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Ciné2909 - Page 331

  • Ma vie sans lui

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    Elle avait encore tellement de choses à lui dire hélas, Gray (Jennifer Garner) vient de perdre celui qui devait partager sa vie. Ca faisait 6 années qu’ils se connaissaient et ils avaient enfin décidé d’échanger leurs vœux mais le destin en a décidé autrement. Alors qu’elle se remet difficilement de cette disparition, elle apprend que celui-ci lui avait caché quelques secrets. C’est en faisant le point dans les comptes de son compagnon qu’elle apprend que celui-ci cachait une fortune qui se monte à environ d’1 million de dollars mais la plus grande surprise reste à venir. Par l’intermédiaire de son pote d’enfance Fritz (Timothy Olyphant), elle tombe sous le choc : l’homme qui allait devenir son mari avait déjà un enfant !

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    Le titre en dit déjà beaucoup et voilà certainement le genre de film que votre petite-amie sera amené à louer pour une belle soirée en amoureux. Comédie dramatico-romantique, Ma vie sans lui risque vite de vous endormir en raison d’une histoire dont la teneur est entièrement révélée durant la première demi-heure. Par la suite, les personnages se réunissent, se font une petite bouffe et puis vont à la pêche avant que la belle Jennifer Garner retombe amoureuse du beau gosse de service. Malgré un beau petit casting (Kevin Smith, Juliette Lewis), le film suit une mécanique connue et nous conduit à un bel ennui ; nul doute que vous pourrez continuer votre vie sans lui !

  • Mi-temps au mitard

    Paul Crewe (Adam Sandler) était une ancienne gloire des Stealers de Pittsburgh avant qu’il ne soit impliqué dans une sombre affaire de match truqué. Aujourd’hui, il n’est plus que l’ombre de lui-même et la relation qu’il entretient avec Lena (Courteney Cox) n’est là que pour sauver les apparences mais sa situation ne va pas s’arranger. En pleine dépression, il provoque un accident de la route après avoir bu quelques bières et atterit au pénitencier d’Allenville. Le directeur de la prison, Hazen (James Cromwell) est un véritable connaisseur en football et la venue de Paul n’est pas tout à fait un hasard !

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    Voilà un film à réserver à tous ceux qui se lèvent en pleine nuit pour mater le Superbowl, le plus grand évènement pour tout amateur de football américain. Remake du film Plein la gueule, Mi-temps au mitard fera donc d’abord le bonheur des spectateurs sensibles à la culture américaine avec notamment la présence pas très reluisantes de mastodontes comme Kevin Nash ou Bill Goldberg (des stars du catch pour les incultes). C’est un film de divertissement assez efficace et qui se laisse regarder avec grand plaisir si l’on sait fait abstraction d’une histoire terriblement prévisible.

  • Entre les murs

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    C’est la rentrée scolaire pour François Marin (François Bégaudeau), professeur de français et professeur principal d’une classe de 4ème situé à Paris. Il retrouve ainsi certains élèves comme Esmeralda (Esmeralda Ouertani) ou Khoumba (Rachel Régulier) mais c’est une nouvelle aventure qui commence et cette nouvelle année ne sera pas de tout repos. Pas évident de faire cours dans une classe qui n’arrête pas de chahuter ou quand il y a des éléments perturbateurs qui ne font aucun effort. Certaines journées paraissent interminables pour François et il arrive parfois que la tension monte rapidement et que les situations dégénèrent.

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    Attendu depuis son sacre au Festival de Cannes 2008, Entre les murs arrive enfin dans les salles obscures et l’on attendait beaucoup de la part du film de Laurent Cantet. Adapté du roman de François Bégaudeau qui tient par ailleurs le premier rôle, on est vite frappé par l’authenticité qui s’en dégage. On apprécie également la qualité du scénario qui capte bien les maux actuels qui gangrènent l’éducation nationale. La grande force du film est sans conteste ces élèves à qui l’on a offert une totale liberté dans l’improvisation brouillant les frontières entre jeu d’acteur et réalité. Un film juste qui renvoie fidèlement l’image le quotidien d’une classe ordinaire.

     Il faut le voir pour : Tenter de placer de l’imparfait du subjonctif dans vos discussions.

  • Faubourg 36

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    Situé dans le Faubourg, le Chansonia est une salle de spectacles où travaillent Pigoil, Milou & Jacky (Gérard Jugnot, Clovis Cornillac & Kad Merad). Hélas, les temps sont durs pour le propriétaire criblé de dettes qui met fin à ses jours et abandonne le Chansonia au cruel Galapiat (Bernard-Pierre Donnadieu) qui clôture l’établissement. Quelques mois après, on retrouve un Pigoil sombrant dans la dépression mais lorsqu’il perd la garde de son fils Jojo (Maxence Perrin) ; il se retrousse les manches et décident de ressusciter le Chansonia. Avec l’aide de ses potes d’enfance, il va monter un spectacle dans l’espoir de racheter l’établissement à Galapiat.

