Qui l’aurait cru, Jim (Jason Biggs) a décidé de sauter le pas et de demander Michelle (Alyson Hannigan) en mariage ! Une grande fête en perspective donc mais encore faut-il se débrouiller pour que Stifler (Seann William Scott) ne vienne pas tout faire foirer et c’est pas de chance car lui a bien l’intention de s’inviter. D’autant plus qu’il n’est pas insensible au charme de la belle Cadence (January Jones), la sœur de Michelle qu’il se dispute avec Finch (Eddie Kaye Thomas). En attendant, Jim se démène pour offrir le plus beau mariage à Michelle, celui dont elle a toujours rêvé et ce n’est pas encore gagné !

On remet le couvert pour le dernier volet au cinéma mais rassurez-vous, la relève sera assurée en DVD. Pour en revenir sur American Pie : Marions-les, on sent bien que la saga arrive à bout de souffle avec des gags plus que jamais placés au-dessous de la ceinture. Seuls les personnages de Stifler & Jim parviennent encore en de rares occasions à nous faire doucement rire, sinon les survivants des épisodes précédents font plutôt office d’éléments du décor. A voir peut-être pour clore la trilogie mais cet épisode ne s’impose certainement pas tout comme le reste des films profitant de la franchise American Pie.

En savoir plus sur American Pie ?

En savoir plus sur American Pie 2 ?

En savoir plus sur American Campus en folie ?

En savoir plus sur American Pie présente String Academy ?

Le boulot de Jennifer Marsh (Diane Lane) est de surfer sur Internet ; non pas pour lire les formidables articles publiés sur Ciné2909 mais pour traquer les cyber-criminels. Spams, Phishing ou encore troyens ; rien n’a plus de secrets pour elle mais un site attire toute son attention : www.killwithme.com. Au départ, on y voyait un chat attaché qui finissait par dépérir au fur et à mesure que les jours passaient. Cet acte de cruauté n’est rien comparé à ce qui les attend, cette fois c’est un homme qui est au centre de ce spectacle mortuaire. La règle est simple, plus les internautes se branchent plus vite la victime meurt. Maintenant, c’est à vous de choisir, voulez-vous entrer sur le site ?

On savait qu’Internet offrait de grandes libertés amenant parfois à des choses assez incroyables ; à partir de là se construit Intraçable. Un thriller finalement pas très palpitant qui s’inspire beaucoup de la saga Saw dans son esprit Je piège des victimes pour les faire morfler si ce n’est que dans le cas présent on le met à la sauce nouvelles technologies avec un soupçon de Big Brother. Que ce soit dans l’intrigue ou la réalisation ; on ne peut pas dire que le film soit réellement excitant sans compter la pseudo-morale sur la perversité de l’être humain. Ce qui serait vraiment pervers, ce serait de prendre du plaisir devant un tel ramassis de médiocrité !

Ce sont les grandes vacances et l’heure est au bilan pour nos potes Jim, Oz, Kevin & Finch (Jason Biggs, Chris Klein, Thomas Ian Nicholas, Eddie Kaye Thomas) après cette première année de fac. Des histoires ont commencé, d’autres se sont terminées mais aujourd’hui place à la détente avec cette nouvelle grosse fiesta chez Stifler (Seann William Scott) ! Malheureusement, les flics ne tardent pas à rappliquer pour ramener le calme dans le voisinage ce qui gâche la soirée et le reste des vacances. Par chance, on peut toujours compter sur les bons plans du grand frère de Kevin. A à peine 2 heures de route, une maison au bord de la plage les attend et là ça va être le véritable début des festivités, au programme nanas et alcool  !

On prend les mêmes et on recommence ! Après le grand succès populaire d’American Pie, les producteurs se sont vite empressés de mettre en chantier cette suite ; une précipitation qui s’est faite aux dépens d’une qualité plus que discutable. La bonne nouvelle c’est que l’on retrouve toute la bande qui nous avait tant fait rire dans le premier épisode par contre au niveau du scénario et des gags, on ne s’est pas foulé ! A peu de choses près, on retrouve pratiquement les mêmes scènes d’un film sur l’autre (des fêtes, des filles dénudées et un Stifler toujours aussi poisseux). American Pie 2 sent fortement le réchauffé.

En savoir plus sur American Pie ?

En savoir plus sur American Pie - Marions les ?

En savoir plus sur American Campus en folie ?

En savoir plus sur American Pie présente String Academy ?

