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cinéma - Page 411

  • C.R.A.Z.Y.

     

    Notre pote Zachary Beaulieu (Emile Vallée/Marc-André Grondin) peut se vanter de ne pas être comme les autres. En effet, tout le monde n’a pas eu la chance de naitre un 25 Décembre, le même jour qu’un certain Jésus ce qui lui a conféré un don extraordinaire, du moins c’est ce dont est persuadé sa mère ! Pour Zachary, la vie n’est pas aussi belle avec des frères qu’ils considèrent comme de véritables abrutis et un père qui s’efforcent de faire de son fils un homme. Son existence est un long parcours parfois parsemé d’embuches !

     

    Ce film canadien avait recueilli l’unanimité de la presse ce qui a éveiller ma curiosité même si je dois dire que les 2h10 m’ont longtemps découragé d’aller le voir. Finalement, C.R.A.Z.Y. est un pur bonheur mêlant comédie et drame à travers une famille vraiment pas comme les autres. A saluer également la grande performance de Michel Cote qui interprète le rôle du père Gervais, un personnage des plus attachants et qui vous arrachera quelques rires. Un film qui prouve encore une fois que le bon cinéma n’a pas de frontières !

  • Secrets de famille

     

     

    Bienvenue dans la petite bourgade anglaise de Little Wallop, 57 habitants (et 1 chien !). Walter Goodfellow (Rowan Atkinson) est le révérend du village et mène une vie tellement bien rangée qu’il ne rend guère compte de ce qui se passe autour de lui. Avec une femme qui est sur le point de le tromper, une fille nymphomane et un fils qui est le souffre douleur de ses camarades ; on ne peut pas dire que ce soit une famille comme les autres ! Heureusement que la gouvernante Grace Hawkins (Maggie Smith) arrive mais ce qu’ils ne savent pas c’est qu’elle vient de purger une peine de 43 ans pour meurtre !

     

     

    Quand j’ai vu quelques extraits, j’étais assez peu convaincu par ce film mais finalement il a un certain charme notamment grâce aux talents conjugués de Maggie Smith & Kristin Scott Thomas. Outre l’énergie de ces 2 comédiennes, on appréciera le cynisme dans lequel nous plonge cette histoire de serial killer qui se retrouve parachuté gouvernante. Ce n’est certainement pas la comédie de l’année mais cela se laisse regarder avec plaisir !

  • A bittersweet life

     

     

    La vie de notre pote Sun Woo (Byung-hun Lee) baigne depuis quelques années déjà dans la violence, un destin qui s’est dessiné depuis sa rencontre avec le chef Kang (Kim Young-Cheol), un gangster influent. Ce dernier croit énormément en son protégé et c’est pour cette raison qu’il lui confie le devoir de surveiller sa jeune maitresse car il a quelques soupçons sur sa fidélité. Ce qui n’était encore que suppositions se révèlent réalité et Sun Woo va donc devoir agir mais les choses n’évolueront pas comme prévu !

     

     

    La bande-annonce était déjà séduisante et après avoir vu le film, je peux vous assurer que vous ne serez pas déçu ! Servi par un esthétisme resplendissant, A bittersweet life vient confirmer, s’il le fallait encore, que le cinéma coréen a du talent à revendre. Des tas de bonnes idées, un acteur principal touchant font de ce film un futur classique du genre et on est impatient de voir toutes les richesses que peuvent nous offrir les coréens.

  • Beur, blanc, rouge

     

     

    Notre pote Brahim (Yasmine Belmadi) va vivre l’une des plus grandes journées de son existence, que dis-je, de l’histoire mondiale : il va assister au match de football entre la France et l’Algérie, son bled ! D’ailleurs, il n’a pas hésité à orner sa belle Peugeot des couleurs de son pays et pour 70 balles, il a dégoté des places de rêve pour lui mais aussi pour ses potes Mouloud & Gaby (Karim Belkhadra & Julien Courbey). La fête sera belle quand l’Algérie écrasera la France !

     

     

    Y’a pas à dire, j’aime bien ces petites comédies qui n’atteignent certes pas des sommets mais se révèlent être un agréable moment à passer. Vous aurez compris que Beur, blanc, rouge fait parti de cette catégorie ; sur fonds de match de foot, le jeune Brahim interprété par Yasmine Belmadi livre toute candeur d’une génération déracinée entre culture française & algérienne. Personne n’aura oublié l’envahissement du Stade de France qui, précisons-le, n’a pas été réalisé dans le cadre du film !

  • Qui de nous deux

     

     

    C’est une nouvelle étape de sa vie qui s’annonce pour notre pote Bethsabée Pasolini (Salomé Blechmans). Elle rentre en Première L au Lycée Claude Monet à Paris où elle ne connait encore personne mais elle ne tardera pas à s’intégrer à sa nouvelle classe et se faire ainsi de nombreux amis. Bethsabée c’est une adolescente comme les autres avec son lot quotidien de soucis mais heureusement il y a également des purs moments de bonheur.

     

     

    Encore un film que je n’aurais pas eu l’idée d’aller voir sans ma carte illimitée et pourtant cette adaptation du roman de Salomé Blechmans (qui est aussi l’interprète principale !) reste plutôt sympathique. Si au début, Qui de nous deux est plutôt agréable à suivre, au fur et à mesure que l’on avance dans le film on trouve le temps bien long car justement on avance nulle part. A réserver à celles et ceux qui veulent découvrir les chroniques d’une jeune ado dans le monde d’aujourd’hui et le charme de Salomé Blechmans fera le reste.