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    Beaucoup de médiatisation autour de Faubourg 36 qui est le second long métrage de Christophe Barratier après son énorme succès populaire Les choristes. La recette n’a pas vraiment changé avec ce sentiment de nostalgie nous plongeant dans le Paris des années 1930 et avec les présences de Gérard Jugnot & Kad Mérad déjà présents au générique du premier long métrage. La révélation cette fois se nomme Nora Arnezeder jusque-là peu connue du grand public qui va vous envouter avec sa douce voix. On a ce qu’on est venu chercher c’est-à-dire un film grand public et jovial sans réelles prises de risque de la part du réalisateur français.

    Il faut le voir pour : Les imitations de Jacky.

  • Le royaume interdit

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    Le Kung-Fu n’a plus aucun secret pour notre pote Jason Tripitikas (Michael Angarano), du moins en théorie ! Son temps libre, il le passe à regarder des films de Kung-Fu tous plus spectaculaires les uns que les autres et il rêve un jour de pouvoir se battre comme ses héros. Pour l’heure, il se contente de chercher les raretés chez un prêteur sur gages et va faire une drôle de découverte : un bâton ancestral appartenant au légendaire Roi Singe (Jet Li). Il ne tarde pas à être victime des pouvoirs du bâton puisqu’il se retrouve projeter dans un autre monde où règne le tyrannique Seigneur de la guerre (Collin Chou).

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    Alléché par la perspective de découvrir le duo Jackie Chan/Jet Li, Le royaume interdit avait les atouts nécessaires pour attirer les fans de Kung-Fu en salles. C’est sans compter sur les aberrations des studios américains qui ont transformé ce rêve en un pur produit commercial sans âme. Seul véritable intérêt à cette mascarade, un petit combat entre les 2 plus grandes stars asiatiques et quelques scènes merveilleusement orchestrées par le toujours très efficace Yuen Woo-Ping. En dehors de ça, le tout sonne creux ; le scénario consternant de niaiserie ne rend en aucun cas justice aux prestigieux comédiens dont il disposait.

     

    Il faut le voir pour : Jackie Chan vs Jet li !!

  • Les rois du patin

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    Son chemin était tout tracé lorsqu’il fut adopté par le milliardaire Darren McElroy (Darren Fichtner), Jimmy (Jon Heder) savait que son destin était de devenir le plus grand champion de patinage artistique. Hélas, son plus grand rival se nomme Chazz Michael Michaels (Will Ferrell) et les 2 hommes ne pouvant se supporter en viennent aux poings devant les yeux éberlués des spectateurs. Ce comportement inacceptable va leur couter cher puisque non seulement on leur ôte leur médaille d’or mais ils sont en plus bannis à vie de la fédération. 3 ans plus tard, ils veulent prouver qu’ils ont encore de la ressource en participant dans la catégorie réservée … aux couples !

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    Comédie américaine menée tambour battant par un Will Ferrell habitué au genre et un Jon Heder que l’on découvre après sa participation au peu glorieux L’école des dragueurs. Une fois n’est pas coutume, c’est l’absurde qui prime dans le scénario accumulant des scènes toutes plus insensées les unes que les autres. Les amateurs de patinage ne doivent pas s’attendre à voir de belles chorégraphies si ce n’est quelques mouvements qui tendent plus vers le surréalisme qu’autre chose. Les rois du patin est une comédie sans grandes idées mais qui plaira aux spectateurs déjà habitués à l’humour particulier de Ferrell.

  • La vie devant ses yeux

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    Il y a 15 ans au lycée d’Hillview ; un drame a marqué les esprits de la communauté de Briar Hill. Michael (John Margaro); un adolescent à priori sans histoires est venu semer la terreur à l’école, armé il a tué tous ceux qui se trouvaient sur son chemin. Diana McFee (Evan Rachel Wood / Uma Thurman) a été le témoin de cette tragédie et a pu voir la folie dans les yeux de ce meurtrier. Elle s’en souvient comme si c’était hier, au moment des coups de feu ; elle se trouvait aux toilettes avec sa pote d’enfance Maureen (Eva Amurri) quand elles se sont retrouvées face à l’assassin. Jamais elle ne pourra oublier ce traumatisme qui a bouleversé sa vie.

