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  • August Rush

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    Bien qu’il ait grandit dans cet orphelinat, Evan (Freddie Highmore) est convaincu qu’il reverrait un jour ses parents. Notre jeune pote va partir seul à New York guidé par la symphonie de la vie et pourquoi pas retrouver la trace de sa famille. En effet, il y a 11 ans de cela il était né de la rencontre entre deux jeunes musiciens que la vie a cruellement séparé. Lyla Novacek (Keri Russell) était un grand espoir de la musique classique mais l’ambition de son père a mis fin à la belle histoire qui commençait avec le beau Louis Connelly (Jonathan Rhys Meyer). Ils ne se sont jamais revus et ignorent que leur fils est à leur recherche mais l’amour de la musique va les réunir.

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    Dans la famille “film super mielleux et où tout finit bien“ du moment, je demande le petit dernier August Rush ! Ou comment un orphelin futur génie de la musique finit par retrouver ses parents après 11 ans de séparation. Pas grand-chose à dire si ce c’est qu’on est vite assommé par tant de mièvrerie et de positivisme, un véritable conte de fée à raconter à vos enfants avant de les endormir. Pas de surprise dans son intrigue basique, c’est un film d’un autre temps à réserver à celles et ceux qui croient au miracle de l’amour et de la musique avec bien sur le happy-end de rigueur.

     

    Il faut le voir pour : Essayer de trouver la musique de votre vie (et si vous ne la trouvez pas c’est normal, ça n’existe qu’au cinéma).


    Découvrez le film Dans la peau du héros !

  • Black Sheep

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    Notre pote Henry Oldfield (Nathan Meister) a grandi au sein d’une ferme où il a passé les plus belles années de sa vie mais aussi les plus traumatisantes. C’est à cette époque qu’il a perdu son père, un évènement tragique qui a peut-être contribué à développer son ovinophobie et plus particulièrement envers les moutons. 15 ans plus tard, sur les conseils de sa thérapeute, il revient sur le lieu de son enfance pour régler quelques affaires avec son grand frère Angus (Peter Feeney). Ce dernier a fait de la ferme un laboratoire d’expérimentations afin de créer le mouton de demain mais quand un spécimen mutant se retrouve dans la nature, c’est le début de la panique.

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    A la lecture du scénario, on sait d’avance qu’on tient un chef d’œuvre du kitsch et pourtant ce film d’horreur néo-zélandais ne se veut pas aussi ironique qu’on pourrait le croire. En dehors de quelques scènes assez marrantes, Black Sheep est avant toute chose un vrai film d’horreur d’un genre particulier certes mais dans l’ensemble plutôt efficace. On aurait aimé un poil plus de dérision ce qui aurait fait de ce film un incontournable du 7ème art mais ça reste un bon choix pour une soirée entre potes d’enfance. Qui aurait cru que ces jolis bêêêêêêtes blanches puissent devenir un jour les monstres d’un spectacle gore ? Moi en tout cas j’en redemande et vous n’êtes pas près de compter les moutons pour vous endormir !

     

    Il faut le voir pour : Ne plus porter de laine de mouton.

  • Le nouveau protocole

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    Raoul Kraft (Clovis Cornillac) vient d’apprendre la terrible nouvelle : son fils Franck a trouvé la mort à la suite d’un accident de voiture. Effondré par cette tragédie, il ne prête même pas attention à cette jeune femme Diane (Marie-Josée Croze) venue le questionner sur un soi-disant médicament que son fils était en train de tester. Quand il se rend que sa maison a été visitée et que son armoire à pharmacie a été fouillée, il s’interroge sur ce médicament qui aurait pu avoir un effet secondaire et provoquer l’accident. Pour en avoir le cœur net, il va mener sa propre enquête et retrouver Diane qui va lui ouvrir les yeux sur les véritables intentions de l’industrie pharmaceutique.

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    Sujet très passionnant que le lobby pharmaceutique et ses dérives ! Sans vouloir être trop paranoïaque, il est évident qu’en la matière on nous cache pas mal de choses car comme partout lorsqu’il y a des enjeux financiers, il faut s’attendre à tout. Comme à son habitude, Clovis Cornillac excelle dans ce rôle de père à la recherche de la vérité ; son fils a-t-il été victime des expériences douteuses ? Si Le nouveau protocole n’a pas non plus les symptômes du polar haletant, la révélation finale donne une autre ampleur dramatique à ce film à prescrire aux amateurs du genre.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter d’abuser des médicaments.