Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

antonio banderas - Page 2

  • La légende de Zorro

    1850, époque des prémices d’un Etat qui sera reconnu plus tard comme la Californie. Le peuple est en pleine effervescence en ce jour de vote mais tout le ponde ne partage pas cette excitation à promulguer l’indépendance de ce territoire. Jacob McGivens (Nick Chinlund) débarque pour s’emparer de l’urne mais heureusement Zorro (Antonio Banderas) est arrivé ! Quand il ne joue pas les justiciers, il redevient Alejandro De La Vega et retrouve sa famille Elena (Catherine Zeta-Jones) & son fils Joaquin (Adrian Alonso). Toutefois, il y a de l’électricité dans l’air car Elena aimerait que son mari range sa cape une bonne fois pour toute.

    01.jpg

    Et voilà le retour de notre justicier masqué préfère, celui-là même qui signe son passage d’un Z qui veut dire Zorro mais en l’occurrence ce serait plutôt Z comme Zéro comme dans Zéro originalité ! Pour le scénario, on ne s’est pas beaucoup foulé avec La légende de Zorro ; juste de quoi faire une suite en espérant que la licence de Zorro fasse le reste. Le premier épisode se laissait voir mais celui-ci est franchement exaspérant avec son règlement de comptes avec le peuple français (en réponse au refus de Chirac d’intervenir en Irak). A vous de voir, si je peux vous donner un conseil, restez sur le bon souvenir du premier épisode.

  • Mon espion préféré

    aff.jpg

    C’est à contrecœur que notre pote Henry (Colin Hanks) a quitté sa mère mais il n’avait pas le choix car ce jeune agent du FBI partait pour une opération de la plus haute importance. 3 ans après, il revient enfin voir sa mère totalement métamorphosée. Marty (Meg Ryan) s’est rendu compte que sa vie devait changer lorsque son fils l’a quitté et aujourd’hui c’est une superbe femme épanouie qui veut profiter de chaque minute. Un changement radical qu’Henry a du mal à accepter surtout quand il voit tous les prétendants qui lui tournent autour. D’ailleurs, le dernier en date est un certain Tommy (Antonio Banderas) qui se révèle être en réalité un voleur d’art !

    01.jpg

     

    Après Max la menace, voici un nouveau film qui tente la combinaison peu évidente entre l’humour et l’espionnage. Contrairement à l’œuvre de Steve Carrell, Mon espion préféré fait primer la comédie car si vous cherchez de l’action, vous vous êtes trompé de salle. Antonio Banderas, le voleur de service ne fait que manipuler son avion télécommandé ce qui est la scène, et de loin, la plus spectaculaire du film. Vous l’aurez compris, on est ici pour se marrer devant l’inconfort d’un fils qui découvre la nouvelle vie tumultueuse d’une mère. C’est drôle au départ mais à la longue ça manque d’idées.

     

    Il faut le voir pour : Etre heureux de ne pas avoir une mère sexy !

  • Desperado

    99672bb3c95de42515d484e163d67e9f.jpg

    Il marche seul, avec comme seul bagage un étui à guitare traversant le Mexique à la recherche d’un certain Bucho (Joaquim de Almeida). Ce dernier est celui qui a tué sa bien-aimée et notre pote El Mariachi (Antonio Banderas) est bien décidé à le lui faire payer. C’est ainsi qu’il atterrit dans ce petit village où il fait la connaissance de Carolina (Salma Hayek), une libraire en contact direct avec Bucho. Il ne va pas tarder à se faire remarquer et le village va vite se transformer en un terrain de guerre car son étui ne sert pas seulement à transporter sa guitare. Il manie les armes à feu aussi bien qu’il joue de la guitare et si j’étais vous je m’éloignerais de cet homme.

    be7cdba3f692e7646a78e4608e815ae8.jpg

    Ce n’est pas vraiment un film inoubliable mais il fait parti de ceux que l’on revoit avec grand plaisir tellement il est fun. Il faut dire que derrière la caméra on retrouve un certain Robert Rodriguez, futur réalisateur de succès comme Sin City ou Planète Terreur, ce qui peut déjà vous donner une idée de ce qu’il propose avec Desperado. A noter qu’il s’agit de la suite d’El mariachi où le héros était en fait interprété par Carlos Gallardo. Banderas hérite du rôle et entame alors sa grande carrière hollywoodienne. Film pas prise de tète pour un sou, je l’apprécie pour cela et pour l’aspect délirant de certaines scènes comme l’étui à guitare qui sert de lance-roquette ! 8 ans plus tard, il récidivera avec Il était une fois au Mexique – Desperado 2.

  • Les oubliées de Juarez

     

    medium_aff.477.jpg

     

    La pauvreté est un fléau difficile à éradiquer car la maintenir arrange les affaires de nombreuses multinationales dans leur perpétuelle recherche du profit. Au Mexique et plus particulièrement à Juarez, ce phénomène se matérialise par les Maquiladoras, usines de fabrication fonctionnant 24h/24 et profitant allègrement de la main-d’œuvre bon marché. Derrière cela se cache une autre tragédie ; plusieurs ouvrières ont disparu sans que cela n’inquiète les autorités. Officiellement, c’est 300 à 400 disparitions qui ont été recensés mais la vérité s’élèverait plutôt aux alentours de 5000. Une enquête dangereuse et ardue attend la journaliste du Chicago Sentinel Lauren Fredericks (Jennifer Lopez).

     

    medium_01.460.jpg

    Vaguement présenté par les médias, ce film tire avant tout son intérêt du message qu’il souhaite délivrer au monde entier à savoir le sort de milliers de femmes qui disparaissent dans la plus grande indifférence. Des jeunes femmes violées et assassinées et dont on retrouve parfois les corps dans le désert. Les oubliées de Juarez verse donc dans le tragique, chose compréhensible mais était-il bien utile de nous rajouter l’enfance brisée de la journaliste pour émouvoir encore davantage le spectateur ? Trop fidèle aux codes du cinéma hollywoodien, on finit par perdre la volonté initiale du film qui est de dénoncer un véritable scandale et c’est bien dommage.

     

    Il faut le voir pour : Savoir d’où viennent nos téléviseurs et écrans d’ordinateur.

  • Armand - La légende de Zorro

    medium_01.245.jpg

     

    Armand : On dit que les français ont inventé le parfum pour éviter la baignoire

  • Dance with me

     

    medium_aff.186.jpg

    Pierre Dulaine (Antonio Banderas) est un professeur de danse de salon particulièrement doué et apprécié. Quand il décide d’offrir son aide avec des cours de danse à un lycée où de nombreux jeunes sont en difficulté scolaire, cela prête à sourire à commencer par le proviseur  Augustine James (Alfre Woodard). Difficile en effet de faire apprendre les pas mesurés du tango ou du cha-cha-cha à des jeunes élevés aux rythmes du hip-hop. Mais à force de volonté et de patience, il va réussir à inculquer à ces élèves les notions de respect et de dignité.

     

    medium_01.161.jpg

    Après des films comme Esprits rebelles ou Coach Carter, ce Dance with me n’apporte vraiment aucune originalité. L’histoire vraie d’un homme qui est parvenu à redonner confiance à des jeunes à priori sans avenir à travers la danse de salon. Bon tout ça est bien beau et le film se laisse regarder mais tout est si prévisible et comme c’est du déjà vu, il n’y a pas vraiment d’intérêt à suivre les aventures de Pierre Dulaine si ce n’est pour voir de la danse de salon !