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  • Vendredi 13

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    Cela fait maintenant 6 semaines que sa sœur Whitney (Amanda Righetti) a disparu mais Clay (Jared Padalecki) garde l’espoir de la retrouver vivante. C’est dans la région de Crystal Lake qu’elle aurait disparu à l’occasion d’un camping en compagnie de ses potes d’enfance. Depuis, plus de nouvelles et on ne l’a même pas vue aux funérailles de leur mère, une chose impensable quand on connait Whitney. Clay distribue inlassablement des affichettes mais il n’apprend rien de nouveau jusqu’à ce qu’il croise un homme masqué portant à bout de bras un cadavre sans tête !

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    Jason is back ! Plutôt que de nous pondre une énième suite, on nous propose cette fois un remake qui permet de revenir sur les origines du tueur au masque de hockey. Au vu des premières minutes où les victimes défilent, Vendredi 13 semblait parti sur de bons rails. On se disait qu’on allait échapper au sempiternel schéma Sexe/drogue & meurtres atroces mais ce n’était en fait que reculer pour mieux sauter. Bon, le film n’est pas mauvais en soi mais ça manque d’inspiration et c’est loin de constituer un épisode charnière de la saga.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas oublier qu’il y aura un autre Vendredi 13 ce mois-ci et qu’il y aura surement encore une cagnotte au Loto !

  • Morse

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    Oskar (Kare Hedebrant) est un jeune garçon de 12 ans qui vit avec sa mère. A l’école, c’est un élève plutôt discret mais il est régulièrement importuné par certains de ses "camarades". Un soir alors qu’il joue dans le parc devant chez lui, il fait la connaissance d’Eli (Lina Leandersson), une jeune fille qui s’est installée récemment dans l’immeuble. Les 2 adolescents deviennent vite potes d’enfance mais il semble qu’elle cache un lourd secret. En effet, elle ne peut sortir qu’au moment où le soleil se cache et elle est tiraillée par sa soif intarissable de sang humain. Eli est une vampire.

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    Il n’y encore pas si longtemps, on nous avait servi un Roméo & Juliette version dents longues avec Twilight et cette fois c’est au cœur d’une relation entre 2 jeunes adolescents que surgit cette histoire de vampires. Bien loin des films du même genre, Morse ne s’abandonne pas dans le domaine du fantastique mais reste très ancré à la réalité à travers les mésaventures vécues par Oskar. Adaptation d’un roman de John Ajvide Lindqvist, c’est l’ambigüité de la relation entre Oskar & Eli qui retient toute notre attention. On redécouvre le film de vampires dans un style plus intimiste ce qui risque d’en repousser plus d’un .

    Il faut le voir pour : Apprendre le morse pour économiser votre forfait de SMS.

  • See No Evil

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    Quand un groupe de jeunes délinquants se voit proposer une occasion de quitter la prison dans laquelle ils sont enfermés, ils n’hésitent pas une seconde. Ils prennent ainsi la direction d’un vieil hôtel délabré qu’il faut rénover en échange d’une réduction de peine sans savoir que c’est une aventure sanglante qui les attend. La nuit venue, ils explorent les différents étages de cet hôtel mais une menace inconnue fait alors son apparition arrachant les yeux de chacune de ses victimes. C’est un véritable monstre qui vit dans cet hôtel et il part à la recherche de nouvelles proies armé de son crochet.

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    Déjà que les films d’épouvante manquent cruellement d’originalité, voilà qu’en plus la fédération de catch WWE se lance elle aussi dans le cinéma. Mettant en vedette le monstre Kane (de son vrai nom Glen Jacobs), See No Evil n’apporte rien de plus que ses prédécesseurs et attirera avant tout les amateurs de ce sport si noble. Accompagné de son lot habituel de jeunes acteurs prêts à se faire trucider, les producteurs n’ont vraiment pris aucuns risques. On peut quand même relever quelques scènes susceptibles de heurter la sensibilité des plus jeunes mais face à certains films, cette violence parait presque dérisoire. A réserver aux amateurs de catch !

  • Brendan et le secret de Kells

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    C’est au sein de l’abbaye de Kells qu’a grandit notre pote Brendan, lui qui ne s’est jamais aventuré à l’extérieur. Hors de l’abbaye, le danger est grand car une attaque des vikings est possible à tout moment et c’est bien pour cela que son oncle l’Abbé Cellach s’est lancé dans la construction d’un grand mur. Cette mesure de protection ne convainc pas tout le monde et notamment le nouveau venu Frère Aidan qui a déjà eu à faire aux attaques vikings. Avec lui, il a apporté le précieux livre des enluminures qui éveille la curiosité de Brendan.

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    Le film de Tomm Moore se veut très singulier ne serait que par son histoire qui s’inspire des origines du Nouveau testament. Au point de vue graphique, on ne tape pas dans le sophistiqué (visuellement les formes géométriques s’entrechoquent) mais c’est la réalisation qui nous entraine dans une autre dimension. Brendan et le secret de Kells n’est pas à proprement parler un dessin animé mais plutôt un merveilleux livre animé où chaque page est une perle pour les yeux. Une très belle découverte pour les enfants.

     

    Il faut le voir pour : Aller cueillir des baies dans la foret pour économiser sur l’encre de vos enfants.

  • La légende de Despereaux

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    La ville de Dor était autrefois réputée pour la fête annuelle que l’on consacrait à la soupe du grand cuisinier André. Hélas, cette tradition fut interdite après la mort de la reine qui avait trouvé un rat pataugeant dans sa soupe. Depuis ce triste évènement, le roi sombra dans la tristesse et décida de bannir la soupe mais également les rats de son royaume. Pendant ce temps, à quelques mètres sous terre une souris appelée Despereaux Tilling provoque la panique chez ses semblables à cause de son courage. Il n’a peur de rien, est curieux de tout et ose même s’aventurer auprès des humais et c’est d’ailleurs à cette occasion qu’il va croiser la princesse.

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    Les 10 premières minutes laissent penser qu’il s’agit là d’un nouveau Ratatouille mais ensuite l’histoire prend un peu plus d’ampleur. D’ailleurs la construction scénaristique façon film choral pourrait perturber les plus petits puisqu’autour de Despereaux gravitent de nombreux personnages. C’est comme une bonne soupe, plus il y a d’ingrédients meilleure elle sera ! La légende de Despereaux prend également parfois des allures de Souris City ce qui n’est pas si étonnant puisque son réalisateur Sam Fell officie également ici. Un bon petit dessin animé à découvrir en famille.

     

    Il faut le voir pour : Trouver le bon moyen de faire manger de la soupe à vos enfants.