Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

max riemelt

  • Playoff

    star 01.5.jpg

    aff.jpg

    Double champion d’Europe avec l’équipe du Maccabi Tel-Aviv, la nomination de Max Stoller (Danny Huston) à la tête de la sélection allemande de basket-ball fait grand bruit. Cet homme revient dans un pays qu’il a du fuir en compagnie de sa mère des années auparavant parce qu’ils étaient juifs et ce retour attire la curiosité des médias. Alors qu’on s’interroge sur ses réelles motivations, au sein de l’équipe on l’accueille avec une certaine frilosité à commencer par Thomas (Max Riemelt) qui va vite entrer en conflit avec lui. Pendant ce temps, Max remonte les années en se rendant dans le quartier où il a grandit et où il a vu son père pour la dernière fois ; il va également visiter ce qui était son appartement où vivent désormais Deniz (Amira Casar) et sa fille Sema (Selen Savas).

    01.jpg

    Inspiré de la vie de l’entraineur de basket Ralph Klein, on s’attendait à entendre beaucoup de crissements de chaussures et voir quelques dunks mais que nenni ! Le sport ne joue ici qu’un rôle mineur et ça aurait pu être une équipe de cricket ou de pétanque que ça n’y aurait rien changé, le fil conducteur de Playoff c’est l’image du père. A travers 3 personnages est évoquée l’absence paternelle qui est resté un vrai traumatisme pour chacun d’entre eux. En dépit de la bonne prestation des comédiens, on est vraiment peu enthousiasmé par un scénario qui manque totalement de rebonds. Son rythme plutôt lent a toutes les chances de vous rendre la partie ennuyeuse !

     

    Il faut le voir pour : Vous payer une nouvelle montre !

  • Nous sommes la nuit

    aff.jpg

    Lena (Karoline Herfurth) est une fille un peu paumée dans sa vie, actuellement en probation elle n’hésite pourtant pas à jouer les pickpockets ce qui attire l’attention de la police et notamment de l’inspecteur Tom Serner (Max Riemelt). Un soir elle découvre un club pas comme les autres, elle est abordée par une belle femme blonde du nom de Louise (Nina Hoss) qui va jusqu’à la suivre dans les toilettes. Surprise, Lena n’est pas au bout de ses peines lorsqu’elle se fait mordre dans le cou par cette nouvelle connaissance. Après un temps d’adaptation, elle va accepter sa nouvelle condition de vampire et découvrir tous les plaisirs qui s’offrent à elle en compagnie de 2 autres potes d’enfance Nora & Charlotte (Anna Fischer & Jennifer Ulrich).

    01.jpg

    Les films de vampire ne connaissent pas la crise mais il est peu commun de voir une production allemande s’intéresser au sujet. Ce qui est sur, c’est que le réalisateur Dennis Gansel (déjà auteur de La vague) cherche à donner à Nous sommes la nuit un parcours international puisqu’il s’est efforcé d’effectuer le tournage dans un anglais à la diction particulièrement soignée par les comédiens. Dommage qu’on ne retrouve pas la même application dans ce scénario très basique et qui rappelle trop les films du même genre. Finalement, le seul attrait restera de voir 4 belles demoiselles s’agiter à l’écran mais à part ça rien il y a un manque évident de mordant !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à votre femme à marcher sur les murs.