Wu ji, la légende des cavaliers du vent

Kunlun (Jang Dong-kun) a toujours vécu en tant qu’esclave et quand son maître meurt, il entre alors sous les ordres du général Guangming (Hiroyuki Sanada). Mais lorsque celui-ci lui confie sa précieuse armure fleurie pour sauver le roi, Kunlun fait tout le contraire et l’assassine pour sauver la princesse Qingcheng (Cecilia Cheung). La vie de ces 3 personnages va changer à jamais et surtout au moment où Kunlun va découvrir ses véritables origines.

Le film est très beau d’un point de vue esthétique et se veut également poétique mais tout est fait dans l’excès que l’on frôle la caricature. Preuve en est les quelques rires qui se sont emparés de la salle, une réaction que le réalisateur n’avait certainement pas prévu. A vouloir rendre Wu Ji, la légende des cavaliers du vent lyrique, on a en face de nous une œuvre parfois ridicule et submergé d’effets spéciaux pas toujours bienvenus.



C’est moi Lincoln Six-Echo (Ewan McGregor), je peux entrer ? Je voulais venir vous voir car je fais d’étranges rêves ces derniers temps.
J’espérais que vous pourriez m’éclairer un peu mais je dois avoir besoin d’un peu de repos et pourquoi pas en remportant mon billet pour l’île, ça changerait ma vie non ?




Je te paie un verre ? Moi c’est Ben Gannon (Josh Lucas) et toi ? Je suis pilote d’avion de la Navy en compagnie de mes 2 collègues là Kara Wade (Jessica Biel) & Henry Purcell (Jamie Foxx).
Ouais, je te promets un avion qui est censé nous obéir au seul son de la voix et qui va voler sans pilote, je sais pas pourquoi mais je le sens pas vraiment.






