Allo, Jerry (Denis O’hare)?

C’est moi Charles (Clive Owen), j’ai besoin de ton aide car je suis impliqué dans une affaire très grave. Voilà, j’ai fait la connaissance d’une certaine Lucinda Harris (Jennifer Aniston) dans le train et, je t’épargne les détails, on en est venu à vouloir aller plus loin.

On a atterri dans un hôtel mais on s’est fait agressé dans la chambre par un homme armé qui m’a agressé physiquement mais qui a surtout violé Lucinda. Elle refuse qu’on porte plainte à la police car elle aussi est mariée et ne veut pas que son mari apprenne ce qui s’est passé.

Mais ça s’arrête pas là puisque l’agresseur, Laroche (Vincent Cassel) me fait du chantage et me réclame 20 000 dollars. Jerry, tu es mon avocat, qu’est ce que je dois faire ?

En Résumé : Dérapage est le genre de film qu’on a l’impression d’avoir déjà vu une petite dizaine de fois et sa réalisation trop banale n’arrange pas les choses. Le casting est plutôt réussi avec un Vincent Cassel très en forme mais le film manque de surprises et le dénouement parait presque téléphoné. Le seul point intéressant reste que le héros est loin d’être un personnage motivé de bonnes intentions, un aspect pas très développé hélas.

Rien ne va plus dans la famille De Neuville ; la demeure familiale tombe en ruine, la richesse qui faisait autrefois leur bonheur n’est plus qu’un vaste souvenir et surtout ils sont menacés d’expulsion ! Non vraiment, l’aristocratie n’est plus ce qu’elle était mais il leur reste un infime espoir de s’en sortir et cet espoir s’appelle Charles-Antoine (Rudi Rosenberg). Un mariage bien réfléchi arrangerait bien des choses mais notre pote est-il prêt à sacrifier son bonheur pour celui de sa famille ?

Vous ne serez certainement pas étonné quand je vous dirais qu’on a là un film exceptionnel de médiocrité et je reste gentil ! Charlotte de Turckheim passe pour la 2^ème fois derrière la caméra en faisant appel à son carnet d’adresses ce qui nous vaut de nombreux guests comme Hélène De Fougerolles, Victoria Abril, Catherine Jacob ou encore Cauet ( !?!). Il est toutefois dommage qu’elle ne connaisse pas un scénariste digne de ce nom ce qui aurait aux Aristos de se classer parmi les navets de l’année.

Ah si j’étais Président de la république…Une place qu’on a tous envié à un moment de notre vie s’imaginant pouvoir régler tous les problèmes d’un pays en un claquement de doigts. Hélas, dans la réalité, les choses sont loin d’être aussi idylliques et notre pote le Président de France (Albert Dupontel) le sait parfaitement puisqu’il est justement l’élu du peuple. Une fonction qui implique de grandes responsabilités sans oublier une vie privée qui n’est pas de tout repos !

On a tellement pris l’habitude de s’esclaffer en présence de Dupontel qu’on ressort de Président assez déconcerté. Loin d’être une comédie, ce film s’intéresse aux coulisses du pouvoir qui nous gouverne. Malversations, corruption, complots ; tout est là pour éveiller la paranoïa du spectateur ce qui ne va certainement pas nous réconcilier avec la politique. On essaye vainement de s’accrocher au film et à son intrigue à peine plus excitant qu’un épisode de Derrick mais finalement on s’endort comme si on était devant un débat politique !

Antoine Derouère (Jalil Lespert) est un homme heureux ! Il va enfin réaliser son rêve et intégrer les forces de police de surcroît, il a choisi une affectation qui l’attire particulièrement : la Police Judiciaire de Paris ! Dans la capitale, il aura l’opportunité de voir défiler les affaires contrairement au Havre d’où il est originaire et où il a laissé sa petite amie. Son arrivée coïncide avec le retour du commandant Vaudieu (nathalie Baye) qui a du affronter ses démons intérieurs pour reprendre du service. La vie de la Police Judiciaire n’est pas de tout repos !

Comme notre pote Nathalie Baye a obtenue le César de la meilleure actrice pour sa participation à ce film, je me suis dit que ça valait le coup de jeter un œil. En plus de cela, un bon petit thriller policier n’est jamais désagréable et Le petit Lieutenant vous fera certainement passer un bon moment. Dommage cependant que l’intrigue ne soit pas plus excitante mais c’est peut-être aussi ça la véritable vie de la P.J. de Paris.

Hayley (Ellen Page) est une fille qui sait ce qu’elle veut et notre pote Jeff (Patrick Wilson) va en faire les frais. Ils se sont connus en discutant sur Internet depuis maintenant à peu près 3 semaines et le jour J est arrivé, celui de la rencontre entre les 2 chatteurs. Jeff qui est photographe a en effet proposé à la jeune adolescente de 14 ans de prendre quelques photos et le courant passant parfaitement, il l’invite dans son appartement. Le piège se referme peu à peu mais la proie n’est pas forcément celle que l’on croit !

La bande annonce était intéressante de par le sujet même si elle ne montrait pas grand-chose et pour cause il n’y a pas grand-chose ! Mise à part l’histoire qui rejoint malheureusement certains faits divers scabreux, Hard Candy joue énormément sur la psychologie des personnages. Cela aurait d’ailleurs pu être une bonne chose si la jeune Ellen Page était plus convaincante dans son rôle ou du moins plus surprenante. Reste quand même une séquence de chirurgie tout en suggestion bien menée mais qui ne rattrape pas la mollesse du film.

