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nina hoss

  • Gold

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    1898 au Canada. C’est la ruée vers l’or du Klondike, ce métal précieux attise toutes les convoitises et nombreux sont ceux qui veulent tenter leur chance. Un groupe d’émigrés allemands emmenés par Wilhelm Laser (Peter Kurth) part pour un long voyage jusqu’à Dawson, ils n’attendaient plus que l’arrivée d’Emily Meyer (Nina Hoss) pour prendre le départ. Ils s’étaient préparés à un trajet difficile mais ils ne s’imaginaient pas qu’ils rencontreraient autant de problèmes. Des blessures, des chevaux qui s’écroulent de fatigue, une roue cassée obligeant à abandonner la roulotte ; rien ne leur sera épargné d’autant plus qu’ils ignorent que 2 hommes sont à leur recherche et plus particulièrement de leur porteur Carl Boehmer (Marko Mandic).

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    Il suffit d’un peu d’or pour faire briller les yeux de certains, Gold s’intéresse ainsi à l’expédition d’un groupe qui espère pouvoir faire fortune et changer ainsi le cours de leur vie. On se retrouve donc avec un genre de road-trip à la sauce western mais ce qui est moins réjouissant c’est qu’il ne se passe pas grand-chose. En dehors d’une scène intense qui devrait vous laisser scié et s’il n’y a rien à redire au niveau des comédiens, le reste est pour le moins somnolent. Il est d’ailleurs étonnant que la chasse de Boehmer n’ait pas donné plus d’intensité à l’ensemble au lieu d’être traité de façon si cavalière. On est donc loin d’avoir de l’or en images.

     

    Il faut le voir pour : Toujours avoir de l’argent sur vous pour payer les services des Indiens !

  • Nous sommes la nuit

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    Lena (Karoline Herfurth) est une fille un peu paumée dans sa vie, actuellement en probation elle n’hésite pourtant pas à jouer les pickpockets ce qui attire l’attention de la police et notamment de l’inspecteur Tom Serner (Max Riemelt). Un soir elle découvre un club pas comme les autres, elle est abordée par une belle femme blonde du nom de Louise (Nina Hoss) qui va jusqu’à la suivre dans les toilettes. Surprise, Lena n’est pas au bout de ses peines lorsqu’elle se fait mordre dans le cou par cette nouvelle connaissance. Après un temps d’adaptation, elle va accepter sa nouvelle condition de vampire et découvrir tous les plaisirs qui s’offrent à elle en compagnie de 2 autres potes d’enfance Nora & Charlotte (Anna Fischer & Jennifer Ulrich).

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    Les films de vampire ne connaissent pas la crise mais il est peu commun de voir une production allemande s’intéresser au sujet. Ce qui est sur, c’est que le réalisateur Dennis Gansel (déjà auteur de La vague) cherche à donner à Nous sommes la nuit un parcours international puisqu’il s’est efforcé d’effectuer le tournage dans un anglais à la diction particulièrement soignée par les comédiens. Dommage qu’on ne retrouve pas la même application dans ce scénario très basique et qui rappelle trop les films du même genre. Finalement, le seul attrait restera de voir 4 belles demoiselles s’agiter à l’écran mais à part ça rien il y a un manque évident de mordant !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à votre femme à marcher sur les murs.