des chambres semant derrière lui la mort. Un an plus tard, la famille Lutz vient s’installer dans cette maison d’où émanent de drôles de sensations, des pulsions meurtrières saturent l’atmosphère.

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    Parmi la vague des films d’épouvante proposés par nos amis américains, on retrouve Amityville qui a l’originalité d’être un remake (avez vous noté ce joli contresens ?). La première version était sorti en 1979 et avait surtout brillé par le fait que l’histoire était inspiré d’un fait divers reprise par l’écrivain Jay Anson. Comme bon nombre de remakes, ce film est loin d’être indispensable mais au vu du boom des films d’épouvante de l’époque, chacun voulait sa part de gâteau. Pas très effrayant, on préférera jeter un œil sur l’œuvre original plutôt que sur cette reprise insipide.

     
    Découvre le film Dans la peau du héros
  • Les aventuriers de l'Arche perdue

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    Quand il n’est pas dans sa salle de cours, le professeur Indiana Jones (Harrison Ford) sillonne le monde à la recherche d’antiquités et de trésors enfouis. C’est d’ailleurs en raison de sa grande expérience qu’on va lui confier une mission de la plus haute importance ; arracher l’Arche d’alliance des mains des nazis. Cet objet renferme en effet un énorme pouvoir et si celui-ci tombait entre de mauvaises mains, ce serait une véritable catastrophe pour le monde. Il prend ainsi la direction de l’Egypte où l’attend son plus grand rival René Belloq (Paul Freeman) qui a décidé d’effectuer les recherches pour le compte des allemands. La découverte de l’Arche ne sera pas facile et il faudra braver mille et un dangers avant de pouvoir s’en emparer.

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    Personnage désormais mythique du paysage cinématographique mondial, Indiana Jones a sans conteste apporté un nouveau visage au 7ème art. De l’aventure, de l’exotisme, de l’humour et un personnage aussi sympathique que charismatique ont vite fait de séduire des millions de spectateurs. Steven Spielberg voulait son James Bond et avec l’aide de son pote d’enfance George Lucas, donne naissance à l’aventurier le plus célèbre. Les aventuriers de l’Arche perdue est devenu un classique et malgré ses 27 ans d’âge, reste un film d’excellente facture. Seuls quelques effets spéciaux d’une autre époque viennent trahir sa modernité mais Indy est irrésistible et reviendra en 1984 avec Indiana Jones et le temple maudit.

     

    La scène à ne pas louper : La course d’Indy poursuivi par la boule en pierre.

     

    En savoir plus sur Indiana Jones et le temple maudit ?

    En savoir plus sur Indiana Jones et la dernière croisade ?

    En savoir plus sur Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal ?

  • Molière

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    En 1644, Jean-Baptiste Poquelin appelé également Molière (Romain Duris) n’a pas encore rencontré le succès qu’on lui connait aujourd’hui. Il fut meme emprisonné pour ses nombreuses dettes et c’est à ce moment là qu’il fit la connaissance de  M. Jourdain (Fabrice Luchini) qui avait besoin de ses talents d’auteur. En effet, Molière doit l’aider à écrire une pièce en vue de séduire la Marquise Célimène (Ludivine Sagnier) et pour cela il va venir habiter dans la demeure de la famille Jourdain. Il tombe alors sous le charme de l’épouse de M. Jourdain, Elmire (Laura Morante) dont il tente d’attirer l’attention.

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    Qui n’a jamais lu une œuvre de Molière ? Si vous vous attendiez à une biographie du prestigieux auteur français, vous faites fausse route puisque le réalisateur Laurent Tirard ne s’intéresse ici qu’à une partie de sa vie. Une période où il avait disparu ce qui a alimenté de nombreuses rumeurs et l’histoire qu’il nous propose ici n’est que pure invention mais ça n’en reste pas moins crédible. Au contraire de nombreux films d’époque, on ne se prend jamais au sérieux et l’on finit pas passer un bon moment en compagnie de Romain Duris et de l’extraordinaire Fabrice Luchini qui se plie en 4 pour nous faire rire.

  • Profession Profiler


      

    Connaissez-vous la fonction d’un Profiler ? Il s’agit d’une personne qui est capable de dresser un portrait fidèle du tueur sans pour autant l’avoir rencontré auparavant. Le FBI mise énormément sur cette activité atypique et prend un soin particulier à former ses futurs Profiler. A la tête de ce service, on retrouve Jake Harris (Val Kilmer) qui est en tain d’évaluer ses nouvelles recrues parmi lesquelles on retrouve l’agent J.D. Reston (Christian Slater), naturellement destiné au rôle de leader. Pour leur dernier test, Harris a vu les choses en grand en amenant toute son équipe à Crimetown ; une ile isolée du monde où les choses ne vont pas se passer comme c’était prévu.

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    Il n’y avait pas grand-chose à attendre de ce film et c’est pourquoi la surprise fut agréable. Le sujet est déjà en soi intéressant pour peu que vous appréciez le genre policier et notamment cette profession de Profiler. Après avoir été exploité à la télévision c’est sur le grand écran que le réalisateur Renny Harlin nous convie dans un thriller fichtrement efficace. Le suspense est garanti avec l’exécution minutieuse des héros et surtout cette suspicion ambiante au sein de l’équipe sur le véritable criminel. Il ne faut pas non plus s’attendre à de l’exceptionnel mais je dois avouer que j’ai passé un bon moment avec Profession Profiler que je vous conseille de voir à l’occasion.

