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DVD - Page 15

  • La légende de Zorro

    1850, époque des prémices d’un Etat qui sera reconnu plus tard comme la Californie. Le peuple est en pleine effervescence en ce jour de vote mais tout le ponde ne partage pas cette excitation à promulguer l’indépendance de ce territoire. Jacob McGivens (Nick Chinlund) débarque pour s’emparer de l’urne mais heureusement Zorro (Antonio Banderas) est arrivé ! Quand il ne joue pas les justiciers, il redevient Alejandro De La Vega et retrouve sa famille Elena (Catherine Zeta-Jones) & son fils Joaquin (Adrian Alonso). Toutefois, il y a de l’électricité dans l’air car Elena aimerait que son mari range sa cape une bonne fois pour toute.

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    Et voilà le retour de notre justicier masqué préfère, celui-là même qui signe son passage d’un Z qui veut dire Zorro mais en l’occurrence ce serait plutôt Z comme Zéro comme dans Zéro originalité ! Pour le scénario, on ne s’est pas beaucoup foulé avec La légende de Zorro ; juste de quoi faire une suite en espérant que la licence de Zorro fasse le reste. Le premier épisode se laissait voir mais celui-ci est franchement exaspérant avec son règlement de comptes avec le peuple français (en réponse au refus de Chirac d’intervenir en Irak). A vous de voir, si je peux vous donner un conseil, restez sur le bon souvenir du premier épisode.

  • Génération gangsta

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    Katie (Rebecca Martin) n’avait que 15 ans et elle avait encore toute sa vie devant elle. Lorsqu’on l’a découverte pendue dans sa chambre, ce fut un choc aussi bien pour sa famille que pour ses camarades de classe. Camarades est cependant un bien grand mot puisqu’elle était en fait le souffre-douleur du collège et c’est cette peur constante qui l’a poussé à commettre l’irréparable. Les cours ont été suspendus aujourd’hui, l’occasion pour Trife (Aml Ameen) et ses potes d’enfance d’aller trainer dans la rue. De son coté, Alisa (Red Madrell) l’ex de Trey essaie désespérément d’entrer en contact avec lui pour lui annoncer qu’elle est enceinte.

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    Quand des adolescents décident de se prendre pour des adultes, ça ne donne jamais rien de glorieux. Sexe, drogue, argent et violence ; rien n’échappe à cette nouvelle génération au cœur de Londres qui découvrent déjà les tristes réalités de leur existence. Dans leur folle journée, le réalisateur dresse le portrait d’une jeunesse qui a vite pris son indépendance, l’autorité parentale n’est jamais montré ni suggéré. Quelques scènes tentent de créer un choc en montant des adolescentes prêtes à tout pour l’argent ou sniffant leur dose quotidienne de poudre blanche mais la mayonnaise ne prend pas. Génération gangsta plaira plus facilement aux ados, pour les autres c’est un film trop banal voire caricatural pour faire parler de lui.

  • Ma sorcière Bien-aimée

    Isabel Bigelow (Nicole Kidman) est une sorcière et non ce n’est pas une blague ! Elle possède d’incroyables pouvoirs et pourtant elle a décidé de venir vivre sur Terre incognito. Pendant ce temps, Jack Wyatt (Will Ferrell), un acteur reconnu vit actuellement une période sombre. Son dernier film est un échec retentissant et sa vie privée n’est guère plus reluisante puisqu’il divorce après seulement 19 mois de mariage. Pour s’en sortir, on lui propose le remake de la série Ma sorcière bien-aimée ; un projet qui ne le tente pas vraiment d’autant plus qu’il faudra encore trouver celle qui incarnera l’éternelle Samantha.

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    Vous le savez certainement Ma sorcière bien-aimée c’est d’abord une série qui nait durant les années 1960 et qui aura connu un succès énorme. Le point positif c’est que l’adaptation au cinéma est faite sous un angle plutôt original puisqu’on suit la construction d’un remake de la série. Après ça se gâte un peu car il faut bien le reconnaitre, le couple Kidman/Carrell n’est pas une merveille de casting et l’histoire devient rapidement assez morne. Les fans de la première heure se feront leur propre opinion mais à part jeter un sort sur les autres, je ne vois pas comment les convaincre d‘y jeter un œil.

