Cela peut paraitre inimaginable mais Mû, Aldebaran, Aiolia, Shaka & Milo ont été mis à terre en un éclair. Les responsables ce sont les Anges déchus au service de Lucifer, le Dieu des enfers qui est décidé à provoquer la destruction de notre planète avec l’aide d’Abel, Éris & Poséidon. Athéna ne tarde pas à lui faire face et si elle veut sauver la Terre, elle devra se sacrifier ce que refusent bien entendu ses chevaliers de bronze. Une nouvelle bataille est sur le point de commencer pour Seiya, Shiryu, Shun & Hyoga qui vont devoir venir à bout des Anges déchus et empêcher Lucifer de faire revenir à la vie Abel, Éris & Poséidon.

Bien qu’allié aux précédents adversaires des chevaliers, Lucifer reste évidemment le grand méchant de l’histoire ; Abel, Éris & Poséidon se contentant d’apparaitre sous la forme d’image et c’est bien dommage. Pour le reste, tout le monde connait déjà la chanson ; Athéna en danger, Shiryu qui fait tout pour montrer son tatouage de dragon et Ikki qui ne veut jamais être présent dès le début de l’aventure. Après la claque reçue par Les guerriers d’Abel, on est aussi déçu de constater que graphiquement la qualité a baissé d’un cran. On a beau être fan de l’œuvre de Masami Kurumada, devant Saint Seiya - Lucifer : Le Dieu des enfers on se dit quand même qu’on nous prend pour des idiots !

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Notre pote Hiro Hamada est un petit génie de 14 ans qui ne rêve désormais que d’une chose : rejoindre son grand frère Tadashi à l’Institut Technologique de San Fransokyo. Pour cela, il a mis au point une invention révolutionnaire qui vont lui ouvrir les portes de l’institut mais le soir même de sa démonstration, un incendie éclate. Tadashi qui essayait de sauver le Professeur Callaghan perd la vie dans une explosion. Hiro ne se remet pas de cette disparition jusqu’au moment où apparait Baymax, une création de son frère qui va lui changer la vie. Dans le même temps, le jeune garçon va découvrir que son invention n’a pas été détruite dans l’incendie comme il le pensait mais qu’on le lui a volé.

On ne dirait pas comme ça mais Les nouveaux héros est en fait à l’origine un comic book, certes confidentiel, crée par Marvel (ne manquez pas d’ailleurs la révélation sur Stan Lee à la fin du générique !). Les studios Pixar sont aux manettes de cette adaptation et ça donne un film d’animation détonnant dont le succès ne faire aucun doute. On est d’abord séduit par cette ville de San Fransokyo, symbiose des cultures américaines et japonaises offrant un véritable spectacle visuel. Les personnages sont attachants avec une mention spéciale pour Baymax qui risque bien de devenir la nouvelle coqueluche des spectateurs de tout âge ! Un joli Coup de cœur Ciné2909.

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C’est une apparition divine qui s’offre à notre pote Saori Kido, la réincarnation d’Athéna. Son frère Abel, Dieu du soleil se présente en effet à elle et les retrouvailles chaleureuses au départ prennent une autre tournure lorsqu’il lui annoncer sa volonté de décimer la race humaine. Au même moment, Seiya et ses potes Hyoga, Shiryu & Shun venus rendre visite vont avoir une drôle de surprise. Athéna accepte en effet l’invitation d’Abel à le rejoindre ce qui ne manque pas de faire réagir le chevalier de Pégase mais la garde personnelle d’Abel se dresse devant lui. Le plus étonnant est à venir puisque les chevaliers de bronze vont revoir des visages qu’ils pensaient disparus.

On ne va pas y aller par 4 chemins il s’agit sans aucun doute du meilleur film adapté du manga de Masami Kurumada. Tout de suite par rapport aux précédentes productions, on note un graphisme et une animation bien plus séduisants ; l’influence du character designer Shingo Araki est là au top. Tant qu’on est dans le générique, n’oublions pas les compositions toujours aussi merveilleuses de Seiji Yokoyama pour compléter le tableau. Coté scénario ce n’est par contre pas très divin ; Saori se retrouve encore dans la panade et ses chevaliers viennent à la rescousse même si on constate des combats plus intéressants. Saint Seiya – Les guerriers d’Abel, j’ai beau le revoir je ne m’en lasse pas !

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Alors qu’il était revenu en Sibérie, notre pote Hyoga a été averti du danger qui courait au Royaume d’Asgard. Il décide alors de s’y rendre mais depuis Saori n’a plus eu aucunes nouvelles de la part du chevalier de bronze du cygne. La réincarnation d’Athéna part à son tour à Asgard auprès du grand prêtre Dorbal qui ne semble pas en savoir plus qu’elle à ce sujet. Seiya, Shun & Shiryu se doutent que quelque chose d’étrange se trame notamment lorsqu’ils sont pris à parti par les guerriers divins protégeant ce royaume. Une nouvelle bataille est sur le point de commencer pour les chevaliers de bronze !