B..bonjour !

Oh docteur par où commencer ! Je m’appelle Lisa Metzger (Meryl Streep) et je suis moi-même psychologue mais je viens d’apprendre une nouvelle stupéfiante de la bouche d’une de mes patientes.

Rafi (Uma Thurman) est une jeune femme de 37 ans qui vient juste de se séparer de son mari et je fais tout mon possible pour l’aider à passer ce cap. Je lui ai même dit de profiter de sa situation, un conseil qu’elle a pris au pied de la lettre puisqu’elle entame une relation avec un jeune homme de 23 ans !

Oui, c’est vrai, je lui ai prescrit de croquer la vie à pleine dent et de continuer cette relation jusqu’à ce que j’apprenne qu’il s’agit tout simplement de …mon fils !

En Résumé : Un film divertissant qui séduira avant tout les jeunes femmes. A retenir l’excellente prestation de Meryl Streep au sommet de son art et qui galvanise le film. On pourra néanmoins regretter un certain manque de rythme sur la longueur mais dans l’ensemble on ressort très ravi de la salle. Comme quoi, il ne fait pas toujours bon de tout confier à sa psy !

Salut les potes cinéphiles !!

Vous avez du remarquer ces derniers temps que le blog avait quelque peu ralenti au niveau des notes notamment pour la rubrique Premières Impressions et pour cause, je n’ai pas eu vraiment le temps de me rendre au cinéma ! Occupé par le travail mais aussi par le lancement d’un tout nouveau blog dont je vous parle plus bas ; je vais tenter de rattraper ce retard mais en attendant, je vais certainement enrichir encore davantage La séance de rattrapage.

Faisons donc un peu de publicité pour le tout nouveau blog que je viens de lancer : Manga2909. Inutile de vous en dire davantage, il est consacré aux œuvres japonaises et les férus de culture nipponne devraient s’y sentir à l’aise. Je vous invite à faire un tour et j’ose espérer qu’il connaîtra le même succès que Ciné2909 !

A très bientôt !!

Une petite cigarette avant de monter sur scène et prendre le micro, voilà un rituel qu’a pris notre pote Alain Moreau (Gérard Depardieu). Celui-ci chante en compagnie de son orchestre dans différentes manifestations et c’est au cours d’un bal musette qu’il croise la si belle Marion (Cécile de France). Très vite, ils tombent mutuellement sous le charme de l’autre mais ce n’est que le début de leur relation car chacun d’eux a eu une histoire difficile.

Personnellement, je trouve que le couple Depardieu/De France assez difficile à concevoir mais finalement après avoir vu Quand j’étais chanteur je me suis fait à cette idée. Une belle histoire portée par 2 interprètes formidables même si l’histoire peut manquer de rebondissements d’autant plus qu’il faut aimer la variété française. Etant donné que le personnage principal chante dans des bals musettes, vous allez avoir droit au meilleur de Michel Delpech ce qui vous changera certainement de la Star Ac’ !

Dans la vie, les personnes sur lesquelles on peut réellement s’appuyer se compte sur les doigts d’une main. C’est le cas pour le richissime François Veber (Gérard Depardieu) qui n’a véritablement qu’en un homme, son pote Ramon Holgado (Gad Elmaleh). Chauffeur mais aussi ami intime de la famille, Ramon connaît mieux que personne son patron et sait gérer les situations les plus délicates mais quand un certain Arnault Delahaye (Xavier Couture) apparaît, le comportement de François s’en ressent.

Il faut creuser très profondément dans le film pour voir que c’est une comédie ! Pourtant, l’affiche est prometteuse : Gad Elmaleh, Gérard Depardieu, Sabine Azema et la toujours très belle Valeria Golino mais tous ces comédiens semblent un peu perdus dans ce long métrage qui manque de peps et de surprise. On évite toutefois de retrouver le schéma habituel du duo comique puisque ici les 2 personnages vivent pratiquement l’un pour l’autre ce qui engendre quelques tensions au sein du couple de Ramon.

Vivez le film Dans la peau du personnage !! 

Inspecteur Dreyfus (Kevin Kline) !

Gendarme François Clouseau (Steve Martin) à vos ordres ! Comment ? L’affaire de la panthère rose ? bien sûr j'en ai entendu parler de ce diamant qui appartenait à Gluant (Jason Statham), l'entraîneur de l'équipe nationale de football.

Non seulement, Gluant est mort assassiné devant des millions de spectateurs mais la bague avec le diamant a été subtilisée ; un camouflet pour la France entière. Vous voulez me promouvoir le lieutenant et que je m'occupe de l'affaire ?

Merci beaucoup, je vous promets que vous ne le regretterez pas ! Attendez... Chut ... Oh quel  temps magnifique nous avons là ...

En Résumé : Après une bonne journée de boulot, c'était le film idéal pour se détendre. Déjà la bande annonce avait su me faire rire et je n'ai pas été déçu par La panthère rose. C'est parfois idiot mais il semble bien que je suis toujours aussi friand de ce type d'humour et j'en redemande encore. Je vous conseille également de jeter un oeil à la version originale avec ce magnifique accent dont nous fait profiter Steve Martin. Bonne humeur garantie !