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  • Shortbus

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    Notre pote Sofia (Sook-Yin Lee) vit un véritable calvaire. Elle qui est sexologue ou plutôt conseillère conjugale, peine à vivre pleinement sa relation avec son époux Rob (Raphaël Barker). Inutile de tourner autour du pot, elle n’arrive pas à atteindre l’orgasme. Sur l’invitation de deux de ses patients Jamie et James (PJ DeBoy & Paul Dawson), elle va alors découvrir le Shortbus, boite de nuit atypique. Lieu où les plaisirs charnelles ne connaissent aucunes limites, Sofia trouvera t-elle ce qu’elle recherche ?

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    Dès les premières minutes, vous entrerez dans le bain (et c’est peu de le dire !). A partir de là, 2 réactions possibles : soit vous quittez la salle soit vous laissez une chance à cette curiosité qui frôle souvent la pornographie. L’intérêt de Shortbus est de montrer le sexe sans tabou tout en resituant le tout dans un contexte post-11 Septembre mais vous aurez peut-être du mal à avaler ce message. Œuvre pornographique ou film choc, à vous de vous faire un avis mais il faudra avoir plus de 16 ans !

  • La peur au ventre

     

     

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    Le job de notre pote Joey Gazelle (Paul Walker) est plutôt simple, il doit faire le ménage et notamment faire disparaître des flingues qui ont servi à régler quelques comptes. Oui mais quand le petit voisin Oleg Yugorsky (Cameron Bright) repère sa cachette et vole une arme pour tirer sur son beau-père, ça crée tout un tas de problèmes. S’il veut sauver sa peau, Joey va devoir remettre la main sur cette arme ce qui ne sera pas une mince à faire puisque le jeune garçon a disparu !

     

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    Encore un film que j’aurais bien aimé découvrir au cinéma car j’avais entendu dire que l’ambiance était particulièrement sombre et sanglante. Les premières minutes donnent raison à cela même si par la suite la violence s’amenuise en même temps que l’intérêt du film. A noter tout de même une réalisation dynamique grâce à l’utilisation de la Steadicam et un Paul Walker plus à l’aise que jamais dans les films d’action. Le scénario basique nuit énormément ce qui fait qu’on est loin d’avoir La peur au ventre !

     

  • Ne le dis à personne

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    Rien n’y fait, cela fait aujourd’hui 8 ans qu’Alexandre Beck (François Cluzet) a vécu un véritable drame qui continue à le hanter. Sa femme et pote d’enfance Margot (Marie-Josée Croze) fut la victime d’un serial killer, du moins c’est ce que tout le monde croit car la vérité est tout autre. Alexandre va l’apprendre suite à un mail mystérieux. Et si Margot était encore vivante ? Qui fut donc incinérée à sa place ? Autant d’interrogations auxquelles il va devoir trouver des réponses.

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    C’est un film que je tenais à voir car la bande-annonce était prometteuse et à la réalisation on retrouve un certain Guillaume Canet qu’on a plutôt l’habitude de voir devant les caméras. Ne le dis à personne, c’est un thriller passionnant et rythmé bien que je l’ai trouvé un peu long avec une farandole de prestigieux comédiens. Mention spéciale à François Cluzet dont la prestation est remarquable dans la peau de cet homme complètement désorienté et ça vous pouvez le dire à tout le monde.

  • Camping

    Allo ? Oui, c’est Patrick (Franck Dubosc).

     

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    medium_01.311.jpgOui Patrick des Flots Bleus. Dis moi je t’appelle pour te demander un petit service. Voilà, j’ai avec moi des amis qui sont tombés en panne et qui doivent passer la nuit dans la région.

     

    J’ai besoin d’une chambre double avec petit déj’ inclus évidemment ! Au fait ne t’inquiètes pas pour la note, mon ami Michel (Gérard Lanvin) est chirurgien esthétique alors t’imagines, en plus il a la caisse à James Bond !

     

    medium_02.80.jpgMerci beaucoup ! Ah c’est complet, c’est pas grave ils dormiront avec moi sous la tente en plus il me reste plein de Benco. Allez je te laisse je vais me préparer pour sortir au Shogun !

     

    En Résumé : Un film qui s’inspire librement du sketch de l’humoriste Franck Dubosc (36 ans de camping, véridique !) et qui dépeint à merveille l’univers chaleureux du camping. Sans trop tomber dans les travers de la parodie, Camping est une très bonne comédie avec des répliques hilarantes servies par de nombreux comédiens de talents. A voir si vous avez besoin de prendre des vacances !

  • Nouvelle cuisine

    Ah bonjour Madame Lee (Miriam Yeung), je vous attendais.

     

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    medium_01.323.jpgEntrez donc, je viens de mettre l’eau à bouillir et mes raviolis seront bientôt prêts. Je vous ai tout de suite reconnu car quand je suis arrivé à Hong Kong, on ne voyait que vous à la télévision.

     

    Je suis ravie de voir que la réputation de mes raviolis soit parvenue jusqu’à vos oreilles, quel age me donnez-vous ? Une trentaine d’année ? Oh non je suis bien plus vieille et on m’appelle Tante May (Bai Ling) aujourd’hui.

     

    medium_02.95.jpgSans vouloir me vanter, vous avez devant vous la meilleure publicité de mes raviolis ? Je vous le garantis, vous aurez vous aussi la jeunesse éternelle grâce à eux et à cet ingrédient miracle !

     

    En Résumé : L’histoire était plutôt intéressante d’autant que je raffole des raviolis à la vapeur ! A voir l’héroïne déguster ce met délicieux, ça vous donne l’eau à la bouche ce qui est fortement contradictoire avec le sentiment de dégoût que peut inspirer certaines scènes. Pour ne pas vous gâcher le plaisir de voir Nouvelle cuisine, je ne vous dévoilerais pas cet ingrédient mystère. En parallèle de l’histoire, des thèmes comme les quotas de naissance ou la recherche perpétuelle de la jeunesse sont développés mais le film est assez ennuyant dans l’ensemble.