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    Adapté d’un roman de Laura Kasischke ; La vie devant ses yeux est un thriller fantastique tournant autour d’un drame qui réveille les douloureux souvenirs de Columbine. Ce drame est introduit dans les 10eres  minutes et par la suite le réalisateur Vadim Perelman dissémine les détails non pas sur les motivations du meurtrier mais sur la vie de Diana et de sa copine. Le final ne sera une révélation que pour ceux qui se sont endormis entre 2 scènes car il ne se passe pas grand-chose durant 1h30. Ce n’est franchement pas un film indispensable à voir au cinéma actuellement.

     

    Il faut le voir pour : Tester la glace au yaourt.


  • Terrain d'entente

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    Ben (Jason Spevack / Jimmy Fallon) est un véritable fan de baseball ; de l’équipe des Red Sox de Boston. Ça a commencé à l’âge de 7 ans et aujourd’hui encore alors qu’il est prof de géométrie il n’a pas abandonné sa passion. En parlant de passion, Ben va entendre les cloches de l’amour tinter quand il croise la belle Lindsay Meeks (Drew Barrymore). Tout semble aller dans le meilleur des mondes pour ce nouveau couple mais très vite, la jeune femme va devoir affronter une concurrence implacable qu’elle n’imaginait pas : Les Red Sox de Boston !

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    Ah voilà un film intéressant et qui devrait être conseillé à de nombreuses demoiselles car il traite d’un sujet extrêmement original avec cette corrélation entre amour et passion du sport. Etats-Unis oblige et parce que derrière la caméra on retrouve les Frères Farrelly, c’est le base-ball qui est mis à l’honneur ici. Pas aussi mordant que des comédies comme Mary à tout prix ou Fous d’Irène, Terrain d’entente a pour lui le scénario dans lequel de nombreux couples risquent de se retrouver. Voilà donc un bon moment en perspective à voire impérativement en couple.

     


  • Parlez-moi de la pluie

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    Karim (Jamel Debbouze) travaille comme réceptionniste dans un petit hôtel de campagne mais il aspire à d’autres choses. Avec son pote d’enfance Michel (Jean-Pierre Bacri), il va se lancer dans un projet ambitieux ; réaliser un documentaire ayant pour thème les femmes qui ont réussi. Coup de chance, Karim connait personnellement Agathe Villanova (Agnès Jaoui), femme politique en pleine ascension. Avec son accord, ils vont donc suivre la jeune femme dans son quotidien aussi bien dans la sphère politique que privée.

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    Partenaires dans la vie comme devant les caméras, Agnès Jaoui & Jean-Pierre Bacri ne se quittent plus et invitent cette fois Jamel Debbouze dans leur nouveau film. Comme dans leurs précédents longs-métrages, l’accent est mis sur la personnalité des protagonistes. Jamel Debbouze que l’on connaissait moins sage laisse la place de comique à Bacri formidable dans son rôle. Si Parlez-moi de la pluie se revendique être une comédie hormis quelques dialogues qui font mouche, le reste nous laisse franchement sur notre faim voire même nous fait bailler d’ennui.

     

     Il faut le voir pour : Eviter de trop parler après avoir fumé un pétard.

  • Obscénité et vertu

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    Juliette, Holly & A.K. (Vicky McClure, Holly Weston & Eugene Hütz) partagent le même appartement à Londres. Pour chacun d’entre eux la vie n’est pas facile, Juliette travaille dans une pharmacie de quartier mais rêve de se consacrer à l’humanitaire. Holly est danseuse classique et galère pour se trouver un job qui pourrait remplir son compte en banque ; elle se décide alors de se lancer dans le strip-tease et c’est loin d’être gagné ! A.K. quant à lui aimerait devenir une star de la chanson mais pour le moment, il s’adonne à des activités peu communes en réalisant les fantasmes des hommes.

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    Si à la réalisation il n’y avait pas une certaine Madonna star de la pop qui signe là son premier film ; il est fort à parier qu’Obscénité et vertu serait sorti dans une grande indifférence. On suit donc le quotidien de 3 personnages au cœur de Londres ; un trio dont on retiendra surtout la présence d’Eugene Hütz avec son look si particulier. Le reste n’est qu’anecdote entre la jeune pharmacienne qui veut combattre la misère en Afrique et la danseuse classique obligé de s’adonner au strip-tease pour gagner sa vie. Ce n’est donc pas un grand film tout juste à réserver aux fans de Madonna qui seront curieux de voir ce que leur idole a pondu.

     

    Il faut le voir pour : Rechercher vos tenues d’écolier.