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    C’est trop de la balle, le prochain album de Prolifik (Nelly) va faire un énorme carton ! Notre pote Erik Triggs (Sam Jones III), son plus grand fan en est convaincu et c’est d’ailleurs pour ça qu’il s’active à coller des affiches dans toute la ville de Philadelphie. Alors que tout le monde attend impatiemment cet album évènement, Erik va se retrouver mêler à une sombre affaire d’enlèvement dont la victime n’est autre que Prolifik. Des ravisseurs l’ont kidnappé dans son studio et ont emporté par la même occasion toutes les bandes de son nouvel album pour lesquels ils vont demander une énorme rançon mais la vérité n’est pas celle que l’on croit.

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    Déjà, si vous êtes allergiques au rap ce n’est certainement pas la peine de vous infliger ce Rap game aussi intéressant qu’un éventuel nouvel album des Benny B. Comme d’habitude on retrouve à peu près les éléments communs à tout film du genre avec bien sur du rap, des histoires de gang et des flingues pour se la jouer rebelle. Niveau casting on a fait appel à Nelly qui s’est rempli les poches sans trop faire d’efforts ainsi que Sam Jones III que l’on connait surtout pour sa petite participation à la série Smallville. Rien de nouveau à l’horizon si ce n’est un téléfilm plus affligeant qu’autre chose qui mériterait à peine sa place chez votre loueur de DVD.

  • 4 mois, 3 semaines, 2 jours

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    1987. Ottila & Gabita (Anamaria Marinca & Laura Vassiliu) sont 2 étudiantes roumaines qui partagent la même chambre. Gabita s’affaire car aujourd’hui est une journée très chargée. Elle part rapidement rejoindre son petit ami avant de se rendre à l’hôtel pour réserver une chambre. Premier contretemps, contrairement à ce qui avait été prévu, elle est dans l’obligation de se rendre à un autre établissement. Puis il faut aller le chercher et le ramener en toute discrétion ; Domnu’Bebe (Vlad Ivanov) leur avait parlé au téléphone quelques jours plus tôt, toutes ces précautions sont nécessaires pour dissimuler cet avortement !

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    Au sein d’une Roumanie encore sous le joug communiste, l’avortement est devenu illégal entre 1966 et 1989 poussant ainsi les femmes à enfreindre les lois. C’est dans ce contexte pesant que l’on suit le parcours de Gabita, jeune étudiante qui souhaite braver l’interdit pour avorter. Pendant toute la durée du film, cette grossesse est suggérée et soudain l’image du fœtus, du cadavre apparait comme un choc pour le spectateur. 4 mois, 3 semaines, 2 jours ne vous laissera pas indifférent et la force de ce sujet pour le moins sensible lui a permis de décrocher la Palme d’or durant le 60ème Festival de Cannes. Un très bon film !

  • Goal, naissance d'un prodige

    La star de l’équipe de foot des Americanos Jovenes FC, c’est Santiago Munez (Kuno Becker) ; un véritable prodige. Il va d’ailleurs taper dans l’œil de Glen Foy (Stephen Dillane), gloire du football anglais d’antan mais aussi ancien recruteur qui va le mettre en contact avec les responsables du club de Newcastle United. Santiago va donc faire ses valises pour partir en Angleterre, malgré les réticences de son père qui estime que les rêves de son fils resteront à jamais irréalisables. La concurrence sera d’autant plus rude que le cclub anglais vient de faire signer le grand talent Gavin Harris (Alessandro Nivola).

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    Voilà un film à voir avec un paquet de chips et quelques bières ce qui promet un beau programme pour les messieurs. Evidemment avec un sujet comme le foot, on ne pouvait pas aller bien loin et pourtant ce film constitue que les prémices d’une trilogie. Goal, naissance d’un prodige propose l’ascension fulgurante d’un gamin qui ne vit que pour le ballon rond ce qui nous amène à quelques phases de matchs qui se laissent voir. Un film pour les footeux qui ne seraient pas rassasiés par les multiples diffusions à la télé mais sinon trop de clichés pour ouvrir la marque dans nos esprits.

     

    Découvre le film Dans la peau du héros !

    En savoir plus sur Goal II La consécration ?

  • Howard le canard

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    Il était peinard dans son fauteuil en train de savourer le dernier numéro de Playduck et d’un coup il a été propulsé en dehors de sa planète pour atterrir sur Terre. Lui, c’est Howard et c’est un canard alors vous imaginez le choc quand il se retrouve coincé chez nous les humains. La réciproque est vraie également bien que beaucoup pense qu’il s’agit d’un simple costume et pourtant, ils seraient grandement surpris ! Coup de chance, Howard tombe sur la belle Beverly (Lea Thompson) qui va faire son possible pour aider son nouveau pote d’enfance à retrouver sa planète d’origine.

