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adaptation jeu vidéo

  • Resident Evil Afterlife

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    Alors que les zombies ont ravagé la planète entière, une poignée de survivants reprennent espoir après le message qui a été diffusé. Arcadia est un Eden où l'on promet que chacun pourra vivre sans craindre d'être contaminé mais la réalité est tout autre. Après avoir réglé une affaire personnelle, notre pote Alice (Milla Jovovich) rejoint ses anciens camarades Claire Redfield & K-Mart (Ali Larter & Spencer Locke) à Arcadia mais elle découvre qu'il s'agit en fait d'un navire. En portant secours à d'autres survivants, elle retrouve également un certain Chris Redfield (Wenworth Miller), le frère de Claire et ils vont devoir dézinguer du zombie avant d'espérer monter à bord de l'Arcadia.

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    Quatrième épisode d'une saga qui est loin d'être terminée, Resident Evil Afterlife est un film d'action qui tient tout à fait ses promesses. Ce n'est pas du coté du scénario qu'on va s'extasier mais plutôt dans ses phases "j'explose du zombie" et "je mitraille partout avec mes 2 flingues à la main". A ce niveau-là Paul W.S. Anderson sait comment nous faire plaisir même si on peut lui reprocher l'utilisation parfois abusive de certains effets spéciaux. On s'éloigne également de plus en plus de la mythologie Resident Evil mais on ne rechigne pas devant le rythme effréné bien qu'inégal ce qui en fait un excellent pop-corn movie.


    Il faut le voir pour : Michael Scofield (Wenworth Miller) incapable de se libérer tout seul, le naze !

  • Doom

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    Nous sommes en 2026, dans le Nevada. Des archéologues ont déterré ce qu’ils nomment l’Arche, une porte du désert qui va les conduire directement à l’autre bout de l’espace pour rejoindre la planète Mars où de nombreuses études vont être effectuées dans la base d’Olduvai. C’est d’ailleurs là que travaille le Docteur Carmack (Robert Russel) qui va découvrir un terrible danger. Très rapidement, la décision est prise de faire appel à une équipe de commandos pour leur venir en aide d’autant plus qu’Olduvai renferme 79 autres employés qui doivent être mis en sécurité. Le commandant Sarge (The Rock) est prêt à en découdre et il va y avoir de la baston.

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    Quand j’ai appris que ce jeu considéré comme culte par de nombreux fans allait se voir adapter au cinéma j’étais déjà bien perplexe. Mais quand, en plus, j’ai su que mon pote The Rock tiendrait l’un des premiers rôles, j’étais persuadé au plus profond de moi que je ne pourrais m’empêcher de voir ce film non pas avec l’intention de découvrir une œuvre réussie. La médiocrité est le maître mot de Doom et le spectateur n’a pas grand-chose à se mettre sous la dent. Les fans du jeu devraient éviter comme la peste cette adaptation (encore !) manquée d’un titre devenu légendaire.

     

    Découvre le film Dans la peau du héros !