Didier & Bernard (Didier Bourdon & Bernard Campan) sont beaux-frères et ne se supportent pas ! Pourtant, une chose va les réunir puisqu’ils ont décidé tous les deux d’arrêter de fumer pendant 15 jours, au moins jusqu’à la fête des mères. Au début, ça leur semblait être une partie de plaisir mais ils vont s’apercevoir que leur dépendance au tabac est bien réelle et qu’abandonner la cigarette ne se fera pas sans efforts. Si cette période est difficile, elle sera insupportable pour leurs compagnes respectives mais on ne fait pas de fumée sans feu. Si jamais, la tentation vous guette, rappelez-vous que le tabac, c’est tabou ; on en viendra tous à bout.

Combien d’entre vous s’est promis un jour d’arrêter de fumer ? Des millions ! Le pari est difficile et Didier Bourdon & Bernard Campan vous invitent à leur thérapie qui ne sera pas de tout repos. Si vous étiez amateurs du trio, ce film est plutôt un bon divertissement servi par des jeux de mots et des situations grandguignolesques. L’esprit des Inconnus plane sans être pleinement présent ; une comédie légère qu’on ne rechigne pas à voir et revoir à l’occasion. D’ailleurs, avant qu’une nouvelle loi n’interdise la simple vue d’une cigarette sur les écrans de cinéma et de télévision, vous devriez vite y jeter un œil !

Il ne reste plus que quelques jours pour nos potes Jim, Oz, Kevin & Finch (Jason Biggs, Chris Klein, Thomas Ian Nicholas, Eddie Kaye Thomas) avant de rejoindre les bancs de la fac. Alors que certains à cette période de l’année pensent aux derniers examens, eux n’ont qu’un objectif en tête : perdre leur pucelage ! Un pacte a été conclu jusqu’au bal de fin d’année pour devenir des hommes, une mission qui ne sera pas facile au vu de leurs précédentes expériences en la matière. Chacun a donc sa propre stratégie pour se trouver une petite amie mais jusqu’à ce qu’ils puissent parvenir à leurs fins, il va s’en passer de drôles de choses !

Culte pour de nombreux spectateurs, American Pie a amené un second souffle aux Teen-movie lançant tout une vague du genre avec assez peu de réussites. Une comédie qui doit son succès en grande partie grâce au sexe, thème longtemps tabou au cinéma et qui est ici traité avec légèreté. A cela s’ajoute un casting d’où l’on verra émerger (pendant un temps) les Tara Reid, Mena Suvari ou Shannon Elisabeth. Le succès est tel que American Pie devient rapidement une trilogie au cinéma avant de perpétuer sa longévité sur le marché du DVD avec plusieurs suites. Après ce film, on ne pourra plus savourer les tartes aux pommes de la même façon.

En savoir plus sur American Pie 2 ?

En savoir plus sur American Pie - Marions les ?

En savoir plus sur American Campus en folie ?

En savoir plus sur American Pie présente String Academy ?

C’est une page qui se tourne pour notre pote Sydney White (Amanda Bynes) qui va faire ses premiers pas à l’université. Un moment qu’elle aurait voulu partager avec sa mère disparue il y a maintenant 9 ans et dans un sens elle va l’accompagner. Celle-ci était autrefois membre de la confrérie des Kappa Phi Nu faisant de Sydney une héritière à part entière. La jeune femme n’a pas de réelles affinités avec ce genre de tradition mais tient à rendre hommage à sa mère. Très vite elle se met à dos Rachel (Sara Paxton), la présidente de la confrérie qui voit en cette nouvelle venue une rivale inattendue.

Si vous êtes friands de la culture américaine et notamment du fonctionnement de leur système scolaire, voilà un film fait pour vous ! Plongée au cœur de l’univers si particulier des confréries, Miss Campus est une gentille petite comédie qu’on prend presque plaisir à regarder. Evidemment, les clichés pullulent avec la gentille brune un peu naïve qui va séduire le beau gosse du coin et la méchante blonde à l’ego surdimensionné. Bref, ce n’est pas un film indispensable mais cela suffira pour ceux qui veulent se détendre un peu et se changer les idées.

Johnny & Adam (Ernie Reyes Jr. & Nicolas Cowan) sont 2 frères qui ne pensent qu’à une chose : passer leurs journées sur leurs planches de surf. Un soir, alors qu’ils sont réunis dans le restaurant de Mac (John Karlen), leur père adoptif ils reçoivent la visite de Zatch (Ernie Reyes Sr.) avant d’être victime d’une attaque de ninjas. Alors que Mac est fait prisonnier, le mystérieux Zatch leur apprend la vérité sur leurs véritables origines ; ils sont issus d’une longue lignée royale et sont les souverains d’une ile nommée Patu San.