Il s’agit là d’un film assez particulier puisque l’aventure Asgard sera également adaptée dans la série animée à travers 26 épisodes. A la base, Asgard est évoqué brièvement dans le manga de Masami Kurumada et c’est  à partir de là que se construit Saint Seiya - La guerre des Dieux. Face à nos chevaliers de bronze, on retrouve 4 guerriers divins qui serviront d’inspirations pour créer certains de la série. A part ça ; l’histoire est on ne peut plus banale, les combats sont loin d’être excitants et l’issue est aussi prévisible que l’arrivée d’Ikki pour sauver son frère. Un film encore une fois loin de se montrer à la hauteur, on préférera s’intéresser à la version développée dans la série animée !

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Ce sont les premiers battements d’ailes pour notre pote Maya qui se montre immédiatement très curieuse. Elle découvre d’abord son essaim dans lequel les abeilles récoltent le pollen et en continuant son chemin, elle entrevoit la lumière du jour. C’est une immense prairie qui s’offre à elle et c’est là qu’elle va rencontrer Flip la sauterelle qui va la raccompagner car les dangers ne manquent pas dehors ! De retour à l’essaim, Maya va devoir aller à l’école où Willi devient rapidement son nouveau pote d’enfance mais son comportement extraverti attire l’attention de Buzzlina, la conseillère de la reine qui complote quelque chose.

Qui l'eût cru mais il faut remonter jusqu’en 1912 pour connaitre les origines de ce personnage crée par l’auteur allemand Waldemar Bonsels. Sur papier ou sur le petit écran, cette héroïne a bercé et berce encore l’enfance de milliers de spectateurs et cette arrivée au cinéma semble donc naturel. Les graphismes tout comme les personnages sont mignons à défaut d’être merveilleux, un peu d’humour et quelques chansons assurés par Jenifer et Christophe Maé parsèment l’aventure ; La grande aventure de Maya l’abeille remplit son devoir. Un esprit très bon enfant qui fait qu’il s’adresse d’abord aux plus petits quant à ceux qui sentent vibrer la fibre nostalgique, ils se laisseront peut-être aussi tenter.

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Un drame a été évité de justesse grâce à l’intervention de notre pote Hyoga. Accompagné de Seiya, Shun & Saori ; ils sont venus rendre visite à l’orphelinat où travaille Miho et c’est à cette occasion qu’ils font la connaissance de sa collègue Ellie. Cette dernière va tenir un rôle important puisque alors qu’elle observait le ciel, elle voit tomber une pomme en or. En allant à sa recherche, elle va réveiller l’esprit d’Éris, la déesse de la discorde qui va s’emparer de son corps et redonner vie à 5 chevaliers fantômes. La résurrection d’Éris n’est pas totalement achevée, elle le sera quand elle aura récupéré l’énergie d’Athéna absorbée par la pomme d’or.

Petit évènement pour les fans du manga de Masami Kurumada puisqu’on tient avec Saint Seiya - La légende de la pomme d’or le tout premier film d’animation dérivé de la série. On peut situer l’histoire juste après la grande bataille du Sanctuaire ; Seiya et ses potes d’enfance vont ainsi devoir de nouveau passer à l’action pour sauver Athéna. Hormis l’enthousiasme de retrouver nos héros, il n’y a rien de très brillant avec une intrigue loin de nous emballer, des adversaires transparents (hormis peut-être Jaegar d’Orion et son Megaton meteor crash) et une issue tellement prévisible. Un prolongement presque anecdotique de la série si bien qu’il sera avant tout à réserver aux fans purs et durs !

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Le XII^ème siècle en Chine. Une terrible nouvelle se répand dans tout le Royaume ; l’Empereur est mort au Temple rouge tué par les 108 rois-démons. Son fils Duan devient alors le nouveau souverain mais en raison de son jeune âge, les pouvoirs seront pour le moment confiés au Régent Gao. Personne n’imagine alors que ce dernier est en fait un traitre mis à part peut-être celui que l’on surnomme désormais Tête-de-léopard qui était au Temple rouge lorsque son Empereur a été tué. Il s’est battu pour le protéger mais n’a rien pu faire et se retrouve maintenant prisonnier ; l’heure de son exécution est venue. Alors que la mort lui semblait promise, un certain Tourbillon-noir lui vient en aide et ce sera le point de départ d’une grande aventure.

