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dvir benedek

  • Big bad wolves

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    La petite Michaela jouait tranquillement avec ses potes d’enfance à cache-cache quand elle a soudainement disparu laissant derrière elle que sa chaussure rouge. L’enquête de la Police va les mener sur la piste d’un certain Dror (Rotem Keinan) mais lorsque Miki (Lior Ashkenazi) improvise un interrogatoire, le suspect continue à clamer son innocence et faute de preuve il retrouvera la liberté. Seulement cet interrogatoire a été filmé et se retrouve diffusé sur Internet et il n’en faut pas plus pour que Miki perde son job de flic. Malgré cela, il est convaincu de la culpabilité de Dror et va faire son possible pour arracher des aveux et il n’est pas le seul à vouloir lui mettre la main dessus !

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    Ce film réalisé par le duo Aharon Keshales & Navot Papushado part sur un principe plutôt simple ; un présumé pédophile se retrouve prisonnier et va devoir répondre de ses méfaits. Un sujet on ne peut plus grave que Big bad wolves désamorce vite puisqu’il se retrouve traversé par quelques notes d’humour ce qui lui confère une atmosphère assez particulière. On regrettera alors que l’accent n’ait pas été mis davantage sur le suspense rendant cette détention presque ennuyeuse et surtout faisant tomber à plat la révélation finale. Malgré quelques bons moments il y a quand même une certaine déception qui l'emporte au générique final.

     

    Il faut le voir pour : Éviter de manger les gâteaux que vous n'avez pas préparé vous-même !

  • Sumô

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    Malgré toute sa bonne volonté, Herzl (Itzik Cohen) n'y arrive pas ! Impossible pour lui de perdre du poids, c'est même tout le contraire ; en 2 mois il a pris 13 kgs ce qui n'est pas très bon pour le club de régime qu'il fréquente. Comme si cela ne suffisait pas, son physique n'est pas très apprécié à la cafétéria où il travaille et pour sauver sa fierté, il n'a pas d'autres choix que de présenter sa démission. Pour aider en aide à sa mère financièrement il doit cependant vite retrouver un job et c'est ainsi qu'il devient plongeur dans un restaurant japonais. C'est là qu'il va entendre parler des sumos, ces lutteurs obèses et considérés comme des demi-dieux au Japon.

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    Qui aurait pensé voir un jour au cinéma des sumos en plein cœur d'Israël ? C'est ça la magie du 7ème art qui va exaucer votre vœu avec une sympathique comédie qui vient dénoncer la dictature du physique que nos sociétés sont capables de nous infliger. Oui on peut être heureux tout en étant obèse et sans ressembler tous à des tops modèles, Sumô cherche ainsi à réhabiliter la personne face à son physique. Une petite leçon de tolérance assez drôle mais au scénario un peu trop mince pour nous satisfaire pleinement. Les amateurs de cinéma se laisseront aller à cette curieuse découverte.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre de nouveau que Fumer tue surtout quand vous sortez sur le balcon !