Si vous avez moins de 09 ans et/ou que votre quotient intellectuel plafonne à 29, alors oui vous pouvez vous réjouir à l’idée de découvrir Surf Ninjas. Titre on ne peut plus évocateur sur la qualité du film, on vise clairement un public enfantin avec de jeunes héros ; une histoire à l’emporte-pièce et quelques scènes d’action qui ressemblent davantage à de belles chorégraphies qu’à autre chose. Ajoutez à cela un méchant légèrement gaffeur incarné par Leslie Nielsen et vous avez là un beau navet idéal pour se marrer entre potes d’enfance.

Un père bon à rien, une mère obligée de jouer les strip-teaseuses pour nourrir sa famille et une sœur en pleine crise ; l’enfance de Michael Myers (Daeg Faerch/Tyler Mane) n’a pas été de tout repos. Perturbé, il a commencé à exprimer sa haine en tuant des animaux avant de complètement perdre la tête en faisant de sa maison une véritable boucherie le soir d’Halloween. Pris en main par le Dr Loomis (Malcolm McDowell) ; Michael est alors interné en hôpital psychiatrique où il restera enfermé de longues années. Lorsqu’il a commencé à perdre la tete, il vouait déjà une obsession pour les masques et avec les années cela ne s’est pas arrangé !

Avec Halloween, ce sont des souvenirs d’enfance qui rejaillissent et comme on dit que ce sont encore dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes ; le mythe de Michael Myers renait de ses cendres sous la houlette de Rob Zombie. Modeste dans sa réalisation comme dans son casting, l’auteur de La maison des 1000 morts n’en offre pas moins un prequel réussi. Non pas que ce volet révolutionne la saga mais il redore un peu le blason du légendaire tueur au masque après cette période slash-movie post Scream qu’il avait connu. Les initiés apprécieront, pour les autres c’est l’occasion de découvrir une saga historique du cinéma.

La fac est parfois un univers impitoyable, il ne se passe pas un jour sans que Becky (Raquel Riskin) ne fasse l’objet de moqueries de la part de ses potes d’enfance. Mise à l’écart et renfermée sur elle-même, la jeune femme supporte difficilement son quotidien et ce n’est pas auprès de sa famille qu’elle pourra trouver du réconfort. Mais du jour au lendemain, Becky change littéralement un nouveau look qui ne manque pas d’attirer le regard de la gente masculine. Tout ça après avoir découvert une mystérieuse bague dans laquelle sommeille l’esprit vengeur d’un ancien étudiant qu’on pensait disparu.

A voir certains films, on est parfois amené à se demander comment des producteurs ont pu accepter d’investir sur de tels projets. La culture de navets aux Etats-Unis est toujours aussi prolifique ce qui nous permet de savourer ce petit Bizutage mortel. Une plongée dans l’univers scolaire US avec ses histoires de confréries et les épreuves de bizutages qui s’en suivent, de belles potiches et voilà de quoi monter un film. Monter est d’ailleurs un bien grand mot quand on s’aperçoit que même le réalisateur a perdu les pédales dans la chronologie de cette grande foire prenant parfois des allures de vidéo-clips gays.

Comme tous les enfants de son âge, le petit Tim a peur du noir mais heureusement il a trouvé une façon de dormir en toute tranquillité. Dès que les lumières s’éteignent, il déplace son lit près de la fenêtre et dort à la belle étoile ; son étoile Adhara. Mais cette nuit, une chose étrange se passe ; elle ne brille plus et Tim n’arrive plus à trouver le sommeil. C’est là qu’il fait la connaissance du Berger des chats qui va lui faire découvrir le monde insoupçonné de Nocturna. En effet, lorsque les enfants tombent de fatigue et commencent à fermer les yeux ; des petits êtres apparaissent pour les accompagner chaque nuit.

Voici un dessin animé qui est sorti très discrètement au cinéma face à la concurrence des grosses productions Disney et autres Dreamworkds et pourtant il devrait ravir les enfants. Doté d’un style graphique bien particulier et d’une animation efficace, ce petit film franco-espagnol ne manque pas de charme. Seul regret, que l'univers de Nocturna, la nuit magique n’ait pas été un peu plus féérique afin de faire rêver les spectateurs notamment les plus jeunes. Sans grandes prétentions, voilà donc de quoi occuper vos enfants pendant 1H30 avant qu’ils ne partent à la recherche de leur chat.