On ne dirait pas comme ça mais on a devant nos yeux une réalisation française que l’on doit à Pascal Morelli. Pour se distinguer de la pléthore de films d’animation auquel on a droit chaque année, il a pris un pari plutôt osé en mixant images de synthèses e motion capture donnant ainsi un réalisme saisissant quand on voit évoluer les personnages. Le souci c’est que le reste ne suit pas avec des scènes qui manquent de dynamisme, des phases d’action trop statiques et n’offrant rien en termes de spectacle, des personnages sous-exploités ou encore un doublage parfois douteux. Le projet de départ des 108 rois-démons était séduisant mais il faut reconnaitre qu’au final on est loin d’être conquis !

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Anna vient d’avoir une nouvelle crise d’asthme ce qui inquiète au plus haut point sa mère adoptive Yoriko. Pour la remettre d’aplomb, on a décidé de lui faire quitter Sapporo pendant quelques temps et Anna ira ainsi rejoindre son oncle Kiyomasa Oiwa et sa tante Setsu. L’air pur devrait lui faire le plus grand bien mais cette jeune fille de 12 ans éprouve également un profond mal-être. Au cours d’une promenade, elle va se retrouver face à une somptueuse villa qui lui donne une étrange impression ; comme si cette maison lui était familière. C’est aussi là qu’habite une jeune fille du nom de Marnie qui va rapidement devenir sa nouvelle pote d’enfance jusqu’à s’immiscer dans ses rêves.

Parce qu’une page s’est tournée depuis le départ du légendaire Hayao Miyazaki ; on attendait non sans impatience ce nouveau (et dernier ?) film des Studios Ghibli. C’est Hiromasa Yonebayashi qui s’est déjà illustré avec Arrietty le petit monde des chapardeurs qui se charge d’adapter le roman de Joan G. Robinson. Il n’y a pas de surprises coté graphismes et animation, ça reste toujours aussi beau, coloré et extrêmement fluide. L’histoire de Souvenirs de Marnie risque par contre de perturber pas mal de spectateurs ; pendant longtemps on s’interroge sur ce lien qui unit Marnie à Anna apportant une certaine confusion. Il faut attendre les derniers moments pour avoir l’éclairage qui amène soudain une profonde tristesse jusqu’à nous prendre aux tripes. Un Coup de cœur Ciné2909 pour saluer ce film magnifique mais aussi un studio qui restera gravé dans nos mémoires !

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Salut !

Est-ce que par hasard vous sauriez où se trouve l’Amazonie ? J’ai l’impression que mon GPS ne fonctionne pas très bien et peut-être même que je suis un peu perdu. Oh pardonnez-moi, je me présente, je m’appelle Blu et voici ma famille.

On était à Rio quand on a appris à la télévision que nos potes d’enfance Linda & Tulio ont fait une incroyable découverte au cœur de l’Amazonie. Il y aurait d’autres aras bleus que nous et ça c’est une sacrée nouvelle alors on a décidé de les rejoindre.

Je ne sais pas trop ce qui nous attend mais ce qui est sur c’est que ce voyage va être une véritable aventure pour tout le monde et surtout pour moi ! Par contre, j’ai une drôle d’impression comme si nous étions suivis … ba je dois me faire des idées.

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Parce qu’il a désespérément besoin d’argent, notre pote Eddie Valiant (Bob Hoskins) a accepté le travail proposé par R.K. Maroon (Alan Tilvern). Ce dernier dirige les studios Maroon Cartoons et depuis quelques temps sa star, le lapin Roger Rabbit, est préoccupée par les rumeurs qui prétendent que sa femme Jessica le trompe. Eddie est donc engagé pour mettre au clair cette histoire et ramener des preuves de cet adultère mais il rechigne un peu à la tache. Il faut dire qu’il ne peut plus supporter d’être entouré par ces personnages de dessins animés depuis la mort tragique de son frère. Toujours est-il qu’il na pas le choix et il va vite comprendre que les choses sont bien plus compliquées qu’il ne l’aurait pensé.

Vous qui avez pendant votre enfance (et peut-être encore maintenant ?) dormi avec votre peluche Mickey et/ou Minnie, qui passiez des heures devant les aventures de Titi & Gros minet ; n’avez-vous jamais rêvé d’entrer dans leurs univers ? C’est chose faite avec Qui veut la peau de Roger Rabbit ? qui mélange animation et personnages réels, un mariage détonnant qui fait que ce film est vraiment à part. Comment ne pas être nostalgique quand Bob Hoskins côtoie à la fois Donald, Betty Boop, Droopy ou encore Bugs Bunny, comment résister à la généreuse Jessica Rabbit ? Coté effets spéciaux, c’est de la vieille école mais le résultat reste encore de bonne facture et c’est donc un véritable plaisir que de voir et revoir les aventures de ce lapin déjanté. Et si un jour on le voyait revenir ?