Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

diouc koma

  • Pourquoi j'ai pas mangé mon père

    cinéma,film,animation,pourquoi j'ai pas mangé mon père,jamel debbouze,mélissa theuriau,arié elmaleh,patrice thibaud,christian hecq,diouc koma,georgette kala-lobé,youssef hajdi

    AFF.jpg

    Le Roi des Simiens attendait ce jour depuis longtemps ; son héritier vient de voir le jour et il est fier de présenter à tous le Prince Vania ! Ce que tout le monde ignore alors c'est qu'il y a eu un autre bébé né avant lui et qui aurait du être l'héritier s'il n'avait pas eu cette apparence aussi frêle. Le Roi a ainsi décidé de se débarrasser de lui sans se douter qu'il va survivre et être recueilli par Ian. Ce n'est que bien plus tard que les retrouvailles vont avoir lieu lorsqu'un certain Edouard fait parler de lui avec ses inventions loufoques. Malgré les machinations de la Sorcière et de Vladimir, proches du roi ; la vérité ne va pas tarder à éclater.

    01.jpg

    Première réalisation pour notre pote Jamel Debbouze qui se lance dans l'animation en adaptant un roman signé Roy Lewis. Il est aussi la star à l'écran, une affiche qu'il partage avec le clone de Louis De Funès et de cette association, on s'attendait quand même qu'au niveau de l'humour ça carbure. Utilisant la technologie de la Performance-Capture (une première en Europe), en dehors du fait que ça le démarque des autres productions du genre ça reste une particularité qui ne séduit pas outre-mesure. Pourquoi j'ai pas mangé mon père se montre au final assez décevant ; les dialogues sonnent souvent creux avec une histoire qui a beaucoup de mal à démarrer et les rires se font rares.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir des animaux très étranges !

  • Un homme qui crie

    aff.jpg

    Ancien grand champion de natation du Tchad, notre pote Adam (Youssouf Djaoro) s’est reconverti en tant que maitre nageur d’un grand hôtel depuis maintenant 30 ans. Un métier qu’il connait parfaitement et dont il a appris tous les secrets à son fils Abdel (Diouc Koma). Alors que la pression des rebelles envers le pays est de plus en plus puissante, l’hôtel se retrouve privatisé ce qui entraine d’importants changements. Alors que certains perdent leurs postes, Abdel se retrouve propulsé seul responsable de la piscine tandis que son père doit désormais s’occuper de la barrière. Cependant, Adam a d’autres préoccupations, on lui demande une aide financière au titre de l’effort de guerre mais il n’a pas les moyens nécessaires pour payer. On lui suggère alors d’offrir son fils afin qu’il rejoigne l’armée.

    01.jpg

    Derrière Un homme qui crie se cache un drame familial qui se focalise notamment sur les relations Père/Fils sur fonds de guerre civile au Tchad. Un père supportant mal l’idée que son propre fils ait pu lui voler son travail et perdant par la même occasion son rôle familial se retrouve face à un choix crucial. De par son sujet, on tient un scénario assez fort mais associé à une réalisation plutôt sommaire et à un jeu d’acteurs qui manque souvent de conviction. Dans l’ensemble, on reste impassible devant ce film qui tente ce qu’il peut pour nous tirer quelques larmes. Un cri qui ne sera véritablement perçu que par les passionnés du 7ème art et qui ne sont pas réfractaires aux découvertes cinématographiques de tous horizons.

     

    Il faut le voir pour : Eviter d’apprendre à votre fils le métier que vous exercez, on ne sait jamais !