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Black Sheep

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Notre pote Henry Oldfield (Nathan Meister) a grandi au sein d’une ferme où il a passé les plus belles années de sa vie mais aussi les plus traumatisantes. C’est à cette époque qu’il a perdu son père, un évènement tragique qui a peut-être contribué à développer son ovinophobie et plus particulièrement envers les moutons. 15 ans plus tard, sur les conseils de sa thérapeute, il revient sur le lieu de son enfance pour régler quelques affaires avec son grand frère Angus (Peter Feeney). Ce dernier a fait de la ferme un laboratoire d’expérimentations afin de créer le mouton de demain mais quand un spécimen mutant se retrouve dans la nature, c’est le début de la panique.

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A la lecture du scénario, on sait d’avance qu’on tient un chef d’œuvre du kitsch et pourtant ce film d’horreur néo-zélandais ne se veut pas aussi ironique qu’on pourrait le croire. En dehors de quelques scènes assez marrantes, Black Sheep est avant toute chose un vrai film d’horreur d’un genre particulier certes mais dans l’ensemble plutôt efficace. On aurait aimé un poil plus de dérision ce qui aurait fait de ce film un incontournable du 7ème art mais ça reste un bon choix pour une soirée entre potes d’enfance. Qui aurait cru que ces jolis bêêêêêêtes blanches puissent devenir un jour les monstres d’un spectacle gore ? Moi en tout cas j’en redemande et vous n’êtes pas près de compter les moutons pour vous endormir !

 

Il faut le voir pour : Ne plus porter de laine de mouton.

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