  • Desperado

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    Il marche seul, avec comme seul bagage un étui à guitare traversant le Mexique à la recherche d’un certain Bucho (Joaquim de Almeida). Ce dernier est celui qui a tué sa bien-aimée et notre pote El Mariachi (Antonio Banderas) est bien décidé à le lui faire payer. C’est ainsi qu’il atterrit dans ce petit village où il fait la connaissance de Carolina (Salma Hayek), une libraire en contact direct avec Bucho. Il ne va pas tarder à se faire remarquer et le village va vite se transformer en un terrain de guerre car son étui ne sert pas seulement à transporter sa guitare. Il manie les armes à feu aussi bien qu’il joue de la guitare et si j’étais vous je m’éloignerais de cet homme.

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    Ce n’est pas vraiment un film inoubliable mais il fait parti de ceux que l’on revoit avec grand plaisir tellement il est fun. Il faut dire que derrière la caméra on retrouve un certain Robert Rodriguez, futur réalisateur de succès comme Sin City ou Planète Terreur, ce qui peut déjà vous donner une idée de ce qu’il propose avec Desperado. A noter qu’il s’agit de la suite d’El mariachi où le héros était en fait interprété par Carlos Gallardo. Banderas hérite du rôle et entame alors sa grande carrière hollywoodienne. Film pas prise de tète pour un sou, je l’apprécie pour cela et pour l’aspect délirant de certaines scènes comme l’étui à guitare qui sert de lance-roquette ! 8 ans plus tard, il récidivera avec Il était une fois au Mexique – Desperado 2.

  • La guerre des mondes

     

     

    Nous sommes aux Etats-Unis où nous allons faire la connaissance d’un homme parmi tant d’autres Ray Ferrier (Tom Cruise). Après avoir connu le bonheur du mariage, Ray a divorcé et partage désormais la garde de ses 2 enfants : Robbie & Rachel (Justin Chatwin & Dakota Fanning). Aujourd’hui, c’est donc à Ray de passer du temps avec les enfants mais l’on ne peut pas dire que l’instinct paternel l’étouffe car il arrive déjà en retard pour les récupérer. Une journée ordinaire semble donc attendre notre belle famille mais voilà que le ciel se met à gronder et les nuages noirs s’amoncellent à l’horizon. Des éclairs frappent le sol et quand de mystérieuses machines apparaissent aux points d’impact, c’est la panique générale !

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    Voilà le film qui a crée l’évènement lors de sa sortie durant l’été 2005 puisqu’il réunissait 2 grand noms du cinéma américain : Steven Spielberg à la réalisation et Tom Cruise pour le rôle principal. Pour cette nouvelle adaptation du roman d’Herbert Georges Wells, Spielberg déroule l’étendue de son talent à travers des scènes marquantes comme la pluie de vetements. Le spectacle est donc assuré bien que l’on sente derrière tout ça la mécanique d’une machine bien huilée et qui ne va certainement pas s’aventurer dans l’originalité. Blockbuster à l’américaine sans grosses surprises, La guerre des mondes ravira les fans de science-fiction.

     

    Découvre le film Dans la peau du héros !! 

  • A scanner darkly

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    Nous sommes en 2013 dans la ville d’Orange County. La guerre contre les narcotrafiquants reste une des priorités des autorités et Bob Arctor (Keanu Reeves) a d’ailleurs infiltré un petit groupe pour démanteler un trafic. Pour cela, il peut compter sur les progrès technologiques et notamment une tenue de camouflage dernier cri qui permet de prendre n’importe quelle apparence. C’est ainsi qu’il rejoint le groupe de Donna Hawthorne, Jim Barris, Ernie Luckman & Charles Freck (Winona Ryder, Robert Downey Jr, Woody Harrelson & Rory Cochrane), parmi eux se cache peut-etre un grand trafiquant.

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    Film de science-fiction tiré de l’œuvre de Philip K. Dick, A scanner darkly attire l’œil de par son aspect visuel. Le réalisateur n’en est d’ailleurs pas à son coup d’essai puisqu’il utilisait déjà cette tehnique d’animation dans Walking life d’autant plus qu’ici il compte un tas de vedettes à commencer par Keanu Reeves. Si graphiquement le film est intéressant, on a beaucoup de mal à entrer dans l’histoire et il vous faudra meme vous accrocher pour tout suivre. Personnellement, j’ai été un peu largué par la trame scénaristique assez complexe ce qui nuit évidemment au plaisir du spectateur lambda que je suis.

  • Admis à tout prix

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    C’est la catastrophe ! Notre pote Bartleby Gaines (Justin Long) vient encore de recevoir une lettre de refus pour son admission à l’université. Une situation désespérée d’autant plus que ses parents lui mettent la pression pour qu’il continue ses études ce qui l’amène alors à penser à une idée complètement farfelue : créer sa propre école. C’est comme ça qu’est née la prestigieuse South Harmon Institute of Technology autrement dit le S.H.I.T. ! Mais les choses se compliquent quand d’autres étudiants se mettent à s’inscrire au S.H.I.T. ; comment va-t-il pouvoir gérer ces nouvelles arrivées ?

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    Il ne faut pas s’attendre à une merveille mais plutôt une comédie gentille sans grande profondeur et en ce sens, Admis à tout prix remplit largement sa mission. Hormis un scénario assez fantasmagorique, le film peine à briller si ce n’est par une accumulation de clichés auxquels nous sommes habitués depuis fort longtemps avec les comédies outre-Atlantique. En plus de ça, on n’échappe pas au message moralisateur fustigeant les méthodes d’enseignement actuelles et bla bla bla… Une sortie directe en DVD qui coincide bizzaremment avec l’éclosion des comiques Justin long & Jonah Hill ; ah quand il ya du fric à récupérer…