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  • Bad boys

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    Difficile à croire mais plus de 100 millions de dollars de drogue s’est volatilisé en une nuit ! Chose d’autant plus incroyable que cela s’est fait sous les yeux des flics de Los Angeles car la marchandise était entreposée dans leurs locaux. Il n’en faut pas plus pour mettre sur les nerfs notre duo les inspecteurs Marcus Burnett & Mike Lowrey (Martin Lawrence & Will Smith) qui s’étaient démenés comme des fous pour mettre la main sur toute cette drogue. Il faut désormais qu’ils s’activent s’ils veulent récupérer la dope avant que celle-ci ne soit remise sur le marché et ils vont devoir faire marcher leurs contacts.

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    "Bad boys, bad boys Wat’cha gonna do what'cha gonna do when they come for you " ! Michael Bay a eu le nez fin en réunissant Martin Lawrence &  Will Smith qui étaient encore à leurs débuts dans le monde du cinéma pour obtenir un des films d’action de la fin des années 1990. Surtout connus pour leurs frasques comiques, les 2 acteurs prouvent qu’ils ont également de l’énergie à revendre lors de scènes plus explosives. Alliant l’humour à l’action, Bad Boys fut un blockbuster et même s’il a pris quelques rides aujourd’hui ; ça reste un excellent divertissement.

     

    En savoir plus sur Bad boys 2 ?

  • Ong Bak II - La naissance du dragon

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    Thaïlande au XVème siècle. Tien (Tony Jaa), un enfant réduit à l’esclavage était promis à une mort atroce, jeté en pâture aux crocodiles mais fort heureusement il fut sauvé par Chernung (Sorapong Chatree). Orphelin, il s’est trouvé une nouvelle famille pour grandir et surtout pour devenir plus fort. Il n’y a pas un jour où Tien ne s’entraine pas, perfectionnant ses techniques de combat et devenant ainsi un guerrier redoutable. Alors que sa force est enfin reconnue de tous, il cherche désormais à se venger car durant son enfance, sa famille a été décimée et le seul responsable est le Seigneur Rat-Cha-Sei-Na (Saranyu Wongkrajang).

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    Tony Jaa s’était fait connaitre avec le personnage d’Ong Bak, on trouvait alors à cet acteur thaïlandais une habilité au combat digne d’un Bruce Lee. Gros succès en Thaïlande, Ong Bak II - La naissance du dragon s’annonçait donc énorme mais comme c’est souvent le cas l’attente ne valait pas forcément le coup. On peut déjà reconnaitre le mérite de ce film de ne pas avoir joué la carte de la facilité en proposant une suite banale (bonjour aux américains) mais un prequel. Tony Jaa (qui est aussi réalisateur) s’est lancé dans un projet très ambitieux en voulant dépasser le simple film d’action. Le scénario est malheureusement trop succinct mais on se console avec les phases de combat qui sont d’une précision implacable et d’un niveau rarement atteint. A voir seulement pour les fans de kung-fu.

     

    Il faut le voir pour : Prendre un cours accéléré d’arts martiaux et apprendre à sa battre avec un éléphant.

  • Une semaine sur deux (et la moitié des vacances scolaires)

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    Après 16 ans de mariage, Marjorie & François (Mathilde Seignier & Bernard Campan) ont décidé de divorcer. Pour leurs enfants Léa & Maxime (Bertille Chabert & Jean-Baptiste Fonck) ; la vie de famille est chamboulée avec une garde alternée chaque semaine. A 12 ans, Léa vit très mal cette situation allant jusqu’à rendre sa mère responsable de cette séparation et les relations mère/fille en prennent forcément un sacré coup. C’est le temps aussi pour elle de découvrir les premiers amours et notamment le beau Hugo (Keyne Cuypers) ne la laisse pas insensible.

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    Le divorce mieux vaut en rire qu’en pleurer ! Une semaine sur deux (et la moitié des vacances scolaires) se focalise ici sur une famille unique qui voit son quotidien perturbé à la suite de cette séparation. Si on se laisse volontiers emporté par l’enthousiasme de la jeune et prometteuse Bertille Chabert, le reste a beaucoup plus de mal à nous dérider. Bousculé entre les histoires des parents qui cherchent à vivre une nouvelle relation et la romance de Léa, cette comédie part un peu dans toutes les directions oubliant en chemin de nous faire rire. Pas du tout convaincant.

     

    Il faut le voir pour : Fabriquer une pancarte pour offrir des câlins dans la rue.

  • J’ai tué ma mère

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    A 16 ans, la vie est belle ; on traine avec les potes d’enfance, on s’amuse, on profite de tout sans se soucier de rien mais ce n’est pas le cas de Hubert Minel (Xavier Dolan). Chaque jour est un supplice lorsqu’il la voit, il ne peut plus supporter cette femme qui lui a donné naissance ; sa mère Chantal (Anne Dorval) est devenue la personne qu’il hait le plus en ce monde. Son père, il ne le voit que très rarement celui-ci n’assumant pas son rôle de chef de famille. En attendant ses 18 ans et de pouvoir jouir de l’héritage que lui a légué sa grand-mère, il doit donc continuer de vivre sous le même toit qu’elle et les journées sont rythmées par les disputes.

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    Marginal et étouffé par la simple existence d’une mère qui n’en a que le nom, Hubert est au cœur d’un véritable psychodrame faisant de sa vie un enfer. Détruire le mythe de l’amour maternel est un pari risqué que n’a pas hésité à prendre le jeune réalisateur Xavier Dolan qui interprète aussi le premier rôle. On a parfois la désagréable impression que certaines scènes sont surjouées ceci dans l’unique but de faire grandir cette tension entre mère et fils. D’ailleurs, seules les scènes réunissant ce duo sont réellement intéressantes, le reste est de l’ordre de l’anecdotique. Le titre sonne fort et ne manquera pas de vous interpeller mais la curiosité s’arrête là car J’ai tué ma mère a bien du mal à nous accrocher.

     

    Il faut le voir pour : Penser à faire plus de sondages dans la vie !