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naissance d'un prodige

  • Goal, naissance d'un prodige

    La star de l’équipe de foot des Americanos Jovenes FC, c’est Santiago Munez (Kuno Becker) ; un véritable prodige. Il va d’ailleurs taper dans l’œil de Glen Foy (Stephen Dillane), gloire du football anglais d’antan mais aussi ancien recruteur qui va le mettre en contact avec les responsables du club de Newcastle United. Santiago va donc faire ses valises pour partir en Angleterre, malgré les réticences de son père qui estime que les rêves de son fils resteront à jamais irréalisables. La concurrence sera d’autant plus rude que le cclub anglais vient de faire signer le grand talent Gavin Harris (Alessandro Nivola).

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    Voilà un film à voir avec un paquet de chips et quelques bières ce qui promet un beau programme pour les messieurs. Evidemment avec un sujet comme le foot, on ne pouvait pas aller bien loin et pourtant ce film constitue que les prémices d’une trilogie. Goal, naissance d’un prodige propose l’ascension fulgurante d’un gamin qui ne vit que pour le ballon rond ce qui nous amène à quelques phases de matchs qui se laissent voir. Un film pour les footeux qui ne seraient pas rassasiés par les multiples diffusions à la télé mais sinon trop de clichés pour ouvrir la marque dans nos esprits.

     

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  • Goal, naissance d'un prodige

    Allo ?

     

     

    Monsieur Erik Dornhelm (Marcel Luros) ? Oh, je m’excuse de vous réveiller car je vous appelle directement des Etats-Unis. Je suis Glen Foy (Stephen Dillane), ancien recruteur du club de Newcastle.

     

    Ecoutez, je vais essayer d’être bref. J’ai repéré un jeune joueur de football dont le potentiel me parait extrêmement intéressant. Vous le savez, j’ai l’habitude de repérer des talents et celui-là m’a vite tapé dans l’œil notamment grâce à son toucher de balle.

     

     

    Il s’appelle Santiago Munez (Kuno Becker) et je peux vous garantir que si jamais vous le prenez à l’essai à Newcastle, vous ne le regretterez pas !