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Papa, ses embrouilles et moi

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7 ans de prison ont métamorphosé notre pote Ray Bradstone (Paul "Triple H" Levesque) et il va maintenant tout faire pour repartir du bon pied. Cela commence par des retrouvailles avec sa fille Sally (Ariel Winter) mais celle-ci n’est pas vraiment prête à lui pardonner sa trop longue absence. Ray doit s’accrocher et s’efforcer dans le même temps à rester sur le droit chemin, chose peu évidente quand il a sur son dos Phillip Larue (Kevin Corrigan) qui tente de le convaincre de braquer une banque. Il était d’ailleurs à deux doigts de craquer mais a préféré tenter de nouveau sa chance avec sa fille puisqu’il va devenir le chaperon d’un voyage scolaire qui va prendre une drôle de tournure.

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Il était évident que Paul Levesque a.k.a. Triple H, nouveau président de la WWE et accessoirement gendre du co-fondateur Vince McMahon aurait lui aussi droit aux projecteurs du cinéma. C’est donc dans une comédie familiale qu’il s’embarque, un film dont le scénario n’a pas nécessité beaucoup d’imagination puisqu’il y incarne un père essayant de reconquérir sa fille. Avec un humour très basique ; Papa, ses embrouilles et moi ne pourra vous amuser qu’à la condition d’avoir moins de 7 ans et The Game évite au moins de se ridiculiser contrairement à ses collègues Paul Wight dans Krunk Out ou The Rock dans La fée de la dent.

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