  • Le dahlia noir

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    Dans la ville de Los Angeles des années 1940, nos potes Bucky Bleichert (Josh Hartnett) & Lee Blanchard (Aaron Eckhart) ont bien du boulot ! Tous deux sont inspecteurs de police et traquent les criminels mais une sombre affaire va venir bouleverser leur existence : celle du dahlia noir. On retrouve en effet une jeune actrice Elizabeth Short (Mia Kirshner) morte dans d’affreuses circonstances et c’est là que débute une longue et difficile enquête.

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    Bon, on va jouer franc jeu ; je me suis assoupi (dû essentiellement à la fatigue) pendant je ne sais combien de temps si bien que je suis passé totalement à coté de l’intrigue. Je me suis tout de même réveillé pour le reste du film et je dois dire qu’il n’y avait là rien de bien excitant dans cette réalisation de Brian de Palma. Le dahlia noir vous propose un thriller soigné mais tellement ennuyant que finalement je me demande si je n’aurais pas mieux fait de continuer mon petit somme !

  • Aeon Flux

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    Le monde tel que l’on a connu a bien changé, nous sommes dans un lointain futur au XXVème siècle. Un virus s’est propagé à une vitesse phénoménale et a dévasté la vie sur Terre à tel point que seule la ville de Bregna compte encore des habitants sous la coupole de scientifiques et notamment de Trevor Goodchild (Marton Csokas). Très rapidement, un groupe de rebelle s’est formé ; les Monican avec un de leurs meilleurs éléments Aeon Flux (Charlize Theron) et ils sont bien décidés à arrêter l’hégémonie de Goodchild.

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    Adaptation d’un dessin animé américain qui fit autrefois les belles heures de la chaîne musicale MTV, Aeon Flux est un film sans identité qui tombera vite dans l’oubli. Loin d’être original, il n’est d’ailleurs pas sans rappeler un autre film sorti il y a quelques mois au cinéma : Ultraviolet. Une belle héroïne, des effets visuels qui se veulent esthétiques et une action qui tente de compenser le vide scénaristique, à vous de voir si vous avez 1h30 à perdre.

  • Toi et moi ... et Duprée

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    Carl Peterson (Matt Dillon) est un homme comblé ! Il vient d’épouser la charmante Molly (Kate Hudson) et tous deux s’installent dans la maison de leur rêve. L’avenir s’annonce donc radieux pour ce nouveau couple du moins jusqu’à ce que Dupree (Owen Wilson) point le bout de son nez. Dupree, c’est le pote d’enfance de Carl et quand celui-ci apprend qu’il a été viré de son boulot et qu’il est obligé de dormir dans un bar ; il l’invite tout naturellement chez lui. Il ne se doute pas de la galère qui l’attend !

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    Une comédie américaine des plus classiques comme on a pu en voir des milliers de fois et c’est bien pour ça que l’on finit par se laisser gagner par l’ennui. L’idée de départ est plutôt bonne et laisse présager quelques moments de fou rire mais on est bien loin de ce résultat avec Toi et moi …et Dupree. Après une première partie à peine divertissante, on est ensuite subjugué par le vide et la lourdeur du film et ce n’est pas les gesticulations d’Owen Wilson qui le sauvera du naufrage.

     

    Découvre le film Dans la peau du héros !

  • Super Nacho

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    Déjà tout petit, il ne rêvait qu’à ça : devenir un grand et célèbre luchador ! Oui Nacho (Jack Black) veut montrer à tout le monde qu’il est capable de se défendre sur un ring et on est bien loin de son travail de cuisinier au monastère. Pour l’aider, il va faire appel à Esqueleto (Hector Jimenez) pour former une équipe et tenter de se faire un nom dans l’univers de la lutte. A eux la gloire et la reconnaissance… enfin quand ils arriveront à gagner un match !

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    Aussi invraisemblable que cela puisse vous paraître, le scénario de ce film se base sur une histoire vraie mais on ne peut pas dire que Super Nacho nous laissera un souvenir impérissable. Moi qui apprécie pourtant toutes les subtilités du catch, je n’ai guère retrouver le fun que j’ai l’habitude de voir avec ce film tout juste regardable. Quel dommage, il y avait là un bon potentiel comique avec cette histoire mais la réalisation traîne et l’humour a manqué son rendez-vous.

  • Pompoko

     

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    Aux abords de la ville japonaise de Tama, on s’apprête à vivre une petite révolution puisqu’un grand chantier est sur le point d’être construit. Les forets sont dévastés pour le plus grand dam des Tanukis, des animaux légendaires et qui ont une grande particularité : celle de se transformer en ce qu’ils souhaitent. Pour contrecarrer les projets des humains, ils doivent donc faire preuve de malice mais la guerre ne fait que commencer et il sera bien difficile pour eux de mettre fin à cette urbanisation.

     

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    Quand on regarde ce dessin animé japonais on a déjà bien du mal à croire qu’il est âgé de près de 12 ans tellement les graphismes et l’animation sont restés de grande qualité. A cela s’ajoute un scénario basé à la fois sur des légendes et qui vient s’intéresser au thème de l’urbanisation et ses répercussions sur la nature. A partir de là, Pompoko trouvera certainement un plus grand public parmi les jeunes adultes qu’avec les enfants car le film est assez long. Un film de qualité pour les férus d’animation japonaise et plus précisément tout ce qui sort des studios Ghibli.

     

    Vivez le film Dans la peau du personnage !!