  • Shane Black's Kiss Kiss Bang Bang

    Bonjour à tous !

     

    Je m’appelle Harry Lockart (Robert Downey) et je serais votre narrateur pour cette histoire alors bienvenue à Los Angeles ! Qu’est ce que je fais ici ?

     

    C’est une longue histoire qui débute à Manhattan où j’ai voulu dévaliser un magasin de jouets. Puis en voulant échapper aux flics, je me suis retrouvé en plein casting et me voilà catapulté à L.A, vous y croyez-vous ?

     

    Une histoire complètement rocambolesque mais je ne suis pas au bout de mes surprises car j’ai rencontré une pote d’enfance Harmony (Michelle Monaghan). Des retrouvailles qui ne marque que le début de mes ennuis !

     

    En Résumé : Le film démarrait de manière assez originale avec au casting Robert Downey, un acteur que j’apprécie depuis sa participation dans la série Ally McBeal. Néanmoins, Shane Black'sKiss Kiss Bang Bang propose une histoire assez confuse si bien que le spectateur se perd assez vite dans les méandres de cette enquête pas comme les autres. On pourra se consoler avec la présence de la belle Michelle Monaghan pour nous les hommes et pour les demoiselles Val Kilmer saura s’occuper de vous !

  • Edison

     

     

    Il fait bon vivre à Edison, ville américaine en plein essor grâce notamment à une baisse conséquente de la délinquance. Depuis que la F.R.A.T (First Response Assault & Tactical) veille sur la sécurité des citoyens, tout le monde se sent bien mieux. Derrière cette façade, se cache une vérité beaucoup moins belle puisque Edison est le royaume de la corruption. Un constat dont est convaincu Josh Pollack (Justin Timberlake), jeune journaliste mais son investigation risque de lui apporter quelques problèmes !

     

     

    A l’affiche, Edison a de quoi vous donner envie avec un casting rassemblant Morgan Freeman, Kevin Spacey et dans une moindre mesure LL Cool J & Justin Timberlake. Quand on voit les premières minutes, on se dit alors qu’on va avoir droit à un nanar et c’est bien évidemment le cas avec un film beaucoup trop classique à l’intrigue légère. Sans compter que l’interprétation de notre ami Justin n’a pas de quoi faire rocker notre body, on passera aisément à coté d’Edison !

  • Le Samouraï du crépuscule

    Dans des temps reculés du Japon, nous retrouvons Seibei Iguchi (Hiroyuki Sanada), un samouraï qui vient de perdre sa femme emportée par une tuberculose. Désormais, il doit veiller sur ses 2 filles Kayano & Ito (Miki Ito & Erina Hashiguchi) mais tout le monde ne voit pas d’un bon œil son nouveau mode de vie. Ainsi, son oncle tente par tous les moyens de le remarier afin de redorer le blason de la famille mais rien n’y fait jusqu’au jour où il retrouve une pote d’enfance Tomoe Linuma (Rie Miyazawa).
    Chouette un film de samouraïs ! On se dit qu’on va avoir droit à une succession de combats au sabre et tous ces petits trucs qui coupent, des giclées de sang mais point du tout ! Pour les amateurs d’action, sachez que les scènes de combat se comptent sur les doigts d’une main. Le film se centre davantage sur la vie familiale de ce samouraï pas comme les autres, une particularité intéressante malgré tout on s’ennuie devant ce manque de rythme.

  • Comme t'y es belle !

    Impossible de séparer nos 4 potes Isa, Alice, Léa & Nina (Michèle Laroque, Valérie Benguigui, Aure Atika & Géraldine Nakache) liées par une amitié indéfectible. D’autant plus qu’elles ont grandi dans une culture juive renforçant, s’il le fallait encore, leurs relations. Ainsi, quand l’une a des problèmes de fiscalité, que l’autre se rend compte qu’elle est peut-être passée à coté du bonheur ou encore que les autres n'arrivent pas à établir de relations sérieuses; elles se retrouvent pour se réconforter mutuellement.

    Présentée comme une sorte de La vérité si je mens ! version féminine, cela avait de quoi me donner envie de jeter un œil. J’avais un peu peur qu’il y ait un peu trop de surenchère de la part des comédiennes mais au final, j’ai passé un moment très agréable. On rit de bon cœur devant les aventures ordinaires de ces 4 héroïnes extraordinaires. Et puis quel plaisir de retrouver une Marthe Villalonga aussi en forme !

  • Uno

     

     

    La vie de notre pote David (Aksel Hennie) n’est pas des plus faciles avec un père alité et victime d’un cancer et son frère Kjetil (Espen Juul Kristiansen) qu’il faut constamment surveiller. Pour aider sa famille, il travaille dans le gymnase de Larjil (Bjorn Floberg) avec son pote d’enfance Morten (Nicolai Cleve Broch) mais il s’y passe parfois des choses pas très légales. Un jour, il se retrouve incarcéré en prison où il va devoir prendre une décision lourde de conséquence pour lui et son entourage.

     

     

    Heureusement, que j’ai pu apercevoir quelques bribes d’images à la télévision accompagné de cette phrase : « La vie, c’est comme un jeu de cartes. Au départ, on ne choisit pas son jeu mais on choisit quand et comment abattre ses cartes. ». Il n’en fallait pas plus pour éveiller ma curiosité et ce n’est pas tous les jours qu’on a la chance de regarder un film norvégien ! Uno est une bien belle surprise que nous offert par le réalisateur Aksel Hennie qui est également l’interprète principal, à découvrir !