Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

papa

  • Papa, ses embrouilles et moi

    star 02.jpg

    aff.jpg

    7 ans de prison ont métamorphosé notre pote Ray Bradstone (Paul "Triple H" Levesque) et il va maintenant tout faire pour repartir du bon pied. Cela commence par des retrouvailles avec sa fille Sally (Ariel Winter) mais celle-ci n’est pas vraiment prête à lui pardonner sa trop longue absence. Ray doit s’accrocher et s’efforcer dans le même temps à rester sur le droit chemin, chose peu évidente quand il a sur son dos Phillip Larue (Kevin Corrigan) qui tente de le convaincre de braquer une banque. Il était d’ailleurs à deux doigts de craquer mais a préféré tenter de nouveau sa chance avec sa fille puisqu’il va devenir le chaperon d’un voyage scolaire qui va prendre une drôle de tournure.

    01.jpg

    Il était évident que Paul Levesque a.k.a. Triple H, nouveau président de la WWE et accessoirement gendre du co-fondateur Vince McMahon aurait lui aussi droit aux projecteurs du cinéma. C’est donc dans une comédie familiale qu’il s’embarque, un film dont le scénario n’a pas nécessité beaucoup d’imagination puisqu’il y incarne un père essayant de reconquérir sa fille. Avec un humour très basique ; Papa, ses embrouilles et moi ne pourra vous amuser qu’à la condition d’avoir moins de 7 ans et The Game évite au moins de se ridiculiser contrairement à ses collègues Paul Wight dans Krunk Out ou The Rock dans La fée de la dent.

  • Papa, la fac et moi

    aff1.jpg

    Aaaaaaaaaaaahhh ! C'est incroyable, notre pote Rachel Porter (Raven Symone) n'en revient toujours pas ; elle a un entretien avec l'Université de Georgetown à Washington. Cette étudiante en droit est en passe de réaliser l'un de ses grands rêves mais son père James (Martin Lawrence) lui, est plus réticent. Depuis la naissance de sa petite fille, il espérait qu'elle irait à North Western ; une très bonne université qui offre surtout l'avantage de n'être qu'à 28 minutes de la maison. En attendant, Rachel doit se rendre à Washington pour cet entretien mais mauvaise nouvelle, elle va devoir faire la route avec son père !

    02.jpg

    Avec une comédie estampillée Walt Disney, on sait généralement que le niveau d'humour ne sera pas bien élevé pour respecter un code déontologiquement familial. Encore une fois, on ne tape pas dans l'originalité avec l'histoire d'un père hyper-protecteur qui craint de voir sa fille grandir et s'éloigner de sa maison. Quand le duo Martin Lawrence/Raven Symoné commence à montrer des signes de fatigue ; on laisse la place à un joli petit cochon pour faire rire les petits enfants. Du classique en somme avec évidemment un petit message moral seriné tout au long de Papa, la fac et moi sur les relations père/fille et la confiance mutuelle.