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Michèle Laroque

  • Oscar et la dame rose

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    Les fêtes de fin d'année commencent et Oscar (Amir) vient d'apprendre une terrible nouvelle, atteint d'un cancer incurable, ses jours sont désormais comptés. Déçus que ses parents n'aient pas daigné lui en parler de façon franche, il s'enferme dans un inquiétant mutisme. La seule personne avec qui il aimerait parler c'est la dame en rose qui ça ne s'invente pas s'appelle Rose (Michèle Laroque), une femme divorcée qui s'est récemment reconvertie dans la vente de pizzas. Avec elle, Oscar s'évade, s'amuse, se régale du récit de ses combats de catch extraordinaire mais tous deux savent que l'inéluctable approche.

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    Sortez les mouchoirs pour Oscar et la dame rose qui est l'adaptation du roman d'Eric Emmanuel-Schmitt (qui pour l'occasion s'occupe également de la réalisation) et qui réunit tous les ingrédients pour vous arracher des larmes. C'est d'abord l'histoire d'une rencontre, celle d'un enfant condamné et d'une femme peu sociable mais qui va finir par s'attacher à ce garçon. On sait tous comment ça va se terminer et même si Michèle Laroque arrive à nous surprendre en compagnie de son jeune partenaire Amir, on a la désagréable sensation que le film fait du sur place. Touchant mais jamais réellement émouvant

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que le catch est une école de la vie.

  • Dans tes bras

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    Cela fait quelques temps que Louis (Martin Loizillon) ne se sent pas très bien, depuis que ses parents adoptifs lui ont révélé l’identité de sa mère biologique. Ressentant un immense vide dans sa vie, cela fait 6 mois qu’il fait des recherches et il sait exactement où la trouver ; le jeune homme décide un soir de partir à sa rencontre. Elle tient une petite boutique de fleurs et se fait désormais appeler Jeanne (Michèle Laroque). A 16 ans, il veut savoir d’où il vient et en apprendre davantage sur son histoire, qu’est qui a poussé Jeanne à l’abandonner. Comme les autres personnes, il veut tout simplement un passé.

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    Portrait d’un adolescent en plaine quête d’identité, Dans tes bras est un film intimiste valorisé avant tout par le formidable Martin Loizillon. On ne peut pas rester insensible face au désarroi du jeune garçon faisant preuve de beaucoup de maladresse pour retrouver celle qui lui a donné la vie. Personnage central du film, la mère est représentée à travers les visages de 3 femmes au milieu desquels on redécouvre Michèle Laroque qui ne nous avait pas habitué à des rôles aussi profonds. Réalisé de manière simple et efficace -bien que classique dans le genre-, le film ne se disperse pas et constitue une petite curiosité à découvrir.

     

    Il faut le voir pour : Offrir des fleurs à votre maman !

  • Enfin veuve

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    Cela fait maintenant 2 ans que notre pote Anne-Marie (Michèle Laroque) dite Moumousse a un amant : Léo (Jacques Gamblin), un ouvrier qui restaure des bateaux. Chaque jour, elle doit inventer un stratagème pour le voir quelques minutes sans éveiller les soupçons de son mari Gilbert (Wladimir Yordanoff) et de son entourage. Alors qu’elle s’apprêtait à tout quitter pour partir avec Léo sur un chantier à Hong-Kong ; elle apprend que son mari est mort (mais que le chien est sain et sauf) et toute la famille se retrouve pour l’aider à surmonter ce drame. Pourtant, Moumousse est indifférente face à cette disparition et c’est logique puisque entre eux deux, il n’y avait aucun sentiment.

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    Isabelle Mergault avait frappé les esprits par son premier long métrage Je vous trouve très beau qui a connu une belle réussite en salle. Enfin veuve vient donc affiner ses talents de réalisatrice avec une petite comédie plutôt sympathique mais qui n’a rien d’extraordinaire. Si le potentiel comique de Michèle Laroque n’est plus à démontrer, sur certaines scènes elle manque parfois de spontanéité rendant le comique de situation assez poussif. Par contre, on apprécie le jeu de Tom Morton interprétant Christophe terriblement agaçant en fils protecteur. Une pure comédie française telle qu’on les connait, le scénario est connu d’avance mais on se marre quand même bien qu’on attendait plus de la réalisatrice.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que les accidents mortels sont souvent...mortels !

  • La maison du bonheur

     

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    Depuis qu’il travaille pour le service contentieux de la société de crédit Crédilem, notre pote Charles Boulin (Dany Boon) a beaucoup changé ! Près de ses sous, cette situation empoisonne toute sa famille et notamment sa femme Anne (Michèle Laroque) qui aimerait bien profiter davantage de sa vie. Pour la surprendre, il décide donc de lui offrir un magnifique cadeau : une maison mais il reste quelques travaux à faire et c’est le début des problèmes !

     

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    Voilà donc le premier film de notre pote Dany Boon qui est en fait l’adaptation de sa pièce de théâtre La vie de chantier. Si ce film est une petite comédie plaisante, on regrettera son classicisme et le rythme inégal de l’histoire malgré des comédiens attachants. La maison du bonheur c’est donc un bon divertissement dont on retiendra surtout les prestations de Dany Boon et Daniel Prévost qui apportent un peu de dynamisme.