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Jared Leto

  • Dallas Buyers Club

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    Le rodéo et les femmes ce sont les 2 péchés mignons de notre pote Ron Woodroof (Matthew McConaughey) mais sa vie va soudainement prendre un autre sens. Après avoir été hospitalisé, on découvre en effet qu’il est atteint du VIH et qu’il ne lui reste tout au plus que 30 jours à vivre. Au même moment, un laboratoire pharmaceutique met sur le marché un produit appelé AZT destiné à aider les malades atteints du sida. Par des manières détournées, Ron réussit à s’en procurer pendant un premier temps mais va devoir par la suite se rendre au Mexique. C’est là qu’il découvre que l’AZT n’est peut-être pas le produit idoine à prescrire puisqu’il provoque notamment de nombreux effets secondaires. On assiste ainsi au début du Dallas Buyers Club.

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    Peu de chances que le nom de Ron Woodroof vous dise quelque chose et ce biopic signé Jean-Marc Vallée vient combler cette lacune. A son échelle, cet homme aura en effet permis une avancée considérable dans la lutte contre le virus du Sida aux Etats-Unis. Devant Dallas Buyers Club, on est d’abord impressionné par la transformation physique de Matthew McConaughey (tel un Christian Bale dans The machinist) alliée à la performance de Jared Leto. Il y a aussi un formidable message de tolérance dans l’évolution de ce personnage qui s’impose au départ comme un rustre homophobe. Voilà donc tout simplement un magnifique biopic prenant par son histoire et par les prestations des 2 principaux comédiens.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de prendre aveuglément vos médicaments !

  • Yuri Orlov - Lord of war

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    Yuri Orlov : Dans le monde 1 personne sur 12 possède une arme, c'est un problème ; la question est ... comment en vendre aux 11 autres ?

     

     

     

    En savoir plus sur Lord of war ?

  • Mr. Nobody

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    Nemo Nobody (Jared Leto) est un être unique car à l'âge de 117 ans, il est le dernier mortel vivant sur Terre. En effet, on a enfin trouvé la voie de l'immortalité et voir Mr. Nobody s'approcher de son dernier souffle est considéré comme un véritable phénomène. Un journaliste est parvenu pour l'occasion à se glisser dans l'hôpital pour l'interviewer et ce qu'il entend semble relever de l'absurde. Nemo Nobody aurait eu plusieurs vies avec 3 différentes femmes, des destins qui se sont construit consécutivement à certains choix. Elles s'appellent Anna, Jeanne & Elise (Diane Kruger, Linh-Dan Pham & Sarah Polley) et ont toutes aimé Nemo.

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    Avec des si on pourrait refaire le monde et chacun de nous a déjà fantasmer sur l'idée de revenir sur ses choix passés. Pour Mr. Nobody les choix n'ont pas lieu d'être, il n'y a pas de destin ; pourquoi ne pourrions-nous pas saisir toutes les opportunités qui s'offrent à nous ? Si dans sa construction globale, le film demande un petit temps d'adaptation, les histoires de Nemo manquent elles d'une pointe d'originalité ramenant alors le film de Jaco Van Dormael à une certaine normalité. Mélange intéressant entre Forrest Gump & L'étrange histoire de Benjamin Button, il manque un ingrédient pour en faire un véritable grand film.

     

    Il faut le voir pour : Vous débrouiller pour vivre au moins jusqu'en 2092

  • Coeurs perdus

     

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    A la fin des années 1940, aux Etats-Unis, un couple d’escrocs et de meurtriers sévit laissant derrière eux nombre de cadavres. Lui, c’est Ray Fernandez (Jared Leto), Don Juan qui possède l’art et la manière de manipuler ses conquêtes essentiellement pour les extorquer leurs économies. D’ailleurs, au départ Martha Beck (Salma Hayek) comptait parmi ses innombrables victimes mais elle a vite deviné son petit jeu et est devenue sa compagne d’infortune. L’inspecteur Elmer C. Robinson (John Travolta) est bien décidé à mettre la main sur ces criminels, lui qui est encore hanté par la mort de sa femme retrouvée morte suicidée mais ne s’agit-il pas d’une vendetta personnelle ?

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    L’affiche est plutôt alléchante entre John Travolta, Salma Hayek, Jared Leto et James Gandolfini ex-gangster de la série culte Soprano mais est-ce bien suffisant pour nous assurer un bon film ? D’une réalisation assez morne, on suit sans grande passion la cavale meurtrière de nos sinistres héros tandis que du coté de Travolta, on sombre dans une dépression post-mortem des plus ennuyeuses. Cœurs perdus ne va pas marquer l’histoire du cinéma et n’a pas grand-chose pour attirer les spectateurs si ce n’est ce soupçon d’authenticité puisqu’on s’inspire de faits réels. D’ailleurs, le réalisateur Todd Robinson n’est autre que le petit-fils de l’inspecteur Robinson, une superbe anecdote pour impressionner la galerie !

     

    Il faut le voir pour : Trouver le moyen imparable d’échapper aux contraventions !