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    Bien avant l’avènement des Spider-man, X-men ou Iron man ; voici l’une des toutes premières adaptations de comics au cinéma. Et oui, à notre grand étonnement, Howard le canard est avant tout une BD de la firme Marvel et la surprise ne s’arrête pas là puisqu’on trouve un certain George Lucas à la production ! Le film n’est plus tout jeune (1986) et le voir aujourd’hui va forcément vous faire marrer ne serait-ce qu’avec ses effets spéciaux grotesques, il faut donc le prendre au moins au 2nd degré. Pourtant, le personnage a un potentiel comique et qui sait si on ne le reverra pas dans un nouveau film dans le futur.

  • Un homme et son chien

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    Charles (Jean-Paul Belmondo) sait que très bientôt il va devoir chercher un autre toit pour dormir. Hébergé par Jeanne (Julika Jenkins), cette dernière a l’intention de se remarier et lui a fait clairement comprendre qu’elle souhaiterait qu’il parte. Dos au mur, il ne peut malheureusement compter sur personne si ce n’est son plus fidèle compagnon : son chien. C’est un grand malheur lorsqu’il apprend qu’il s’est enfui et Charles va tout faire pour le retrouver mais en attendant sa situation ne s’arrange pas. C’est la rue qui l’attend et dans de telles conditions, il se demande si la vie vaut encore la peine d’être vécue.

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    Bon d’un coté, on a un Jean-Paul Belmondo qui fait son grand retour au cinéma après 10 années d’absence ; de l’autre on a un film super ennuyeux ! Malgré tout le respect qu’on a pour Bébel, on ne peut pas dire que Un homme et son chien célèbre avec honneur sa réapparition sur le grand écran. C’est un film long, plat où il ne se passe quasiment rien mais il faut reconnaitre que le titre résume parfaitement le tout. Remake d’Umberto D., cette première réalisation de Francis Huster a de grandes chances de vous accompagner dans votre sommeil.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais abandonner votre chien.

     

  • Surf Academy

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    Sa mère pensait lui faire plaisir en l’inscrivant à Laguna Beach en Californie pour sa dernière année, pourtant Jordan (Corey Sevier) s’en serait bien passé. Il est vite pris à parti par Tyler (Ryan Carnes) et sa bande ; des jeunes surfeurs prétentieux qui ne sont jamais les derniers à se moquer des autres. Jordan se fait d’autres potes d’enfance en rencontrant Larry, Mo & Doris (Lee Norris, Sisqo & Laura Bell Bundy) et ils décident alors de partir tous ensemble au Costa Rica. C’est en effet là-bas que va avoir lieur le championnat de surf universitaire auquel va participer Tyler et ils ont bien l’intention de le battre à son propre jeu !

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    Le titre français nous oblige tout de suite à nous méfier de cette comédie, certains distributeurs pensant qu’en collant le terme "Academy", cela va leur garantir une plus grande visibilité. Surf Academy fait parti de ces comédies où l’on a davantage tendance à rire du ridicule de certaines situations plutôt que du soi-disant humour du film. Le scénario est aussi grotesque qu’il est expéditif, rien de bien nouveau et surtout on ne se marre pas beaucoup devant tant de médiocrité, bref le tout prend l’eau. A se demander quel est le véritable intérêt de sortir ce film en DVD et qui va avoir la folie de jeter son argent par la fenêtre.

  • Quatre frères

    Evelyn Mercer (Fionnula Flanagan) habite à Detroit dans le Michigan ; c’est une dame à la gentillesse incommensurable qui a décidé de faire de sa maison un véritable lieu de partage et d’amour. Chargé de trouver des familles d’accueil pour de jeunes orphelins, elle a elle-même adopté 4 garçons qui n’avaient pas trouvé leur bonheur. Les années ont passé mais Evelyn a toujours un cœur d’or malheureusement, elle meurt à la suite d’un hold-up. Bobby (Mark Wahlberg) et ses frères se réunissent ainsi pour enterrer leur mère mais une rumeur circule : ce qui n’était qu’un accident était peut-être prémédité !

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    John Singleton revient 15 ans après Boyz’n the hood, la loi de la rue dans les quartiers en difficultés avec Quatre Frères, un film musclé et efficace. Loin du résultat stéréotypé auquel je m’attendais, il a su me faire passer un bon moment grâce notamment à quelques surprises diluées dans le scénario. Les personnages sont loin d’être blancs comme neige et le casting est réussi avec Mark Whalberg, Tyrese Gibson ou encore Terrence Howard. Le film est davantage destiné aux mecs car ça déborde d’actions et d’hormones !